«Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
3 participants
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«Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
Bonjour !
Lu sur
««« Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ? — Par Lise Loumé
Environ 12% des femmes et 6% des hommes de 30 à 55 ans ayant un emploi en 2006 disaient souffrir d'un trouble mental.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140702.OBS2410/troubles-mentaux-quelles-consequences-sur-l-emploi.html
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Bonne journée. Bisous . Jacques
Lu sur
««« Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ? — Par Lise Loumé
Environ 12% des femmes et 6% des hommes de 30 à 55 ans ayant un emploi en 2006 disaient souffrir d'un trouble mental.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140702.OBS2410/troubles-mentaux-quelles-consequences-sur-l-emploi.html
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Bonne journée. Bisous . Jacques
Dernière édition par Jacques le Sam 20 Sep 2014 - 10:06, édité 1 fois
Re: «Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
- Troubles mentaux et emploi :
Quelles sont les conséquences de troubles de santé mentale dans le maintien à l'emploi ?
La Direction de la Recherche, des études, de l'évaluation et des et des statistiques (Drees) présente une recherche focalisée sur ce sujet à partir de l'enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP)
En 2006, environ 12 % des femmes et 6 % des hommes âgés de 30 à 55 ans, en poste, déclarent souffrir au moins d’un trouble mental (trouble anxieux généralisé ou épisode dépressif caractérisé).
Parmi ces personnes, plus de 20 % invoquent une limitation d’activité, environ 45 % indiquent souffrir d’une maladie chronique et près de la moitié se considèrent en mauvaise santé.
Le maintien dans l’emploi est moins fréquent dans la population déclarant des troubles mentaux.
En effet, 86 % des femmes et 82 % des hommes porteurs de ces troubles ont conservé une activité professionnelle en 2010, contre respectivement 92 % et 93 % des personnes n’en déclarant pas.
Pour les hommes, à caractéristiques sociodémographiques et d’emploi similaires, souffrir d’un trouble anxieux généralisé en 2006 diminue les chances de garder son travail en 2010. En revanche, pour les femmes, la santé mentale n’affecte pas la trajectoire professionnelle, toutes choses égales par ailleurs.
Ce sont les limitations d’activité déclarées qui augmentent le plus le risque de ne pas garder son emploi.
- Troubles mentaux : quelles conséquences sur le maintien à l'emploi ?
Etudes et résultats, n°885, juillet 2014.
A télécharger sur www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er885.pdf
http://www.santementale.fr/actualites/troubles-mentaux-et-emploi.html
Voir liens Angie
- Emploi
https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/search?mode=searchbox&search_keywords=emploi&show_results=topics
- Travail
https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/search?mode=searchbox&search_keywords=travail&show_results=topics
Quelles sont les conséquences de troubles de santé mentale dans le maintien à l'emploi ?
La Direction de la Recherche, des études, de l'évaluation et des et des statistiques (Drees) présente une recherche focalisée sur ce sujet à partir de l'enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP)
En 2006, environ 12 % des femmes et 6 % des hommes âgés de 30 à 55 ans, en poste, déclarent souffrir au moins d’un trouble mental (trouble anxieux généralisé ou épisode dépressif caractérisé).
Parmi ces personnes, plus de 20 % invoquent une limitation d’activité, environ 45 % indiquent souffrir d’une maladie chronique et près de la moitié se considèrent en mauvaise santé.
Le maintien dans l’emploi est moins fréquent dans la population déclarant des troubles mentaux.
En effet, 86 % des femmes et 82 % des hommes porteurs de ces troubles ont conservé une activité professionnelle en 2010, contre respectivement 92 % et 93 % des personnes n’en déclarant pas.
Pour les hommes, à caractéristiques sociodémographiques et d’emploi similaires, souffrir d’un trouble anxieux généralisé en 2006 diminue les chances de garder son travail en 2010. En revanche, pour les femmes, la santé mentale n’affecte pas la trajectoire professionnelle, toutes choses égales par ailleurs.
