Re: L'alcool, vraiment de la m@@@…

[popokaa]

Bonjour,je suis aussi une rongeuse !!!!Cela depuis ma plus tendre enfance!!C'est pas beau mais je ne peux pas m'en empecher!!

[Invité]

Moi idem...ça s'appelle l'onychophagie ,et ça se soigne pas vraiment,pffff...

[Andrée]

Qu'est-ce que le nalméfène (Selincro) contre l’alcoolodépendance remboursé en France?

Soumis par Gestion le 1 mars 2014



Le nalméfène (Selincro), médicament contre l’alcoolodépendance, a été autorisé par l'Agence européenne du médicament (EMA) en février 2013 et en France en décembre 2013.

Il est indiqué pour ""réduction de la consommation d'alcool chez les patients adultes présentant une dépendance à l’alcool avec une consommation d'alcool à haut risque (plus de 60 g/jour pour un homme, plus de 40 g/jour pour une femme, soit 6 et 4 consommations), ne présentant pas de symptômes physiques de sevrage et ne nécessitant pas un sevrage immédiat""...

Lire la suite
  
http://www.psychomedia.qc.ca/alcoolisme/2014-03-01/medicament-nalmefene-selincro

Voir liens sur Angie
  
https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/search?mode=searchbox&search_keywords=alcool&show_results=topics

[alaskan]

Bonjour

Moi, je ne connais pas vos produits, excepté peut-être le baclofène et le valium.... rien n'y a fait.... si, j'ai réduit ma conso, ce qui est déjà pas mal.... mais pas d'abstinence....
je suis bipo type II, je rêve d'un up trois étoiles, sans la dépression of course... j'ai arrêté seul pendant 4 mois, alors que mes cures n'ont servies à rien... aujourd'hui, je repiccole et je dois jongler entre le boulot, les tâches quotidiennes, et surtout, ma fille... elle a 8 mois, je suis son papa adoré, mais qu'en sera-t-il dans quelques années... je ne dis pas, et je ne crois pas, que d'ici là, le pb sera résolu.... mais quoi? en attendant, sa mère protège notre enfant de moi... de son père... allez vivre ça... c'est insupportable, insondable, morbide, intolérable, culpabilisant surtout...
L'alcool n'est pas une ******... ç'en est  seulement une pour qui il n'y a plus de limites...

cordialement,
Alaskan

[Invité]

Alcoolisme : feu vert à la prescription du baclofène

SANTÉ

Déjà prescrit par de nombreux médecins contre l'alcoolisme, minimisé par d'autres, le baclofène a été autorisé vendredi de façon tempororaire par l'Agence du médicament.

L'Agence du médicament a donné son feu vert officiel à l'utilisation du baclofène dans le traitement de l'alcoolisme via une procédure d'autorisation temporaire publiée vendredi.

L'agence du médicament attendait l'accord de la Cnil (Commission nationale informatique et libertés), reçu jeudi, qui était nécessaire à cette nouvelle procédure appelée "RTU" pour "recommandation temporaire d'utilisation".

Utilisé depuis quarante ans comme un relaxant musculaire et commercialisé par Sanofi et Novartis, le baclofène est déjà prescrit en France à environ 50.000 buveurs excessifs, hors de toute AMM. Selon des chiffres de la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM), sa prescription hors AMM a augmenté de 29% en 2012.

La communauté scientifique reste toutefois divisée sur le médicament, certains médecins mettant en doute sa réelle efficacité. Un bilan mis en ligne par l'Agence du médicament en août dernier indiquait par ailleurs que les effets indésirables du baclofène étaient en augmentation par rapport à l'année précédente, avec 405 cas recensés, soit 163 de plus qu'en 2011.

Qu'est-ce que le baclofène ? Les explications :

      http://lci.tf1.fr/science/sante/alcoolisme-feu-vert-a-la-prescription-du-baclofene-8382489.html

[alaskan]

Bonjour,

Quelqu'un peut-il m'en dire plus sur le nalméfène?
Je suis alcoolo-dépendant, et le baclofène n'a rien résolu...
Je suis à la recherche de toute solution bienvenue...

