Bipolarité et travail
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Re: Bipolarité et travail
Le handicap psychique reste tabou en entreprise
L’Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées (Agefiph), qui fête ses 25 ans, dresse le bilan de l’intégration des personnes handicapées au travail.
Si les entreprises ont fait beaucoup d’efforts envers les handicapés moteurs, elles sont toujours réticentes à intégrer les personnes atteintes de troubles psychiques.
L’insertion professionnelle des personnes handicapées ne cesse de progresser. C’est le constat dressé par l’ Agefiph, créée en 1987 pour collecter les fonds versés par les entreprises de plus de 20 salariés qui n’embauchent pas de personnes handicapées à hauteur de ce qui est prévu par la loi (6 %). Entre 2007 et 2011, la collecte auprès des entreprises contributives a diminué de 20 %. Une baisse encourageante, puisque cela signifie qu’elles ont préféré recruter des personnes handicapées plutôt que d’abonder au fonds de l’Agefiph.
Mais ce bon résultat masque une réticence toujours très forte à l’encontre des personnes atteintes de troubles psychiques (1) – environ 14 % de la population handicapée active, selon une enquête Handicap Santé 2008.
« L’emploi de handicapés psychiques est nettement plus difficile, reconnaît volontiers Awa Foucher, consultante spécialisée dans l’emploi des personnes handicapées. Aujourd’hui, un candidat qui se dit schizophrène aura peu de chance d’être recruté. Du coup, la plupart des gens ne déclarent pas leur pathologie. »
Pour les entreprises, la notion de handicap psychique est très floue, « parce qu’on a du mal à en délimiter les effets », explique Claire Le Roy-Hatala, sociologue spécialisée dans le handicap et directrice du Club House de Paris, qui informe les entreprises sur le sujet. « L’imprévisibilité des troubles, susceptibles de resurgir à tout moment pendant le parcours professionnel, inquiète les employeurs, qui cherchent au contraire en permanence à anticiper et à prévenir les risques. »
«Ces salariés peuvent être un véritable atout pour l’entreprise »
Deuxième facteur limitant l’embauche : si le handicap moteur nécessite des aménagements pratiques – écran spécifique, siège ergonomique, etc. –, les recruteurs ont du mal à se représenter comment adapter un poste à des troubles psychiques. « Cela nécessite une réflexion globale sur l’organisation du travail », poursuit la sociologue. Une dimension effectivement essentielle, car « un mauvais management peut déclencher un épisode de crise », témoigne Bruno, la trentaine, directement concerné, pour qui ce handicap reste largement « tabou » .
Pourtant, « ces salariés peuvent être un véritable atout pour l’entreprise, souligne Christine Joly, présidente de l’ association Galaxie, qui accompagne les personnes atteintes de troubles psychiques. Ils ont souvent de grandes capacités, car beaucoup ont vu leurs troubles se développer au cours de leur vie d’adulte, mais ont pu avoir accès à l’enseignement supérieur. »
Ces atouts, Sébastien Hamon, 30 ans, est désormais bien décidé à les faire valoir. Il y a quatre ans, il a été reconnu atteint de troubles bipolaires (troubles de l’humeur). Ce qui lui a valu d’être « remercié » par plusieurs employeurs successifs. Aussi cette année, chargé de communication à l’Association des Guides et Scouts d’Europe, il a attendu avant d’en parler. Bien lui en a pris : « On m’a jugé sur mon travail et mes qualités, j’ai eu le temps de faire mes preuves. » Car pour se reconstruire, le travail est déterminant. « J’ai réduit ma consommation de médicaments par deux, je m’épanouis et cela a un impact positif sur ma santé. »
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Le-handicap-psychique-reste-tabou-en-entreprise-_EP_-2012-05-30-812546
L’Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées (Agefiph), qui fête ses 25 ans, dresse le bilan de l’intégration des personnes handicapées au travail.
Si les entreprises ont fait beaucoup d’efforts envers les handicapés moteurs, elles sont toujours réticentes à intégrer les personnes atteintes de troubles psychiques.
L’insertion professionnelle des personnes handicapées ne cesse de progresser. C’est le constat dressé par l’ Agefiph, créée en 1987 pour collecter les fonds versés par les entreprises de plus de 20 salariés qui n’embauchent pas de personnes handicapées à hauteur de ce qui est prévu par la loi (6 %). Entre 2007 et 2011, la collecte auprès des entreprises contributives a diminué de 20 %. Une baisse encourageante, puisque cela signifie qu’elles ont préféré recruter des personnes handicapées plutôt que d’abonder au fonds de l’Agefiph.
