L'alcool, vraiment de la m@@@…
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Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Bonsoir à vous !
Avant d'être diagnostiqué et traité, je me stabilisais (sans encore savoir que j'étais bipolaire) avec tabac et alcool.
Les exemples de ce type sont nombreux parmi les artistes de tous genres.
J'ai cependant toujours eu la chance de ne pas devenir réellement dépendant.
Sans doute en raison de ma fragile constitution.
En fait, je ne supporte aucun excès.
Amitiés.
PS : ceci est un brouillon datant de dimanche, je posterai la suite très prochainement.
Avant d'être diagnostiqué et traité, je me stabilisais (sans encore savoir que j'étais bipolaire) avec tabac et alcool.
Les exemples de ce type sont nombreux parmi les artistes de tous genres.
J'ai cependant toujours eu la chance de ne pas devenir réellement dépendant.
Sans doute en raison de ma fragile constitution.
En fait, je ne supporte aucun excès.
Amitiés.
PS : ceci est un brouillon datant de dimanche, je posterai la suite très prochainement.
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
(Complément de mon précédent post.)
Bonsoir à vous !
Étienne, je te lis depuis mon inscription en janvier 2011.
Autant te dire que je me suis fait une idée de ton rapport à l'alcool.
Perso, j'ai un copain ex-alcoolique, abstinence totale. (Mon amie, même chose.)
Avec lequel j'ai eu de longs échanges concernant ce sujet.
Il sait parfaitement que je consomme, mais m'a dit et répété que je ne suis pas alcoolique.
Ceci alors qu'à chaque fois qu'on se voit (généralement plusieurs fois par semaine), je prends une bière dans l'après-midi (voire plus).
Récemment, il m'a même dit qu'il n'avait jamais vu boire quelqu'un aussi lentement que moi...
Pour illustrer mon propos, mon amie étant à zéro alcool (pas une goutte chez elle), je me suis adapté sans problème (durant une semaine).
Idem chez une autre amie qui m'avait invité à déjeuner, chez laquelle je n'ai bu que du schweppes lemon et du café.
Dans les deux cas, je n'ai pas ressenti de manque.
Je précise que (dans mon rapport à l'alcool) je n'ai jamais cherché l'ivresse, ni à me "démonter la tête" par ce moyen (légal ! mais qui rapporte tellement d'argent en taxes...).
Mais bon, je ne suis pas sur ce fil pour parler de moi (encore que ?), mais pour te faire part de mon ressenti à ton égard.
J'ai retenu que tu avais une tendance à une consommation excessive.
Ceci ne fait pas obligatoirement de toi ce que "vie libre" appelle un "malade alcoolique".
Je comprends que tu puisses "faire tache" dans cette association qui prône l'abstinence totale.
Celle-ci est effectivement nécessaire aux "vrais" alcoolo-dépendants.
Mon avis est que tu ne l'es pas.
Tu as prouvé par tes mois d'abstinence totale que tu pouvais t'en passer, et ce, sans souffrances particulières.
(Ce qui n'est pas le cas des alcoolo-dépendants pour lesquels une cure et post-cure sont nécessaires. Et parfois à renouveler, les rechutes étant fréquentes.)
Ce qui m'énerve un peu pour toi, c'est qu'on te "fasse la morale".
Tu as la chance d'avoir ton épouse à tes côtés, laquelle saura te dire si tu "dérapes".
Mais franchement, boire un ou deux verres n'est franchement pas méchant, surtout lors des occasions que tu mentionnes.
Je dirais : "reste vigilant". Et ne fais pas d'abus.
Encore une fois, en repensant à tes posts, je me dis que tu fais une fixation sur cette question.
Mais je pense qu'il ne s'agit que d'une conséquence et non d'une cause.
Ne m'en veux pas (merci) de te parler franchement.
Une petite chose pour terminer, si tu commences à te sentir dans l'ivresse (ou à la limite), ne prends plus que des boissons non-alcoolisées.