Alaskan

[osiris042]

Clique ICI : Pétition pour une journée sans alcool ?

Perso j'en suis actuellement à mon 70 ème jour.

[Andrée]

Dépendance à l’alcool... Etat de piège
Tableau bipolaire particulier, troubles anxieux…

28/04/2014

La consommation chronique d’alcool expose à la survenue de problèmes neuropsychiatriques.
L’attention doit notamment être attirée par des troubles de l’humeur, de type bipolaire, ainsi que par des troubles anxieux, dont la prise en charge est souvent retardée ou mal adaptée.

La consommation excessive d’alcool a de nombreuses conséquences dommageables au plan neuropsychiatrique.
Pour le Pr Amine Benyamina *, psychiatre addictologue, deux grandes nosographies prédominent en cas d’alcoolisation chronique « avec les troubles de l’humeur, notamment les troubles bipolaires et les troubles anxieux.
Il s’agit le plus souvent de sujets qui ne sont pas pris en charge rapidement.
Ils vont être exposés à la survenue de dommages somatiques, personnels, professionnels et ils se présentent au médecin en se plaignant d’un mal-être, d’une dépression pour justifier leur prise d’alcool ».


- Rechercher des troubles bipolaires en cas d’alcoolisation

D’où l’intérêt pour les médecins généralistes de rechercher systématiquement une problématique psychiatrique associée à l’alcoolisation sur les deux niveaux les plus importants que sont les troubles bipolaires ou la dépression.
« Chez toute personne déprimée qui s’alcoolise, souligne le Pr A. Benyamina, il faut penser à un trouble de l’humeur, avec des récurrences entre les états dépressifs majeurs et les passages maniaques ou hypomaniaques.
Les troubles hypomaniaques sont plus difficiles à repérer car l’hypomanie est souvent perçue, lors des phases positives, comme une qualité sociale (personne agréable, boute-en-train, qui se lie facilement…).
Alors que ces personnes peuvent sombrer très vite dans la dépression avec des idées noires suicidaires et le recours à l’alcool à visée anxiolytique et désinhibitrice ».

De fait, le tableau bipolaire est très particulier car il est non seulement marqué par la dépression, les passages hypomaniaques sont rarement perçus ; ces personnes ont une réactivité aux anxiolytiques, donnant l’impression d’aller mieux.
Chez les sujets alcoolodépendants, ce tableau bipolaire est marqué par une anxiété importante qui vient compliquer le tableau, lorsqu’ils cessent la consommation d’alcool.
Comme l’explique le Pr A. Benyamina, « ces sujets présentent au décours d’un sevrage des signes hypomaniaques (ils sont très loquaces, coupent la parole, sautent d’un sujet à l’autre…).
Ils sont souvent traités à tort par des antidépresseurs.
En effet, dans les troubles bipolaires et contrairement aux autres produits, l’alcoolisation est essentiellement marquée par une tonalité de type dépressif, mais il ne s’agit pas d’une dépression.
C’est pourquoi, la prise en charge est très codifiée avec mise sous thymorégulateurs, associée à la gestion de la consommation d’alcool (aide au sevrage, entretiens motivationnels…). Le risque suicidaire étant beaucoup plus élevé en cas de trouble bipolaire alcoolique qu’en cas de trouble bipolaire isolé et c’est ce qui en fait la grande différence ».


- Des troubles anxieux souvent associés

Une deuxième grande nosographie liée aux conduites d’alcoolisation chronique est représentée par les troubles anxieux : trouble anxieux généralisé (TAG), attaque de panique, troubles phobiques.
L’alcool est particulièrement générateur de TAG en raison de ses interférences avec les récepteurs GABA et de son effet désinhibiteur rapide (qui dure de 5 à 10 minutes), suivi d’un effet de sédation.
L’alcool s’avère être un « faux ami » en ce sens où, dès lors que le sujet est soulagé par la prise d’alcool, il garde une mémoire de l’anxiolyse telle qu’il va recourir à ce produit « miracle » à chaque montée d’anxiété.
Or, l’alcool est une sorte de leurre qui modifie la réponse neurobiologique, ce qui va perturber progressivement les mécanismes du système de récompense.