Ce sont les limitations d’activité déclarées qui augmentent le plus le risque de ne pas garder son emploi.
- Troubles mentaux : quelles conséquences sur le maintien à l'emploi ?
Etudes et résultats, n°885, juillet 2014.
A télécharger sur www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er885.pdf
http://www.santementale.fr/actualites/troubles-mentaux-et-emploi.html
Voir liens Angie
- Emploi
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- Travail
https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/search?mode=searchbox&search_keywords=travail&show_results=topics
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Schizophrénie, dépression, bipolarité : des mots difficiles à dire au travail
Bonjour,
lu sur
Schizophrénie, dépression, bipolarité : des mots difficiles à dire au travail
Les maladies mentales restent un tabou et les personnes souffrant de troubles psychiques peinent à trouver leur place au travail, lorsqu'ils en trouvent.
PSYCHIQUE. "Déjà à ta propre nana, tu as tendance à ne pas lui dire, à cacher la prise de médicaments. Alors, avec l'employeur...": Jean, 39 ans, bipolaire, résume la difficulté pour les personnes souffrant de troubles psychiques à trouver leur place au travail.
Selon une étude de l'OCDE, une personne sur deux souffrira de problèmes de santé mentale à un moment de sa vie.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140718.OBS4104/schizophrenie-depression-bipolarite-des-mots-difficiles-a-dire-au-travail.html
lu sur
Schizophrénie, dépression, bipolarité : des mots difficiles à dire au travail
Les maladies mentales restent un tabou et les personnes souffrant de troubles psychiques peinent à trouver leur place au travail, lorsqu'ils en trouvent.
PSYCHIQUE. "Déjà à ta propre nana, tu as tendance à ne pas lui dire, à cacher la prise de médicaments. Alors, avec l'employeur...": Jean, 39 ans, bipolaire, résume la difficulté pour les personnes souffrant de troubles psychiques à trouver leur place au travail.
Selon une étude de l'OCDE, une personne sur deux souffrira de problèmes de santé mentale à un moment de sa vie.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140718.OBS4104/schizophrenie-depression-bipolarite-des-mots-difficiles-a-dire-au-travail.html
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
«Schizophrénie, dépression, bipolarité : des mots difficiles à dire au travail»
Bonjour !
Lu sur
««« Schizophrénie, dépression, bipolarité : des mots difficiles à dire au travail — Par Sciences et Avenir avec AFP
Les maladie mentales restent un tabou et les personnes souffrant de troubles psychiques peinent à trouver leur place au travail, lorsqu'ils en trouvent.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140718.OBS4104/schizophrenie-depression-bipolarite-des-mots-difficiles-a-dire-au-travail.html
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«Les maladie mentales» : désolé pour la faute d'orthographe : je ne sais si les rédacteurs sont sous pression, mais ce genre de fautes est relativement fréquent. Du mauvais fonctionnement des correcteurs en ligne…
Il est question dans l'article de «trous dans les CV» : raison pour laquelle il faut éviter les CV chronologiques pour adopter les CV par compétences.
Bonne journée. Bisous . Jacques
Lu sur
««« Schizophrénie, dépression, bipolarité : des mots difficiles à dire au travail — Par Sciences et Avenir avec AFP
Les maladie mentales restent un tabou et les personnes souffrant de troubles psychiques peinent à trouver leur place au travail, lorsqu'ils en trouvent.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140718.OBS4104/schizophrenie-depression-bipolarite-des-mots-difficiles-a-dire-au-travail.html
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«Les maladie mentales» : désolé pour la faute d'orthographe : je ne sais si les rédacteurs sont sous pression, mais ce genre de fautes est relativement fréquent. Du mauvais fonctionnement des correcteurs en ligne…
Il est question dans l'article de «trous dans les CV» : raison pour laquelle il faut éviter les CV chronologiques pour adopter les CV par compétences.
Bonne journée. Bisous . Jacques
Re: «Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
cc Jacques!