Mais ce bon résultat masque une réticence toujours très forte à l’encontre des personnes atteintes de troubles psychiques (1) – environ 14 % de la population handicapée active, selon une enquête Handicap Santé 2008.
« L’emploi de handicapés psychiques est nettement plus difficile, reconnaît volontiers Awa Foucher, consultante spécialisée dans l’emploi des personnes handicapées. Aujourd’hui, un candidat qui se dit schizophrène aura peu de chance d’être recruté. Du coup, la plupart des gens ne déclarent pas leur pathologie. »
Pour les entreprises, la notion de handicap psychique est très floue, « parce qu’on a du mal à en délimiter les effets », explique Claire Le Roy-Hatala, sociologue spécialisée dans le handicap et directrice du Club House de Paris, qui informe les entreprises sur le sujet. « L’imprévisibilité des troubles, susceptibles de resurgir à tout moment pendant le parcours professionnel, inquiète les employeurs, qui cherchent au contraire en permanence à anticiper et à prévenir les risques. »
«Ces salariés peuvent être un véritable atout pour l’entreprise »
Deuxième facteur limitant l’embauche : si le handicap moteur nécessite des aménagements pratiques – écran spécifique, siège ergonomique, etc. –, les recruteurs ont du mal à se représenter comment adapter un poste à des troubles psychiques. « Cela nécessite une réflexion globale sur l’organisation du travail », poursuit la sociologue. Une dimension effectivement essentielle, car « un mauvais management peut déclencher un épisode de crise », témoigne Bruno, la trentaine, directement concerné, pour qui ce handicap reste largement « tabou » .
Pourtant, « ces salariés peuvent être un véritable atout pour l’entreprise, souligne Christine Joly, présidente de l’ association Galaxie, qui accompagne les personnes atteintes de troubles psychiques. Ils ont souvent de grandes capacités, car beaucoup ont vu leurs troubles se développer au cours de leur vie d’adulte, mais ont pu avoir accès à l’enseignement supérieur. »
Ces atouts, Sébastien Hamon, 30 ans, est désormais bien décidé à les faire valoir. Il y a quatre ans, il a été reconnu atteint de troubles bipolaires (troubles de l’humeur). Ce qui lui a valu d’être « remercié » par plusieurs employeurs successifs. Aussi cette année, chargé de communication à l’Association des Guides et Scouts d’Europe, il a attendu avant d’en parler. Bien lui en a pris : « On m’a jugé sur mon travail et mes qualités, j’ai eu le temps de faire mes preuves. » Car pour se reconstruire, le travail est déterminant. « J’ai réduit ma consommation de médicaments par deux, je m’épanouis et cela a un impact positif sur ma santé. »
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Le-handicap-psychique-reste-tabou-en-entreprise-_EP_-2012-05-30-812546
Invité- Invité
Re: Bipolarité et travail
Bonjour Fanchonette,
Ton article illustre bien la réticence des entreprises d'engager les handicapés. Je l'ai dit à la médecine du travail en entrant dans l'éducation nationale, et c'est tout.
Et si je suis vraiment obligé de répondre, après une absence par exemple, je parle de dépression.
C'est une manière de se préserver.
J'ai toutefois rencontré un homme qui, en stage, nous a très vite branché autour de lui sur ses troubles bipolaires, ses tentatives de suicide. Il disait qu'il avait des problèmes dans sa tête
bises
Etienne
Ton article illustre bien la réticence des entreprises d'engager les handicapés. Je l'ai dit à la médecine du travail en entrant dans l'éducation nationale, et c'est tout.
Et si je suis vraiment obligé de répondre, après une absence par exemple, je parle de dépression.
C'est une manière de se préserver.
