Santé mentale n°139 — Le vécu en chambre d'isolement
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Jacques
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Re: Santé mentale n°139 — Le vécu en chambre d'isolement
La contention remplace la compassion dans les hopitaux psychiatriques.
On a tous croisé des "miss Ratched" en puissance particulièrement dans les services fermés.
On a tous croisé des "miss Ratched" en puissance particulièrement dans les services fermés.
Invité- Invité
SantéMentale.fr : « Focus sur la contention en psychiatrie »
Bonjour,
lu sur
SantéMentale.fr
Plusieurs initiatives de parlementaires et professionnels de santé vont récemment dans le sens d'une levée de voile sur la contention des patients en psychiatrie.
Un sujet tabou, bien que son usage reste fréquent.
Cette pratique devrait néanmoins bénéficier à l'avenir d'un meilleur encadrement et, si besoin, être véritablement réinterrogée.
Hospimedia fait le point sur cette pratique et le contexte juridique.
http://www.santementale.fr/actualites/focus-sur-la-contention-en-psychiatrie.html
lu sur
SantéMentale.fr
Focus sur la contention en psychiatrie
Plusieurs initiatives de parlementaires et professionnels de santé vont récemment dans le sens d'une levée de voile sur la contention des patients en psychiatrie.
Un sujet tabou, bien que son usage reste fréquent.
Cette pratique devrait néanmoins bénéficier à l'avenir d'un meilleur encadrement et, si besoin, être véritablement réinterrogée.
Hospimedia fait le point sur cette pratique et le contexte juridique.
http://www.santementale.fr/actualites/focus-sur-la-contention-en-psychiatrie.html
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
« Maladie mentale : un rapport dénonce les pratiques d'hôpitaux psychiatriques »
Bonjour !
Lu sur santé
««« Maladie mentale : un rapport dénonce les pratiques d'hôpitaux psychiatriques — Par Sciences et Avenir avec AFP
Des patients isolés, attachés ou sous camisole : ces pratiques anciennes connaissent une recrudescence dans les établissements psychiatriques français, et certains en abusent, selon un rapport.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/20160525.OBS1214/maladie-mentale-un-rapport-denonce-les-pratiques-d-hopitaux-psychiatriques.html
»»»
Bonne journée. Bises aux filles . Jacques
Lu sur santé
««« Maladie mentale : un rapport dénonce les pratiques d'hôpitaux psychiatriques — Par Sciences et Avenir avec AFP
Des patients isolés, attachés ou sous camisole : ces pratiques anciennes connaissent une recrudescence dans les établissements psychiatriques français, et certains en abusent, selon un rapport.
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/20160525.OBS1214/maladie-mentale-un-rapport-denonce-les-pratiques-d-hopitaux-psychiatriques.html
»»»
Bonne journée. Bises aux filles . Jacques
un rapport d'Adeline HAZAN (CGLPL) fustige les dérives d'hôpitaux psychiatriques
La Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté (CGLPL) publie un rapport qui fait frémir sur la multiplication des pratiques indignes dans les hôpitaux psychiatriques.
Un rapport fustige les dérives d'hôpitaux psychiatriques
Cela se sait, cela le voit. Depuis quelques années, se multiplient des pratiques de contention et d’isolement systématiques dans les services de psychiatrie en France. Et il ne se passe rien. Ou si peu. On laisse faire, on regarde ailleurs. A l’exception de quelques personnalités comme le député (PS) Denys Robiliard, cela se poursuit dans une relative indifférence des pouvoirs publics. Le ministère de la Santé, ainsi, ne réagit pas. Est-ce que le rapport que publie ce mercredi la Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté (CGLPL), Adeline Hazan, va changer la donne ?