Intéressant tout cela,mais le cv par compétence,ça ne marche pas toujours...alors j'ai comblé"les trous"comme j'ai pu!
Je bosse actuellement avec un statut d'intérimaire,et je ne sais pas si j'en changerais...
Pour ma part,c'est un rythme de travail qui me convient mieux,puisque je ne suis pas obligée d'accepter les missions qu'on me confie.
En arrêt de travail du à la bipolarité ,j'ai prétexté un autre problème,plausible,au boulot...
Intéressant tout cela,mais le cv par compétence,ça ne marche pas toujours...alors j'ai comblé"les trous"comme j'ai pu!
Je bosse actuellement avec un statut d'intérimaire,et je ne sais pas si j'en changerais...
Pour ma part,c'est un rythme de travail qui me convient mieux,puisque je ne suis pas obligée d'accepter les missions qu'on me confie.
En arrêt de travail du à la bipolarité ,j'ai prétexté un autre problème,plausible,au boulot...
Invité- Invité
Re: «Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
Un sujet important... et délicat...
Ça ne fait que 4 ans que je suis stabilisé (bp1). Je poursuis lentement (mais sûrement) mon émergence.
Au cours des entretien d'embauche que j'ai eu dernièrement, les recruteurs me demandent des informations quant à l'énorme trou dans mon cv. Je leur explique que j'ai été malade et que je suis depuis rétabli. Ça semble leur convenir, ils n'en demandent pas plus (à ce stade, en tout cas...)
Je cache ma maladie dans le milieu professionnel. Un jour, une responsable d'une agence d'intérim m'a carrément demandé si j'avais des problèmes psychiatriques. J'ai répondu que non.
Le médecin qui me suit est d'accord pour que je travaille en horaires de bureau mais pas en équipe.
Quand j'étais malade et non stabilisé, je n'étais pas stable professionnellement. Une succession d'emplois qui duraient rarement plus d'un an. Problèmes relationnels en plus. Fuite en avant. Puis ça a lâché en 2003, date de ma première hospitalisation, avec crise maniaque majeure.
Bon courage à toutes et tous.
Ça ne fait que 4 ans que je suis stabilisé (bp1). Je poursuis lentement (mais sûrement) mon émergence.
Au cours des entretien d'embauche que j'ai eu dernièrement, les recruteurs me demandent des informations quant à l'énorme trou dans mon cv. Je leur explique que j'ai été malade et que je suis depuis rétabli. Ça semble leur convenir, ils n'en demandent pas plus (à ce stade, en tout cas...)
Je cache ma maladie dans le milieu professionnel. Un jour, une responsable d'une agence d'intérim m'a carrément demandé si j'avais des problèmes psychiatriques. J'ai répondu que non.
Le médecin qui me suit est d'accord pour que je travaille en horaires de bureau mais pas en équipe.
Quand j'étais malade et non stabilisé, je n'étais pas stable professionnellement. Une succession d'emplois qui duraient rarement plus d'un an. Problèmes relationnels en plus. Fuite en avant. Puis ça a lâché en 2003, date de ma première hospitalisation, avec crise maniaque majeure.
Bon courage à toutes et tous.
Terrien- Nombre de messages : 15
Type troubles : Bipolaire 1
Date d'inscription : 29/08/2014
Re: «Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
cc à toi et bienvenue!
Je vois que tu postes un peu partout et que tu cherches activement des réponses à tes questions...mais comme tu le vois,peu de connections à cette heure tardive
Je bosse et j'ai aussi des problèmes de concentration...
Qu'appréhendes-tu le plus dans ta future formation?
Je vois que tu postes un peu partout et que tu cherches activement des réponses à tes questions...mais comme tu le vois,peu de connections à cette heure tardive
Je bosse et j'ai aussi des problèmes de concentration...
Qu'appréhendes-tu le plus dans ta future formation?