- Et aussi…

En dehors des troubles de l’humeur, notamment bipolaires, toujours présents chez le sujet alcoolodépendant et des troubles anxieux souvent associés, l’alcoolisation chronique peut aussi entraîner la survenue de troubles de tonalité paranoïaque (interprétations erronées, fausseté de jugement, sentiment de persécution, jalousies et violences conjugales…).
Mais remarque le Pr A. Benyamina, « il ne s’agit pas nécessairement de personnes paranoïaques au départ ; c’est le produit alcool qui vient perturber des éléments de compréhension et d’interprétation de la réalité ».

En ce qui concerne le risque de démences alcooliques classiquement décrites dans les tableaux d’alcoolisme chronique, le Pr A. Benyamina rappelle que « l’alcool est le produit le plus neurotoxique avec des atteintes cognitives au premier plan, contrairement aux autres produits ».
A un stade encore réversible, c’est le syndrome de Gayet Wernicke par atteinte cérébrale ou par carence en thiamine et en l’absence de traitement, à un stade ultérieur irréversible, c’est le syndrome de Korsakoff avec toutes les conséquences dommageables sur la personne, l’environnement et la société.

Enfin, le risque de survenue de schizophrénie est un phénomène peu associé à l’alcool, contrairement au cannabis.

Dr Martine ANDRÉ

* D’après un entretien auprès du Pr Amine Benyamina, psychiatre addictologue, responsable du centre d’addictologie à l’hôpital Paul-Brousse, Villejuif.

  
http://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites-dependance-alcool-etat-de-piege/addictologie-alcoologie-glissement-psychiatrie/tableau-b

[Invité]

Tu m'étonnes Franzie , tu prêches une convaincue   et ..si en plus l'alcool est associé au cannabis , alors là      

[Andrée]

Bonjour,
lu sur
      

 


Dépendance à l'alcool : un nouveau traitement pour aider au sevrage

Par La rédaction de Allodocteurs.fr
rédigé le 14 octobre 2014, mis à jour le 15 octobre 2014


Après le baclofène et le nalméfène (Selincro), voici l'Alcover.
Ce médicament qui vient d'être testé sur près de 500 patients dépendants à l'alcool permettrait à près d'un patient sur quatre de devenir abstinent.

VOIR AUSSI

   - Alcoolisme : le baclofène autorisé
   - Alcool       : des solutions contre la dépendance




http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-dependance-a-l-alcool-un-nouveau-traitement-pour-aider-au-sevrage-14579.asp?1=1

[Jacques]

Bonjour !

Lu sur

««« Alcoolisme : le Baclofène tient-il toutes ses promesses ? — Par Lise Loumé

ARTE diffusera ce soir une enquête sur la Baclofène, médicament utilisé pour traiter l'alcoolisme. Retrouvez à cette occasion les articles de Sciences et Avenir sur le sujet.

http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20141031.OBS3798/alcoolisme-le-baclofene-tient-il-toutes-ses-promesses.html

»»»

Sur Arte : http://www.arte.tv/guide/fr/resultats-de-recherche?keyword=baclofene

Bonne journée. Bisous . Jacques

[osiris042]

Laurence, survivante de l'alcoolisme "à col blanc"

««« Laurence Cottet a longtemps travaillé dans un grand groupe où l'alcool coulait à flot. Dépendante pendant plus de 10 ans, jusqu'à l'ivresse de trop, elle alerte aujourd'hui sur le danger de l'alcoolisme, notamment en entreprise. Témoignage. »»»

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/emploi/laurence-survivante-de-l-alcoolisme-au-travail_1316867.html#76q1B49uYXirvcdH.99
Article l'EXPRESS Laurence COTTET

[osiris042]

Merci Jacques pour la remise en forme !

Jean-Marc à 285 ème jours SANS alcool.

[claudy++]

jean marc

gros bisous

[dominique]

Idem le commentaire de Claudy,

Chapeau bas Jean-Marc, c'est un grand poison en moins dans ta vie!! et au moins on doit retrouver sa propre fierté quand on y arrive.

Monsieur Jean-Marc!!

Bises, domi.

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