Un rapport clair, ferme, et inquiétant, que révèle l'Agence France Presse. Pour la première fois depuis sa création en 2008, le CGLPL a établi un bilan thématique de ses 121 visites dans 112 établissements de santé mentale représentant 40% des sites spécialisés en psychiatrie. Il porte sur deux pratiques anciennes qui «connaissent une recrudescence depuis une vingtaine d’années», «l’isolement» ou le placement d’un patient dans un espace fermé qu’il ne peut ouvrir et la «contention mécanique», qui consiste à l’immobiliser par des liens, attaches ou camisoles. «La grande majorité des unités de soins visitées disposent d’une, voire de deux chambres d’isolement et de matériel de contention», explique le rapport.
Pour le CGLPL, le développement de ces pratiques s’explique par «une réduction des effectifs», «la présence insuffisante des médecins», «une évolution de l’approche psycho pathologique» et «un manque de réflexion d’ensemble sur la liberté de circulation des patients». «L’impératif de sécurité» est également mis en avant, souligne Adeline Hazan, pour qui le malade mental «ne bénéficie pas de la représentation qui s’attache à toute maladie : souffrance, fragilité, besoins de soins, compassion» en raison d’un présupposé sur sa dangerosité, «plus alimenté par le traitement médiatique d’événements exceptionnels que par une réalité statistique d’un quelconque danger».
Défaillances dans la surveillance
Parmi ses observations, elle constate un détournement de l’utilisation de ces outils, prévus pour faire face à des situations de crise limitée dans le temps, à des fins disciplinaires ou de sanction, «certains services allant jusqu’à établir un barème en jours d’isolement en fonction de la transgression à des règles fixées».
Certains règlements intérieurs prévoient un séjour systématique des patients à l’isolement lors de leur admission pour des durées pouvant atteindre quinze jours. Quant aux détenus, ils sont systématiquement placés en chambre d’isolement. L’isolement est plus affaire de «culture de service» que de type de patient. Sa durée est variable et l’organisation des chambres n’est pas normalisée. Les modalités de contention ne sont pas plus uniformes allant de deux membres à quatre membres, au buste et au bassin attachés», constate le rapport.
Concernant les atteintes aux droits fondamentaux des patients, le rapport mentionne des défaillances dans la surveillance, l’absence de sonnette d’appel. «Certains, attachés, n’ont d’autre choix que d’attendre le passage d’un infirmier, parfois seulement toutes les deux heures et moins la nuit, pour obtenir à boire, demander le bassin ou signaler un malaise.»
Rapport terrifiant
Le droit à l’intimité est bafoué par le développement de la vidéosurveillance, voire l’installation de micros et de caméras thermiques «attentatoires à la dignité des patients», dénonce le CGLPL, qui déplore également «les interdictions de visite», des patients obligés de manger par terre en utilisant leur lit comme table, l’obligation du port du pyjama sans justification médicale et l’absence d’activité. Parmi les patients, «le sentiment d’incompréhension voire de punition domine», écrit le CGLPL. «Tout doit être mis en œuvre pour apaiser la personne en situation de crise avec des approches alternatives à une mesure de contrainte physique», écrit dans ses recommandations la contrôleure. Elle prône une traçabilité de ces pratiques avec la tenue d’un registre et une information de la personne concernée et de ses proches sur ses droits.
Elle souhaite qu’un examen psychiatrique préalable soit systématiquement réalisé et que la décision soit motivée pour justifier son caractère «adapté, nécessaire et proportionné». «La mesure de contrainte physique doit être la plus courte possible et ne saurait dépasser la situation de crise.» Sans une nouvelle décision, elle ne doit pas dépasser vingt-quatre heures pour l’isolement et douze pour la contention.
Sera-t-elle entendue ? Faut-il rappeler, il y a deux mois, le rapport terrifiant qui avait été déjà publié sur l’hôpital psychiatrique de Bourg-en-Bresse, où des patients étaient enfermés, attachés pendant plusieurs mois ? Le ministère de la santé, comme l’Agence Régionale de la Santé, n’avait pas réagi. Faut-il souligner l’appel lancé, en septembre dernier par le collectif des 39 «Non à la contention»? Peu ou pas d’échos. Comme si ce qui se passe dans les hôpitaux psychiatriques tombait désespérément dans un trou noir.