Invité- Invité
Re: «Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
Bonjour et merci à toi, Pommec
Disons que j'ai le cerveau un peu embrumé. J'ai passé une première série de tests pour espérer accéder à cette formation professionnelle (niveau bac+2): maths, logique et personnalité/sociabilité. J'ai obtenu de bons résultats. Je n'ai pas répondu sincèrement dans le test de personnalité et ça a payé. Je me suis dit que je m'améliorais constamment et que je réveillerais une partie de ces qualités que j'ai cochées tout en ne les ayant pas vraiment.
Le côté social est un problème chez moi. J'évite les échanges, essentiellement parce qu'il est douloureux pour moi de parler de ma vie. En famille, avec quelques amis, ça va, en revanche. Mais je ne suis pas quelqu'un de "social", alors que c'est requis pour accéder à la formation. "De quoi parler?" est une question qui me revient souvent et qui m'embarrasse.
Peut-être accéderai-je à la formation dans les mois à venir. A 5 heures de chez moi, hébergé sur place, parmi de jeunes adultes. Emmagasiner des informations. J'ai été étudiant à la fac, j'ai mémorisé beaucoup d'informations à l'époque (maintenant oubliées) mais mon cerveau est rouillé maintenant. Mais une fois dans le bain, les réflexes de mémorisation reviendront-ils. A l'occasion d'un stage en février, je devais entrer des nombres de 4-5 chiffres dans excel. Mon tuteur en mémorisait deux puis les rentrait. Moi, je devais les noter. Bon, il a l'habitude mais bon... On me reproche d'être lent, cela étant compensé par l'efficacité. Une lenteur mise sur le compte que je débutais, aussi.
J'ai l'impression que je ne percute pas, que j'apprends une chose et hop! je l'oublie, elle se dissout.
Je n'étais pas comme ça avant mes premières crises majeures. J'étais plus vif. Et depuis, je suis "amorphe", en quelque sorte.
Je me dis que ça vient de la maladie, des traitements, de l'inactivité prolongée (des années et des années).
Problème de concentration. A priori, de l'exercice et de la stimulation pourrait le résoudre partiellement.
Disons que j'ai le cerveau un peu embrumé. J'ai passé une première série de tests pour espérer accéder à cette formation professionnelle (niveau bac+2): maths, logique et personnalité/sociabilité. J'ai obtenu de bons résultats. Je n'ai pas répondu sincèrement dans le test de personnalité et ça a payé. Je me suis dit que je m'améliorais constamment et que je réveillerais une partie de ces qualités que j'ai cochées tout en ne les ayant pas vraiment.
Le côté social est un problème chez moi. J'évite les échanges, essentiellement parce qu'il est douloureux pour moi de parler de ma vie. En famille, avec quelques amis, ça va, en revanche. Mais je ne suis pas quelqu'un de "social", alors que c'est requis pour accéder à la formation. "De quoi parler?" est une question qui me revient souvent et qui m'embarrasse.
Peut-être accéderai-je à la formation dans les mois à venir. A 5 heures de chez moi, hébergé sur place, parmi de jeunes adultes. Emmagasiner des informations. J'ai été étudiant à la fac, j'ai mémorisé beaucoup d'informations à l'époque (maintenant oubliées) mais mon cerveau est rouillé maintenant. Mais une fois dans le bain, les réflexes de mémorisation reviendront-ils. A l'occasion d'un stage en février, je devais entrer des nombres de 4-5 chiffres dans excel. Mon tuteur en mémorisait deux puis les rentrait. Moi, je devais les noter. Bon, il a l'habitude mais bon... On me reproche d'être lent, cela étant compensé par l'efficacité. Une lenteur mise sur le compte que je débutais, aussi.
J'ai l'impression que je ne percute pas, que j'apprends une chose et hop! je l'oublie, elle se dissout.
Je n'étais pas comme ça avant mes premières crises majeures. J'étais plus vif. Et depuis, je suis "amorphe", en quelque sorte.
Je me dis que ça vient de la maladie, des traitements, de l'inactivité prolongée (des années et des années).