L'important est de savoir pourquoi on boit.
Fuite ou convivialité ?
Désolé, je te donne matière à réflexion.
Simplement, je pense qu'il y a erreur de diagnostic.
Cependant, il est évident que si cela a des conséquences au niveau physique (estomac ou autres), le mieux est évidemment d'arrêter.
J'aimerais préciser que je ne fais ici en aucune manière l'apologie de l'alcool.
Dans ma réalité, je bois avec les gens qui boivent, et je ne bois pas avec les gens qui ne boivent pas.
Et quand je consomme, mon corps ne se prive pas de me rappeler à l'ordre si je commettais des excès...
Bises et amitiés. Bonne soirée à vous.
Bonsoir à vous !
Étienne, je te lis depuis mon inscription en janvier 2011.
Autant te dire que je me suis fait une idée de ton rapport à l'alcool.
Perso, j'ai un copain ex-alcoolique, abstinence totale. (Mon amie, même chose.)
Avec lequel j'ai eu de longs échanges concernant ce sujet.
Il sait parfaitement que je consomme, mais m'a dit et répété que je ne suis pas alcoolique.
Ceci alors qu'à chaque fois qu'on se voit (généralement plusieurs fois par semaine), je prends une bière dans l'après-midi (voire plus).
Récemment, il m'a même dit qu'il n'avait jamais vu boire quelqu'un aussi lentement que moi...
Pour illustrer mon propos, mon amie étant à zéro alcool (pas une goutte chez elle), je me suis adapté sans problème (durant une semaine).
Idem chez une autre amie qui m'avait invité à déjeuner, chez laquelle je n'ai bu que du schweppes lemon et du café.
Dans les deux cas, je n'ai pas ressenti de manque.
Je précise que (dans mon rapport à l'alcool) je n'ai jamais cherché l'ivresse, ni à me "démonter la tête" par ce moyen (légal ! mais qui rapporte tellement d'argent en taxes...).
Mais bon, je ne suis pas sur ce fil pour parler de moi (encore que ?), mais pour te faire part de mon ressenti à ton égard.
J'ai retenu que tu avais une tendance à une consommation excessive.
Ceci ne fait pas obligatoirement de toi ce que "vie libre" appelle un "malade alcoolique".
Je comprends que tu puisses "faire tache" dans cette association qui prône l'abstinence totale.
Celle-ci est effectivement nécessaire aux "vrais" alcoolo-dépendants.
Mon avis est que tu ne l'es pas.
Tu as prouvé par tes mois d'abstinence totale que tu pouvais t'en passer, et ce, sans souffrances particulières.
(Ce qui n'est pas le cas des alcoolo-dépendants pour lesquels une cure et post-cure sont nécessaires. Et parfois à renouveler, les rechutes étant fréquentes.)
Ce qui m'énerve un peu pour toi, c'est qu'on te "fasse la morale".
Tu as la chance d'avoir ton épouse à tes côtés, laquelle saura te dire si tu "dérapes".
Mais franchement, boire un ou deux verres n'est franchement pas méchant, surtout lors des occasions que tu mentionnes.
Je dirais : "reste vigilant". Et ne fais pas d'abus.
Encore une fois, en repensant à tes posts, je me dis que tu fais une fixation sur cette question.
Mais je pense qu'il ne s'agit que d'une conséquence et non d'une cause.
Ne m'en veux pas (merci) de te parler franchement.
Une petite chose pour terminer, si tu commences à te sentir dans l'ivresse (ou à la limite), ne prends plus que des boissons non-alcoolisées.
L'important est de savoir pourquoi on boit.
Fuite ou convivialité ?
Désolé, je te donne matière à réflexion.
Simplement, je pense qu'il y a erreur de diagnostic.
Cependant, il est évident que si cela a des conséquences au niveau physique (estomac ou autres), le mieux est évidemment d'arrêter.