Eric Favereau
Des exemples de maltraitance au quotidien dénoncés par le Cercle de Réflexion et de Propositions d'Actions en Psychiatrie, une association d'usagers en psychiatrie : http://www.actusoins.com/28086/deces-suspects-au-ch-henry-ey-psychiatrie.html
Un rapport fustige les dérives d'hôpitaux psychiatriques
Cela se sait, cela le voit. Depuis quelques années, se multiplient des pratiques de contention et d’isolement systématiques dans les services de psychiatrie en France. Et il ne se passe rien. Ou si peu. On laisse faire, on regarde ailleurs. A l’exception de quelques personnalités comme le député (PS) Denys Robiliard, cela se poursuit dans une relative indifférence des pouvoirs publics. Le ministère de la Santé, ainsi, ne réagit pas. Est-ce que le rapport que publie ce mercredi la Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté (CGLPL), Adeline Hazan, va changer la donne ?
Un rapport clair, ferme, et inquiétant, que révèle l'Agence France Presse. Pour la première fois depuis sa création en 2008, le CGLPL a établi un bilan thématique de ses 121 visites dans 112 établissements de santé mentale représentant 40% des sites spécialisés en psychiatrie. Il porte sur deux pratiques anciennes qui «connaissent une recrudescence depuis une vingtaine d’années», «l’isolement» ou le placement d’un patient dans un espace fermé qu’il ne peut ouvrir et la «contention mécanique», qui consiste à l’immobiliser par des liens, attaches ou camisoles. «La grande majorité des unités de soins visitées disposent d’une, voire de deux chambres d’isolement et de matériel de contention», explique le rapport.
Pour le CGLPL, le développement de ces pratiques s’explique par «une réduction des effectifs», «la présence insuffisante des médecins», «une évolution de l’approche psycho pathologique» et «un manque de réflexion d’ensemble sur la liberté de circulation des patients». «L’impératif de sécurité» est également mis en avant, souligne Adeline Hazan, pour qui le malade mental «ne bénéficie pas de la représentation qui s’attache à toute maladie : souffrance, fragilité, besoins de soins, compassion» en raison d’un présupposé sur sa dangerosité, «plus alimenté par le traitement médiatique d’événements exceptionnels que par une réalité statistique d’un quelconque danger».
Défaillances dans la surveillance
Parmi ses observations, elle constate un détournement de l’utilisation de ces outils, prévus pour faire face à des situations de crise limitée dans le temps, à des fins disciplinaires ou de sanction, «certains services allant jusqu’à établir un barème en jours d’isolement en fonction de la transgression à des règles fixées».
Certains règlements intérieurs prévoient un séjour systématique des patients à l’isolement lors de leur admission pour des durées pouvant atteindre quinze jours. Quant aux détenus, ils sont systématiquement placés en chambre d’isolement. L’isolement est plus affaire de «culture de service» que de type de patient. Sa durée est variable et l’organisation des chambres n’est pas normalisée. Les modalités de contention ne sont pas plus uniformes allant de deux membres à quatre membres, au buste et au bassin attachés», constate le rapport.
Concernant les atteintes aux droits fondamentaux des patients, le rapport mentionne des défaillances dans la surveillance, l’absence de sonnette d’appel. «Certains, attachés, n’ont d’autre choix que d’attendre le passage d’un infirmier, parfois seulement toutes les deux heures et moins la nuit, pour obtenir à boire, demander le bassin ou signaler un malaise.»