Problème de concentration. A priori, de l'exercice et de la stimulation pourrait le résoudre partiellement.
Terrien- Nombre de messages : 15
Type troubles : Bipolaire 1
Date d'inscription : 29/08/2014
Re: «Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
cc terrien(sympa ton pseudo ).
Je suis du nord-ouest aussi,dans la Manche
Asociale aussi...pas d'amis(ça existe encore? ),mais je m'en fous!
Je suis partie en reconversion il y a 3 ans de cela...ce fut une expérience étrange,mais j'en suis ressortie comme" glorifiée"(mot excessif mais après 2 années de chômage...).
Aujourd'hui,je bosse;je fais des remplacements.C'est un rythme qui me convient bien et je gagne ma vie correctement.
Si tu veux des infos,je suis là!
PS:j'ai un niveau Bac+2
Je suis du nord-ouest aussi,dans la Manche
Asociale aussi...pas d'amis(ça existe encore? ),mais je m'en fous!
Je suis partie en reconversion il y a 3 ans de cela...ce fut une expérience étrange,mais j'en suis ressortie comme" glorifiée"(mot excessif mais après 2 années de chômage...).
Aujourd'hui,je bosse;je fais des remplacements.C'est un rythme qui me convient bien et je gagne ma vie correctement.
Si tu veux des infos,je suis là!
PS:j'ai un niveau Bac+2
Invité- Invité
Re: «Troubles mentaux : quelles conséquences sur l'emploi ?»
Hello Pommec
Je suis en reconversion aussi. Processus retardé. 10 ans d'inactivité depuis 2003. C'est lourd... Niveau bac + 5 rétrogradé bac + 2 par la force des choses. Je cache ma maladie dans le domaine professionnel.
Ma trentaine a été très perturbée et j'ai perdu contact avec la plupart de mes amis. Je serais bien embarrassé si je les revoyais: j'aurais honte de leur raconter ma vie et je ne sais pas vraiment mentir à ce sujet.
Il me reste de rares amis. Ça fait des années que je ne les pas revus. Je peux leur parler librement de ma vie. Contacts par internet, parfois téléphone. Ils ont leurs problèmes eux aussi, ils sont éloignés géographiquement d'où difficulté de se voir.
Et il y a les amis-internet, que j'ai au téléphone parfois. Certains sont des amis véritables même si je ne les ai pas encore vus en personne.
J'évite, autant que possible, d'aller dans les lieux où des personnes peuvent me reconnaître - parce que je ne sais que leur dire de ma vie. Et d'ailleurs, c'est embarrassant aussi dans la vie professionnelle: quoi dire? Au moins, sur internet, je maîtrise mieux cet aspect-là.
à +
Je suis en reconversion aussi. Processus retardé. 10 ans d'inactivité depuis 2003. C'est lourd... Niveau bac + 5 rétrogradé bac + 2 par la force des choses. Je cache ma maladie dans le domaine professionnel.
Ma trentaine a été très perturbée et j'ai perdu contact avec la plupart de mes amis. Je serais bien embarrassé si je les revoyais: j'aurais honte de leur raconter ma vie et je ne sais pas vraiment mentir à ce sujet.
Il me reste de rares amis. Ça fait des années que je ne les pas revus. Je peux leur parler librement de ma vie. Contacts par internet, parfois téléphone. Ils ont leurs problèmes eux aussi, ils sont éloignés géographiquement d'où difficulté de se voir.
Et il y a les amis-internet, que j'ai au téléphone parfois. Certains sont des amis véritables même si je ne les ai pas encore vus en personne.
J'évite, autant que possible, d'aller dans les lieux où des personnes peuvent me reconnaître - parce que je ne sais que leur dire de ma vie. Et d'ailleurs, c'est embarrassant aussi dans la vie professionnelle: quoi dire? Au moins, sur internet, je maîtrise mieux cet aspect-là.
à +
Terrien- Nombre de messages : 15
Type troubles : Bipolaire 1
Date d'inscription : 29/08/2014
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