J'aimerais préciser que je ne fais ici en aucune manière l'apologie de l'alcool.
Dans ma réalité, je bois avec les gens qui boivent, et je ne bois pas avec les gens qui ne boivent pas.
Et quand je consomme, mon corps ne se prive pas de me rappeler à l'ordre si je commettais des excès...
Bises et amitiés. Bonne soirée à vous.
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Bonjour Marc,
Je ne crois pas qu'il s'agisse pour nous de déterminer avec si peu d'éléments et sans aucune autorité professionnelle
si Etienne est ou non alcoolique.
Il s'agit plutôt pour Etienne et pour personne d'autre, de décider tout seul si son adhésion à "Vie Libre" lui convient.
Par exemple, toi tu bois de l'alcool tous les jours. Pour les AA, tu es alcoolique.
Mais ce qui compte c'est comment toi tu te situes là dedans et en plus, contrairement à Etienne, tu ne fais pas
appel à l'aide d'une association pour arrêter.
Tout est relatif.
Bonne soirée,
Maria
Je ne crois pas qu'il s'agisse pour nous de déterminer avec si peu d'éléments et sans aucune autorité professionnelle
si Etienne est ou non alcoolique.
Il s'agit plutôt pour Etienne et pour personne d'autre, de décider tout seul si son adhésion à "Vie Libre" lui convient.
Par exemple, toi tu bois de l'alcool tous les jours. Pour les AA, tu es alcoolique.
Mais ce qui compte c'est comment toi tu te situes là dedans et en plus, contrairement à Etienne, tu ne fais pas
appel à l'aide d'une association pour arrêter.
Tout est relatif.
Bonne soirée,
Maria
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Maria,
Je n'ai que fait part de mes observations sur le récit qu'il nous a fait.
Cela fait tout de même quasiment deux ans ans et demi que je suis son parcours.
Bien sûr que je ne suis pas un professionnel, et ne peux parler que d'expériences que j'ai pu vivre et observer.
Ton commentaire me surprend.
Mais bon, n'étant pas reconnu dépendant à l'alcool (de même pour le tabac), il est évident qu'il n'y a pas pour moi ni nécessité ni besoin d'arrêter.
Dans les limites du raisonnable bien sûr.
Quant à dire que je bois de l'alcool tous les jours, je me demande pourquoi tu écris ça.
Mais bon, ce n'est pas important après tout (que tu le dises, c'est ton avis).
Manifestement, tu n'as pas bien compris ce que j'avais écrit.
On en reparle quand tu voudras.
Bonne nuit.
Je n'ai que fait part de mes observations sur le récit qu'il nous a fait.
Cela fait tout de même quasiment deux ans ans et demi que je suis son parcours.
Bien sûr que je ne suis pas un professionnel, et ne peux parler que d'expériences que j'ai pu vivre et observer.
Ton commentaire me surprend.
Mais bon, n'étant pas reconnu dépendant à l'alcool (de même pour le tabac), il est évident qu'il n'y a pas pour moi ni nécessité ni besoin d'arrêter.
Dans les limites du raisonnable bien sûr.
Quant à dire que je bois de l'alcool tous les jours, je me demande pourquoi tu écris ça.
Mais bon, ce n'est pas important après tout (que tu le dises, c'est ton avis).
Manifestement, tu n'as pas bien compris ce que j'avais écrit.
On en reparle quand tu voudras.
Bonne nuit.
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Trouble a écrit:
Manifestement, tu n'as pas bien compris ce que j'avais écrit.
Re-bonsoir Marc,
Il ne faut pas me mal interpréter. Oui j'ai cru comprendre que tu buvais
une à plusieurs bières tous les jours ou presque tous les jours.
Et ce que je voulais signaler c'est que pour les alcooliques anonymes
cela est déjà une dépendance.