Rapport terrifiant
Le droit à l’intimité est bafoué par le développement de la vidéosurveillance, voire l’installation de micros et de caméras thermiques «attentatoires à la dignité des patients», dénonce le CGLPL, qui déplore également «les interdictions de visite», des patients obligés de manger par terre en utilisant leur lit comme table, l’obligation du port du pyjama sans justification médicale et l’absence d’activité. Parmi les patients, «le sentiment d’incompréhension voire de punition domine», écrit le CGLPL. «Tout doit être mis en œuvre pour apaiser la personne en situation de crise avec des approches alternatives à une mesure de contrainte physique», écrit dans ses recommandations la contrôleure. Elle prône une traçabilité de ces pratiques avec la tenue d’un registre et une information de la personne concernée et de ses proches sur ses droits.
Elle souhaite qu’un examen psychiatrique préalable soit systématiquement réalisé et que la décision soit motivée pour justifier son caractère «adapté, nécessaire et proportionné». «La mesure de contrainte physique doit être la plus courte possible et ne saurait dépasser la situation de crise.» Sans une nouvelle décision, elle ne doit pas dépasser vingt-quatre heures pour l’isolement et douze pour la contention.
Sera-t-elle entendue ? Faut-il rappeler, il y a deux mois, le rapport terrifiant qui avait été déjà publié sur l’hôpital psychiatrique de Bourg-en-Bresse, où des patients étaient enfermés, attachés pendant plusieurs mois ? Le ministère de la santé, comme l’Agence Régionale de la Santé, n’avait pas réagi. Faut-il souligner l’appel lancé, en septembre dernier par le collectif des 39 «Non à la contention»? Peu ou pas d’échos. Comme si ce qui se passe dans les hôpitaux psychiatriques tombait désespérément dans un trou noir.
Eric Favereau
Des exemples de maltraitance au quotidien dénoncés par le Cercle de Réflexion et de Propositions d'Actions en Psychiatrie, une association d'usagers en psychiatrie : http://www.actusoins.com/28086/deces-suspects-au-ch-henry-ey-psychiatrie.html
paumée- Nombre de messages : 969
Type troubles : BP II - Troubles circulaires (sans euthymie)
Date d'inscription : 04/05/2008
Qui est Adeline Hazan ?
Quel est le parcours de l'actuelle Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté (CFLPL)
Adeline Hazan a été nommée le 17 juillet 2014 au poste de Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté.
Née le 21 janvier 1956 à Paris, Adeline Hazan est diplômée de l’École Nationale de la Magistrature (1979). Magistrate, elle a été Juge d’Application des Peines au Tribunal de Grande Instance (TGI) de Châlons-sur-Marne de 1980 à 1983, puis juge des enfants en région parisienne jusqu’en 1990. Elle a été présidente du syndicat de la magistrature de 1986 à 1989.
Après avoir été chargée de mission au secrétariat général à l’intégration en 1990 et 1991, puis responsable du secteur de la prévention de la délinquance à la délégation interministérielle à la ville de 1991 à 1995, elle redevient juge des enfants au TGI de Paris.
En juin 1997, elle est nommée conseillère auprès de la ministre de l’emploi et de la solidarité, Martine Aubry, chargée de la politique de la ville et de l’intégration jusqu’en 1999.
Députée européenne de 1999 à 2008, Adeline Hazan a siégé à la commission des affaires constitutionnelles puis à la commission des libertés et des droits des citoyens, de la justice et des affaires intérieures. Elle met fin à son mandat de parlementaire européenne suite à son élection à la mairie de Reims le 21 mars 2008. Maire de Reims jusqu’au 4 avril 2014, puis conseillère municipale et conseillère de l’agglomération rémoise, elle a démissionné de ces deux derniers mandats suite à sa nomination au poste de Contrôleur Général des Lieux de Privation de Liberté.
Adeline Hazan a été secrétaire nationale du parti socialiste, chargée des questions de société de 1995 à 2003, puis secrétaire nationale chargée des droits de femmes jusqu’en 2014. Elle a quitté la direction du parti socialiste en juillet 2014 pour se consacrer à sa mission de Contrôleure générale des lieux de privation de liberté.
