Nouvelles de l'étranger "psy et santé mentale".

[Andrée]

Nouvelles normes pour la recherche psychiatrique aux États-Unis



Soumis par Gestion le 19 mars 2014


Le National Institute of Mental Health (NIMH), organisme gouvernemental américain subventionnant la recherche en santé mentale, a décidé de cesser de financer les essais cliniques qui ne visent qu'à soulager les symptômes de patients, rapporte la revue Nature.

Les études cliniques devront dorénavant identifier les mécanismes biologiques qui sous-tendent les symptômes.

Ainsi, si l'essai d'un traitement échoue, les chercheurs auront au moins appris quelque chose du fonctionnement cérébral, souligne Thomas Insel, directeur du NIMH.

En 2013, le budget alloué aux essais cliniques par le NIMH a été de 100 millions de dollars.

En avril 2013, Insel avait aussi annoncé que le NIMH cesserait d'utiliser le DSM-5, le Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders" publié par l'American Psychiatric Association, pour classifier les troubles mentaux.

Le DSM-5 regroupe les patients selon leurs symptômes, ce qui ne correspond pas toujours à la pathologie sous-jacente.
Avec cette approche imprécise, même si les symptômes sont atténués, les chercheurs ne peuvent toujours pas comprendre ce qui les causent, explique Insel. ""Nous avons étudié les médicaments, et non les troubles (psychiatriques)"".

Trop souvent, la recherche consiste à lancer une balle sur le mur, si un résultat est le moindrement statistiquement significatif, ""vous avez gagné"".
Une telle pensée, ajoute-t-il, est une perte de temps et d'argent.

Psychomédia avec source: Nature.
Tous droits réservés

  
http://www.psycom.org/Actualites/A-lire-a-voir-a-ecouter/Psychomedia-Nouvelles-normes-pour-la-recherche-en-psychiatrie

[Andrée]

Revue médicale Suisse


Recherche sur 'Trouble bipolaire' a généré 70 résultats.

  
http://rms.medhyg.ch/resultats_recherche.php?searchTerm=trouble+bipolare

[Andrée]

Trouble bipolaire: découverte de deux nouveaux gènes à risque

Mercredi 12 mars 2014

Des chercheurs suisses et allemands ont découvert deux nouveaux gènes impliqués dans le trouble bipolaire.
Trois autres gènes identifiés comme «à risque» par de précédentes études ont été confirmés, selon ces travaux publiés dans la revue «Nature Communications»

«Manifestement, de très nombreux gènes différents sont impliqués dans le trouble bipolaire et interagissent de manière complexe avec des facteurs environnementaux», explique un des co-auteurs, Sven Cichon, de l’Hôpital universitaire de Bâle, cité mercredi dans un communiqué de cette dernière.
La maladie, aussi appelée trouble maniaco-dépressif, touche 1% de la population une fois dans sa vie.

Les chercheurs ont utilisé une énorme base de données de 10’000 patients bipolaires et 14’000 sujets sains.
A l’aide de procédés d’analyse automatisés, ils ont évalué 2,3 millions de marqueurs génétiques différents, et finalement mis en évidence cinq régions du génome en lien avec la maladie: deux nouveaux gènes ont ainsi été identifiés et trois confirmés.

Un des deux nouveaux gènes code une enzyme participant à la transmission des signaux aux neurones.
«Cela concorde avec les observations selon lesquelles la transmission des signaux est réduite dans certaines régions du cerveau chez les patients bipolaires», commente le responsable de l’étude Markus Nöthen, de l’Université de Bonn.

Ces travaux pourraient déboucher sur de nouveaux axes thérapeutiques.
Le trouble bipolaire est une fluctuation anormale de l’humeur, oscillant entre des périodes d’hyperactivité maniaque et des phases dépressives.

  
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/c4c6cf1e-aa10-11e3-a7f6-006044306642

[Andrée]

Santé mentale : Un don de 650 millions $ pour la recherche






Le père d'un homme souffrant de trouble bipolaire a donné 650 millions de dollars à la recherche sur les maladies mentales, a rapporté le quotidien le New York Times.