Le thème est délicat en ce qui me concerne car j'ai baigné pendant de
longs années chez les AA et Al-Anon. A présent j'étudie un enorme livre
appellé Big Book chez les AA en relation a la compulsion alimentaire.
Si je réagis à ce que tu as écrit c'est qu'il y a là une banalisation de la
consommation d'alcool.
Tu dis qu'il est connu des "artistes" de se soigner à l'alcool et aux clopes.
Ca ne reste pas moins, "artistes" ou "simples marginaux" une abominable addiction.
En ce qui concerne Etienne, alcool et médicaments ne font pas bon ménage,
et il en est conscient.
C'est un thème qui me touche profondément car mon enfance a été bousillée
par la consommation d'alcool, bien sur, aux occasions sociales, de mon papa.
J'en réagis toujours vivement.
Bonne soirée,
Maria
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Bonsoir Maria,
un peu étonné par tes affirmations je suis allé voir chez les AA france.
http://www.aafrance.fr/les-aa-sont-ils-pour-vous/l-alcoolisme/6-suis-je-reellement-alcoolique
J'ai relevé:
"Qu'est-ce que l'alcoolisme ?
Les AA ne donnent pas de définition de l’alcoolisme."
"Comment puis-je savoir si je suis réellement alcoolique ?
S'il vous arrive fréquemment de boire plus que vous vous l'étiez proposé ou que vous le vouliez, si vous vous attirez des ennuis ou si vous avez des trous de mémoire lorsque vous buvez, il se peut que vous soyez alcoolique. Vous seul pouvez le savoir. Chez les AA, personne ne vous dira si vous l'êtes ou non."
Bises de bonne fin de soirée (comme dirait peut-être kairos )
christian
un peu étonné par tes affirmations je suis allé voir chez les AA france.
http://www.aafrance.fr/les-aa-sont-ils-pour-vous/l-alcoolisme/6-suis-je-reellement-alcoolique
J'ai relevé:
"Qu'est-ce que l'alcoolisme ?
Les AA ne donnent pas de définition de l’alcoolisme."
"Comment puis-je savoir si je suis réellement alcoolique ?
S'il vous arrive fréquemment de boire plus que vous vous l'étiez proposé ou que vous le vouliez, si vous vous attirez des ennuis ou si vous avez des trous de mémoire lorsque vous buvez, il se peut que vous soyez alcoolique. Vous seul pouvez le savoir. Chez les AA, personne ne vous dira si vous l'êtes ou non."
Bises de bonne fin de soirée (comme dirait peut-être kairos )
christian
piloup- Nombre de messages : 560
Age : 62
Date d'inscription : 09/06/2013
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Bonjour à tous,
Le titre de ce f'il est totalement révélateur: "L'alcool vraiment de la m@@@ "
Voici ce que j'ai trouvé d'intéressant sur Internet:
Une fois bu, comment l'alcool est-il géré par notre organisme ? Quels sont les effets à long terme d'une consommation régulière ? Bien souvent, les connaissances restent floues et ne permettent pas d'appréhender sereinement les risques encourus. Le point avec Doctissimo.
L'ivresse n'est pas la seule manifestation d'une consommation excessive d'alcool. Découvrez le parcours de l'alcool dans l'organisme et ses conséquences.
L'inconnu dans la maison
Quand on consomme une boisson alcoolisée, l'alcool qu'elle contient traverse la paroi intestinale sans subir aucune modification. Il passe ainsi dans le sang très rapidement. 15 à 30 minutes suffisent si la personne est à jeun, et 30 à 60 minutes s'écoulent si ce passage est ralenti par la présence d'aliments. C'est à ce moment que l'alcoolémie (présence d'alcool dans le sang) est à son maximum avant de redescendre progressivement.
Via le réseau sanguin, l'alcool se répand dans l'ensemble de l'organisme et en particulier les organes les plus irrigués : le foie, le coeur et le cerveau. C'est le foie qui va lentement transformer 95 % de l'alcool, les 5 % restant sont éliminés par les poumons et l'air expiré, les reins et l'urine, la peau et la sueur.