Source : http://www.cglpl.fr/2014/adeline-hazan-controleure-generale-des-lieux-de-privation-de-liberte/
Adeline Hazan a été nommée le 17 juillet 2014 au poste de Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté.
Née le 21 janvier 1956 à Paris, Adeline Hazan est diplômée de l’École Nationale de la Magistrature (1979). Magistrate, elle a été Juge d’Application des Peines au Tribunal de Grande Instance (TGI) de Châlons-sur-Marne de 1980 à 1983, puis juge des enfants en région parisienne jusqu’en 1990. Elle a été présidente du syndicat de la magistrature de 1986 à 1989.
Après avoir été chargée de mission au secrétariat général à l’intégration en 1990 et 1991, puis responsable du secteur de la prévention de la délinquance à la délégation interministérielle à la ville de 1991 à 1995, elle redevient juge des enfants au TGI de Paris.
En juin 1997, elle est nommée conseillère auprès de la ministre de l’emploi et de la solidarité, Martine Aubry, chargée de la politique de la ville et de l’intégration jusqu’en 1999.
Députée européenne de 1999 à 2008, Adeline Hazan a siégé à la commission des affaires constitutionnelles puis à la commission des libertés et des droits des citoyens, de la justice et des affaires intérieures. Elle met fin à son mandat de parlementaire européenne suite à son élection à la mairie de Reims le 21 mars 2008. Maire de Reims jusqu’au 4 avril 2014, puis conseillère municipale et conseillère de l’agglomération rémoise, elle a démissionné de ces deux derniers mandats suite à sa nomination au poste de Contrôleur Général des Lieux de Privation de Liberté.
Adeline Hazan a été secrétaire nationale du parti socialiste, chargée des questions de société de 1995 à 2003, puis secrétaire nationale chargée des droits de femmes jusqu’en 2014. Elle a quitté la direction du parti socialiste en juillet 2014 pour se consacrer à sa mission de Contrôleure générale des lieux de privation de liberté.
Source : http://www.cglpl.fr/2014/adeline-hazan-controleure-generale-des-lieux-de-privation-de-liberte/
paumée- Nombre de messages : 969
Type troubles : BP II - Troubles circulaires (sans euthymie)
Date d'inscription : 04/05/2008
Fusion de posts
Bonjour, paumée !
Je me suis permis de rattacher ton post sur le rapport de la CGLPL à ce fil, car j'avais déjà mentionné l'existence de ce rapport dans mon post du 26 mai dernier, avec un lien sur un article de Sciences et Avenir où la CGLPL est clairement mentionnée.
Il est bien question de la CGLPL et non de la CFLPL comme tu l'écris dans ton deuxième post présentant Adeline Hazan.
Bon dimanche. Bises . Jacques
PS Ceci est à mettre en rapport avec les SSC — Soins sans consentement — dont l'évolution législative a évolué comme le montre ce fil — dans le sous forum Environnement — dont le dernier post est : https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/t2122p15-ssc-soins-psychiatriques-sans-consentement-projet-de-loi-mai-2010#169702 .
Je me suis permis de rattacher ton post sur le rapport de la CGLPL à ce fil, car j'avais déjà mentionné l'existence de ce rapport dans mon post du 26 mai dernier, avec un lien sur un article de Sciences et Avenir où la CGLPL est clairement mentionnée.
Il est bien question de la CGLPL et non de la CFLPL comme tu l'écris dans ton deuxième post présentant Adeline Hazan.
Bon dimanche. Bises . Jacques
PS Ceci est à mettre en rapport avec les SSC — Soins sans consentement — dont l'évolution législative a évolué comme le montre ce fil — dans le sous forum Environnement — dont le dernier post est : https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/t2122p15-ssc-soins-psychiatriques-sans-consentement-projet-de-loi-mai-2010#169702 .
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