J'ai toutefois rencontré un homme qui, en stage, nous a très vite branché autour de lui sur ses troubles bipolaires, ses tentatives de suicide. Il disait qu'il avait des problèmes dans sa tête
bises
Etienne
Re: Bipolarité et travail
eh ben nous serons vite fixé pour melina qui a passé un entretien d'embauche lundi pour bosser dans une mairie ...
le recruteur est un de ses amis Facebook..il a remarqué sa plume et lui a proposé un essaie ..il ne peut pas passer a cote de sa maladie puisqu'elle en parle en long en large et en travers sur son mur (facebook).........son entretien s'est bien passé et pour le moment elle va étre mise a l'epreuve par des piges ...
elle a fait un book et a parlé naturellement de sa maladie ...elle assume et pense que ça ne devrait pas poser de probleme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
si elle est vraiment embauchée pour ce poste qui est inespéré pour elle on pourra dire qu'il y a des portes qui s'ouvrent enfin !!!!!!
je vous tiens au courant d'ici peu
bises
mireille
le recruteur est un de ses amis Facebook..il a remarqué sa plume et lui a proposé un essaie ..il ne peut pas passer a cote de sa maladie puisqu'elle en parle en long en large et en travers sur son mur (facebook).........son entretien s'est bien passé et pour le moment elle va étre mise a l'epreuve par des piges ...
elle a fait un book et a parlé naturellement de sa maladie ...elle assume et pense que ça ne devrait pas poser de probleme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
si elle est vraiment embauchée pour ce poste qui est inespéré pour elle on pourra dire qu'il y a des portes qui s'ouvrent enfin !!!!!!
je vous tiens au courant d'ici peu
bises
mireille
mireille- Nombre de messages : 9254
Age : 78
Date d'inscription : 02/08/2008
Re: Bipolarité et travail
Et bien voici une nouvelle qu'elle est bonne! (comme dirait ColucheJ
Je souhaite à Mélina de bien faire ses preuves et qu'elle trouve de la stabilité au sein d'une nouvelle équipe.
Cela doit te soulager beaucoup.
Bonne chance
Etienne
Je souhaite à Mélina de bien faire ses preuves et qu'elle trouve de la stabilité au sein d'une nouvelle équipe.
Cela doit te soulager beaucoup.
Bonne chance
Etienne
Re: Bipolarité et travail
bien sur c'est un grand bonheur mais je suis a la fois inquiete de voir qu'elle parle de sa bipolarité comme s'il s'agissait d'un atout majeur !!!!!!!!!!!!
elle me dit que le gars qui l'a contactée ne peut pas ignorer sa maladie mais je suppose qu'il n'est pas tout seul a prendre la decision pour ce poste..même s'il est responsable de la communication ...
enfin bref je suis pas tranquille a cause de ça alors que je sais que ce poste est fait pour elle .....
vivement que l'on soit fixé!!!!
bizzzzzzz
mireille
elle me dit que le gars qui l'a contactée ne peut pas ignorer sa maladie mais je suppose qu'il n'est pas tout seul a prendre la decision pour ce poste..même s'il est responsable de la communication ...
enfin bref je suis pas tranquille a cause de ça alors que je sais que ce poste est fait pour elle .....
vivement que l'on soit fixé!!!!
bizzzzzzz
mireille
mireille- Nombre de messages : 9254
Age : 78
Date d'inscription : 02/08/2008
Re: Bipolarité et travail
cc mimi!
La bipo comme un atout...faut voir,au moins elle assume sa maladie ta fifille!Mais je comprends o combien l'inquiétude de la moman que tu es!
Perso,je persiste et je ne dis rien de ma maladie,mème si je m'assume(enfin!)telle que je suis.Cpt,les maladies psychiques sont trop méconnues pour que je me risque...
La bipo comme un atout...faut voir,au moins elle assume sa maladie ta fifille!Mais je comprends o combien l'inquiétude de la moman que tu es!
Perso,je persiste et je ne dis rien de ma maladie,mème si je m'assume(enfin!)telle que je suis.Cpt,les maladies psychiques sont trop méconnues pour que je me risque...
Invité- Invité
Re: Bipolarité et travail
merci Valérie
ben oui elle assume mais elle a du mal a cacher sa maladie parce qu'elle trouve que pour elle c'est plus une force qu'un handicap.................et en plus difficile de se cacher avec le livre ....deja quand tapes son nom sur google on ne voit que ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
alors advienne que pourra !!!
bisous
mimi
ben oui elle assume mais elle a du mal a cacher sa maladie parce qu'elle trouve que pour elle c'est plus une force qu'un handicap.................et en plus difficile de se cacher avec le livre ....deja quand tapes son nom sur google on ne voit que ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
alors advienne que pourra !!!
bisous
mimi
mireille- Nombre de messages : 9254
Age : 78
Date d'inscription : 02/08/2008
Re: Bipolarité et travail
Effectivement, beaucoup de gens ont encore tendance à oublier que le handicap n'est pas seulement moteur. Il peut aussi être auditif, intellectuel ou psychique. La loi sur le handicap concerne bien tous les types de handicapés et non pas seulement moteurs. On se félicite déjà des efforts fournis pour mieux intégrer les handicapés moteurs, mais n'oublions pas qu'il y a aussi les handicapés psychiques.