Les effets toxiques de l'alcool sont aujourd'hui bien connus. Le foie, le cerveau et le système nerveux, le coeur et les muscles peuvent être atteints. L'appareil digestif n'est pas épargné. Les muqueuses, l'estomac et l'intestin sont irrités avec des sensations de brûlures fréquentes.
Cette substance psychoactive agit au niveau du cerveau au même titre que le cannabis ou d'autres drogues. Ralenti, perturbé, le cerveau est débordé. Des troubles des réflexes, de la vision et de l'équilibre, des pertes de mémoire… sont fréquents.
Pouvant entraîner une dépendance s'il est consommé régulièrement, l'alcool s'apparente à une drogue.
Voir ici : http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/alcool/sa_6455_alcool_consequences_sante.htm
Et ici : http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/alcool/sa_6455_alcool_consequences_sante_02.htm
Le titre de ce f'il est totalement révélateur: "L'alcool vraiment de la m@@@ "
Voici ce que j'ai trouvé d'intéressant sur Internet:
Des dégâts à tous les étages
Une fois bu, comment l'alcool est-il géré par notre organisme ? Quels sont les effets à long terme d'une consommation régulière ? Bien souvent, les connaissances restent floues et ne permettent pas d'appréhender sereinement les risques encourus. Le point avec Doctissimo.
L'ivresse n'est pas la seule manifestation d'une consommation excessive d'alcool. Découvrez le parcours de l'alcool dans l'organisme et ses conséquences.
L'inconnu dans la maison
Quand on consomme une boisson alcoolisée, l'alcool qu'elle contient traverse la paroi intestinale sans subir aucune modification. Il passe ainsi dans le sang très rapidement. 15 à 30 minutes suffisent si la personne est à jeun, et 30 à 60 minutes s'écoulent si ce passage est ralenti par la présence d'aliments. C'est à ce moment que l'alcoolémie (présence d'alcool dans le sang) est à son maximum avant de redescendre progressivement.
Via le réseau sanguin, l'alcool se répand dans l'ensemble de l'organisme et en particulier les organes les plus irrigués : le foie, le coeur et le cerveau. C'est le foie qui va lentement transformer 95 % de l'alcool, les 5 % restant sont éliminés par les poumons et l'air expiré, les reins et l'urine, la peau et la sueur.
Les effets toxiques de l'alcool sont aujourd'hui bien connus. Le foie, le cerveau et le système nerveux, le coeur et les muscles peuvent être atteints. L'appareil digestif n'est pas épargné. Les muqueuses, l'estomac et l'intestin sont irrités avec des sensations de brûlures fréquentes.
Cette substance psychoactive agit au niveau du cerveau au même titre que le cannabis ou d'autres drogues. Ralenti, perturbé, le cerveau est débordé. Des troubles des réflexes, de la vision et de l'équilibre, des pertes de mémoire… sont fréquents.
Pouvant entraîner une dépendance s'il est consommé régulièrement, l'alcool s'apparente à une drogue.
Voir ici : http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/alcool/sa_6455_alcool_consequences_sante.htm
Et ici : http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/alcool/sa_6455_alcool_consequences_sante_02.htm
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
OK Maria,
Manifestement, il y a eu un malentendu.
En effet, je sais que pour les AA, boire une à deux bières est signe de dépendance, mais cela me paraît exagéré.
Dans ma famille, il n'y a pas de cas d'alcoolisme, même si mes frères apprécient les bons vins, toujours à dose raisonnable.
Ni eux ni moi recherchons l'ivresse, simplement partager un moment agréable.
Loin de moi l'idée de banaliser la consommation d'alcool.
Et si cela a été perçu comme ça, j'en suis profondément désolé.
Je voulais juste dire qu'une consommation raisonnable n'était pas un crime.