Yona82- Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 14/09/2012
Re: Bipolarité et travail
Améliorer la qualité de vie au travail des personnes atteintes de maladies chroniques
Le réseau européen pour la promotion de la santé au travail (ENWHP) publie un guide de bonnes pratiques destiné aux employeurs et responsables devant gérer des salariés atteints de maladie chroniques.
Le constat de départ est simple : maintenir dans l’emploi des personnes atteintes de maladie chronique et leur permettre de revenir au travail peut être considéré comme un investissement dans la productivité économique et dans la cohésion sociale de la nation.
Le défi pour les employeurs est alors de trouver un juste équilibre entre les contraintes de productivité de l’entreprise et la prise en compte des besoins en matière de santé de ses salariés souffrant de maladie chronique.
Le document édité par l’ENWHP présente différentes étapes qui permettent de mieux gérer les travailleurs atteints de maladies chroniques :
Repérer le plus vite possible qui a besoin d’aide
Entrer en contact et donner confiance
Organiser un entretien initial
Examiner le cas
Elaborer un programme de « retour au travail »
Réexaminer régulièrement le plan
Ce plan d’action doit aider les personnes atteintes de maladies chroniques dans leur retour au travail mais également guider les employeurs pour maintenir ces personnes dans l’emploi et améliorer les performances globales de leur personnel.
Le guide fait également état de recommandations pour améliorer la qualité de vie au travail des salariés atteints de maladie chroniques, en termes de communication, de coopération et de suivi.
En savoir plus :
Promouvoir la qualité de vie au travail des personnes atteintes de maladies chroniques : un guide de bonnes pratiques
http://www.preventica.com/actu-enbref-ameliorer-qualite-vie-personne-maladie-chronique-1080313.php
Le réseau européen pour la promotion de la santé au travail (ENWHP) publie un guide de bonnes pratiques destiné aux employeurs et responsables devant gérer des salariés atteints de maladie chroniques.
Le constat de départ est simple : maintenir dans l’emploi des personnes atteintes de maladie chronique et leur permettre de revenir au travail peut être considéré comme un investissement dans la productivité économique et dans la cohésion sociale de la nation.
Le défi pour les employeurs est alors de trouver un juste équilibre entre les contraintes de productivité de l’entreprise et la prise en compte des besoins en matière de santé de ses salariés souffrant de maladie chronique.
Le document édité par l’ENWHP présente différentes étapes qui permettent de mieux gérer les travailleurs atteints de maladies chroniques :
Repérer le plus vite possible qui a besoin d’aide
Entrer en contact et donner confiance
Organiser un entretien initial
Examiner le cas
Elaborer un programme de « retour au travail »
Réexaminer régulièrement le plan
Ce plan d’action doit aider les personnes atteintes de maladies chroniques dans leur retour au travail mais également guider les employeurs pour maintenir ces personnes dans l’emploi et améliorer les performances globales de leur personnel.
Le guide fait également état de recommandations pour améliorer la qualité de vie au travail des salariés atteints de maladie chroniques, en termes de communication, de coopération et de suivi.
En savoir plus :
Promouvoir la qualité de vie au travail des personnes atteintes de maladies chroniques : un guide de bonnes pratiques
http://www.preventica.com/actu-enbref-ameliorer-qualite-vie-personne-maladie-chronique-1080313.php
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Handicap psychique et emploi : C'est possible
Handicap psychique et emploi C'est possible
Extraits du magazine.
http://fr.calameo.com/read/0007480742e6bc1250bf0
Sommaire du N°127
http://www.etrehandicap.com/boutique?page=shop.product_details&flypage=flypage.tpl&product_id=46
Extraits du magazine.
http://fr.calameo.com/read/0007480742e6bc1250bf0
Sommaire du N°127
http://www.etrehandicap.com/boutique?page=shop.product_details&flypage=flypage.tpl&product_id=46
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Re: Bipolarité et travail
J'ai travaillé 38 ans , les médecins me traitant pour depression mais , en fait , bipolaire certainement depuis toujours . (les chiens ne faisant pas un chat ....)