Et j'aurais aussi dû préciser à propos des "artistes", que je pensais à ceux du début du siècle dernier, ou même avant.
Beaucoup (bipolaires) consommaient absinthe, opium, café et autres alcools.
(Voir Proust, Beaudelaire, Arthaud...)
Ils faisaient comme ils pouvaient pour se stabiliser. Donc, ce qu'ils avaient à leur disposition pour tenter de se stabiliser.
Aujourd'hui, la donne est différente.
Nous avons à notre disposition une large pharmacopée.
Dans tous les cas, nous savons pertinemment que alcool et médicaments ne font pas "bon ménage".
Tu sais, je ne réagis jamais à chaud, mais toujours après une longue réflexion.
Si j'ai répondu ainsi à Étienne, je ne fais qu'exprimer le fond de ma pensée et de mon ressenti.
Il est bien évident que je ne souhaite pas qu'il "plonge", mais très honnêtement, je n'y crois pas.
L'avenir nous dira si je me suis trompé ou pas.
Je te souhaite une bonne nuit.
Manifestement, il y a eu un malentendu.
En effet, je sais que pour les AA, boire une à deux bières est signe de dépendance, mais cela me paraît exagéré.
Dans ma famille, il n'y a pas de cas d'alcoolisme, même si mes frères apprécient les bons vins, toujours à dose raisonnable.
Ni eux ni moi recherchons l'ivresse, simplement partager un moment agréable.
Loin de moi l'idée de banaliser la consommation d'alcool.
Et si cela a été perçu comme ça, j'en suis profondément désolé.
Je voulais juste dire qu'une consommation raisonnable n'était pas un crime.
Et j'aurais aussi dû préciser à propos des "artistes", que je pensais à ceux du début du siècle dernier, ou même avant.
Beaucoup (bipolaires) consommaient absinthe, opium, café et autres alcools.
(Voir Proust, Beaudelaire, Arthaud...)
Ils faisaient comme ils pouvaient pour se stabiliser. Donc, ce qu'ils avaient à leur disposition pour tenter de se stabiliser.
Aujourd'hui, la donne est différente.
Nous avons à notre disposition une large pharmacopée.
Dans tous les cas, nous savons pertinemment que alcool et médicaments ne font pas "bon ménage".
Tu sais, je ne réagis jamais à chaud, mais toujours après une longue réflexion.
Si j'ai répondu ainsi à Étienne, je ne fais qu'exprimer le fond de ma pensée et de mon ressenti.
Il est bien évident que je ne souhaite pas qu'il "plonge", mais très honnêtement, je n'y crois pas.
L'avenir nous dira si je me suis trompé ou pas.
Je te souhaite une bonne nuit.
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Bonjour Piloup,
C'est vrai que une personne qui consomme de l'alcool et qui vient à "Vie Libre" ou chez les AA
elle sait elle même si elle a ou pas un problème avec l'alcool.
C'est dans les réunions ouvertes et après l'écoute de tant de témoignages que je me suis
aperçue que la majorité des membres AA se plaignaient d'une consommation au quotidien.
Peut être suis-je hypersensible à ce thème.
Bonne soirée,
Maria
C'est vrai que une personne qui consomme de l'alcool et qui vient à "Vie Libre" ou chez les AA
elle sait elle même si elle a ou pas un problème avec l'alcool.
C'est dans les réunions ouvertes et après l'écoute de tant de témoignages que je me suis
aperçue que la majorité des membres AA se plaignaient d'une consommation au quotidien.
Peut être suis-je hypersensible à ce thème.
Bonne soirée,
Maria
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
OK, OK Marc.
Pas de problème.
De toutes façons on est parfois dans ce forum pour débatre un peu.
Je te souhaite une douce nuit.
A demain,
Bisous,
Maria
Pas de problème.
De toutes façons on est parfois dans ce forum pour débatre un peu.
Je te souhaite une douce nuit.
A demain,
Bisous,
Maria
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
mmmh, moi je bois pour l'ivresse et sans doute pour en "crever".
J'ai pris la décision d'aller dans un centre anti drogues et alcool dans ma ville à partir de septembre.
mon psy se fiche totalement du fait de mon addiction, puisqu'il y a tellement de choses à côté à soigner n'est-ce pas....
Bref
Bonne soirée à vous.
J'ai pris la décision d'aller dans un centre anti drogues et alcool dans ma ville à partir de septembre.
mon psy se fiche totalement du fait de mon addiction, puisqu'il y a tellement de choses à côté à soigner n'est-ce pas....
Bref
Bonne soirée à vous.
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Bon courage aube épine, pour ton séjour dans ce centre.
Je te souhaite une bonne nuit.
Maria
Je te souhaite une bonne nuit.
Maria
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Aube épine, bonsoir !
Moi qui pensais aller me coucher, je ne peux pas le faire sans te répondre.
Manifestement, il est clair dans ce que tu écris, que tu cherches à ne plus souffrir.
L'alcool et les drogues ne résolvent rien, ce ne sont que de fausses béquilles.
Naïvement, je continue à attendre des médecins et autres spécialistes, qu'ils cessent de ne se baser que sur les symptômes et qu'ils s'attaquent aux causes réelles de nos souffrances.
Cela me révolte carrément !!!
Et dis-moi, s'il cherchait à comprendre, est-ce que ce ne serait pas mieux pour toi ?
Il veut quoi ? avoir la paix ou que tu évolues vers la stabilité ?
Pfff, ça me gonfle grave de constater combien de membres du forum sont suivis par des psys qui les traitent mal (ou les maltraitent).
J'aurais pu le mettre dans "coups de gueule".
Mais bon, le dialogue existe, et c'est déjà une très bonne chose.
J'ai constaté que la solidarité existe vraiment sur ce forum.
Continuons à nous "serrer les coudes".
Ensemble, nous sommes plus forts.
Bises et bonne nuit.
Moi qui pensais aller me coucher, je ne peux pas le faire sans te répondre.
Manifestement, il est clair dans ce que tu écris, que tu cherches à ne plus souffrir.
L'alcool et les drogues ne résolvent rien, ce ne sont que de fausses béquilles.
Naïvement, je continue à attendre des médecins et autres spécialistes, qu'ils cessent de ne se baser que sur les symptômes et qu'ils s'attaquent aux causes réelles de nos souffrances.
mon psy se fiche totalement du fait de mon addiction, puisqu'il y a tellement de choses à côté à soigner n'est-ce pas...
Cela me révolte carrément !!!
Et dis-moi, s'il cherchait à comprendre, est-ce que ce ne serait pas mieux pour toi ?
Il veut quoi ? avoir la paix ou que tu évolues vers la stabilité ?
Pfff, ça me gonfle grave de constater combien de membres du forum sont suivis par des psys qui les traitent mal (ou les maltraitent).
J'aurais pu le mettre dans "coups de gueule".
Mais bon, le dialogue existe, et c'est déjà une très bonne chose.
J'ai constaté que la solidarité existe vraiment sur ce forum.
Continuons à nous "serrer les coudes".
Ensemble, nous sommes plus forts.
Bises et bonne nuit.
Invité- Invité
Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…
Bonsoir Trouble, tu sais, je pense qu'il veut tout simplement que je lui "fiche" la paix avec ma camisole chimique, mais là j'ai appelé la secrétaire du psy pour avoir un rdv avec lui (20 ans qu'il me "suit"). Je suis très énervée contre lui. J'ai de quoi l'être, et tu as de quoi pousser ta gueulante aussi, d'ailleurs je t'en remercie.
Bonne nuit trinity, bonne nuit trouble et vous tous.
Bonne nuit trinity, bonne nuit trouble et vous tous.
Invité- Invité
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