Je l'aurais su avant , peur être n'aurais je pas tenu le coup ?
Enfin je ne regrette rien , aprés 2 ans en CLM et 3 ans en CLD on m'a attribué dans un premier temps une pension de retraite pour invalidité et , à mes 60 ans , cette pension est devenue ma retraite .
Comme j'ai commencé à travailler à 15 ans , ma retraite est trés correcte ...
Donc , pour moi , OUI , handicap psychique et travail c'est possible et même en versant souvent beaucoup de larmes .....
Je l'aurais su avant , peur être n'aurais je pas tenu le coup ?
Enfin je ne regrette rien , aprés 2 ans en CLM et 3 ans en CLD on m'a attribué dans un premier temps une pension de retraite pour invalidité et , à mes 60 ans , cette pension est devenue ma retraite .
Comme j'ai commencé à travailler à 15 ans , ma retraite est trés correcte ...
Donc , pour moi , OUI , handicap psychique et travail c'est possible et même en versant souvent beaucoup de larmes .....
Invité- Invité
Re: Bipolarité et travail
19 ans de bipolarité pour moi.
Durant ce temps j'ai presque toujours travaillé.
C'est durant les épisodes libres que j'ai pu travailler comme Assistante Bilingue ou comme Infographiste et
ce au top du rendement à chaque fois.
J'ai beaucoup changé d'emploi car j'ai souvent perdu des postes à cause des crises maniaques.
Si seulement mon stabilisation s'inscrivait dans la durée, il n'y aurait pas de problème.
Alors, je dis OUIIII, au travail pour les bipolaires. (Quand l'état du malade le permet)
La sensation d'être utile est enrichissante et donne beaucoup de satisfaction personnelle.
Bises,
Maria
Durant ce temps j'ai presque toujours travaillé.
C'est durant les épisodes libres que j'ai pu travailler comme Assistante Bilingue ou comme Infographiste et
ce au top du rendement à chaque fois.
J'ai beaucoup changé d'emploi car j'ai souvent perdu des postes à cause des crises maniaques.
Si seulement mon stabilisation s'inscrivait dans la durée, il n'y aurait pas de problème.
Alors, je dis OUIIII, au travail pour les bipolaires. (Quand l'état du malade le permet)
La sensation d'être utile est enrichissante et donne beaucoup de satisfaction personnelle.
Bises,
Maria
Invité- Invité
Re: Bipolarité et travail
franzie a écrit:Handicap psychique et emploi C'est possible
Extraits du magazine.
http://fr.calameo.com/read/0007480742e6bc1250bf0
Sommaire du N°127
http://www.etrehandicap.com/boutique?page=shop.product_details&flypage=flypage.tpl&product_id=46
cc franzie!
Ce magazine"m'inspire";merci pour l'info!
Invité- Invité
Re: Bipolarité et travail
Les bipos au boulot?
Moi je dis oui quand c'est possible...comme JB,je suis sans doute bipo depuis(presque)toujours,mais diagnostiquée très tardivement...
Alors,je me demande si j'aurais pu bosser toutes ces années avec traitement, même s'il m'accompagne dans ma vie de tous les jours,ce compagnon m'a fait prendre des kgs(ou serait-ce les comorbidités associées à une prise de conscience de mon état?).
Bref.Je vis,aujourd'hui,comme jamais avant,et je travaille; même si je n'ai pas de poste fixe et que je change d'entreprise,je me demande si ce challenge ne me stimule pas,finalement...et m'inquiète un peu à la fois
Les bipos ont à apporter aux autres en milieu professionnel,j'en suis intimement persuadée! Même si parfois,il est difficile d'aller bosser...
Moi je dis oui quand c'est possible...comme JB,je suis sans doute bipo depuis(presque)toujours,mais diagnostiquée très tardivement...
Alors,je me demande si j'aurais pu bosser toutes ces années avec traitement, même s'il m'accompagne dans ma vie de tous les jours,ce compagnon m'a fait prendre des kgs(ou serait-ce les comorbidités associées à une prise de conscience de mon état?).
Bref.Je vis,aujourd'hui,comme jamais avant,et je travaille; même si je n'ai pas de poste fixe et que je change d'entreprise,je me demande si ce challenge ne me stimule pas,finalement...et m'inquiète un peu à la fois
Les bipos ont à apporter aux autres en milieu professionnel,j'en suis intimement persuadée! Même si parfois,il est difficile d'aller bosser...
Invité- Invité
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