Ted Stanley, qui a fait fortune en vendant des objets de collection, a décidé de créer une fondation pour soutenir la recherche en santé mentale.

Son fils Jonathan, lorsqu'il était âgé de 19 ans, a fait un épisode psychotique qui l'a mené dans un hôpital psychiatrique. Il a par la suite été soigné avec des médicaments à base de lithium qui lui ont permis de mener une existence normale depuis.

«La vie de mon fils a été sauvée. Je voudrais pouvoir aider d'autres personnes qui ont elles aussi des problèmes de santé mentale», a déclaré Ted Stanley.

Lundi, la Fondation de la famille Stanley a versé au centre de recherche Broad Institute un montant de 650 millions de dollars, l'un des plus importants dons privés de l'histoire de la recherche scientifique.

Cette somme tombe à pic alors la compréhension des causes des maladies mentales progresse peu et que les fabricants de médicaments ont cessé de développer de nouveaux traitements depuis des années.

  
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2014/07/20140722-151250.html

[mireille]

merci Franzie
j'espere que cette énorme don fera evoluer les recherches et que vous pourrez tous en bénéficier ....


bisous
Mireille

[Andrée]

Mireille,
je le souhaite aussi.
Bises de bonne journée.
Franzie

[chispa]

Merci pour les infos que tu postes   

[claudy++]

coucou frantzie

merki pour les infos que tu postes,bravo ,continues tes recherches

bisous claudy     

[Andrée]

Bonjour,
lu sur
psy.ch
Guide de la santé psychique dans le canton de Berne



http://psy.ch./fr/navigation-principale/accueil-20.html

[Andrée]

Bonjour,
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Dépression féminine : un nouvel espoir

Les femmes approchant la ménopause ont des taux plus élevés d’une protéine cérébrale liée à la dépression que les femmes plus jeunes ou ménopausées, révèle une nouvelle étude de CAMH.
Cela ouvre des perspectives d’étude sur la prévention et le traitement (compléments alimentaires ou hormonothérapie substitutive), avec contrôle par imagerie cérébrale TEP. L’étude a été financée par les Instituts de recherche en santé du Canada, la Brain and Behaviour Research Foundation, la Fondation canadienne pour l’innovation et le ministère ontarien de la Recherche et de l’Innovation.


http://www.camh.ca/fr/hospital/about_camh/newsroom/news_releases_media_advisories_and_backgrounders/current_year/Pages/Brain-protein-may-explain-depression-in-pre-menopause-phase.aspx

[Andrée]

Bonjour,
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http://cause.bell.ca/fr/

C'est la Journée Bell Cause pour la cause : parlons, textons et tweetons au sujet de la santé mentale!

MONTRÉAL, le 28 janv. 2015 /CNW Telbec/ - C'est aujourd'hui qu'a lieu la cinquième édition annuelle de la Journée Bell Cause pour la cause à l'appui de la santé mentale au Canada, et Clara Hughes et l'équipe Bell Cause pour la cause vous invitent à parler, à texter, à tweeter et à partager pour aider à bâtir un Canada sans préjugés.


http://www.newswire.ca/fr/story/1478415/c-est-la-journee-bell-cause-pour-la-cause-parlons-textons-et-tweetons-au-sujet-de-la-sante-mentale

[Andrée]

Bonjour,
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JM Montréal


Docteur, suis-je bipolaire ?




Il nous arrive à tous et à toutes d’avoir des sautes d’humeur.

Mais nous pouvons identifier la cause de ces moments d’irritabilité ou de tristesse.

Cependant, chez certaines personnes, ces variations d’humeur se manifestent par une alternance de phases de dépression intense et d’excitation extrême (manie), entrecoupées de courtes périodes d’humeur normale.
C’est ce qu’on appelle le trouble bipolaire (anciennement appelé psychose maniaco-dépressive).


Ce trouble se déclenche généralement entre l’âge de 15 et 25 ans et est rare chez les gens de plus de 60 ans.

Il touche environ 2 % de la population, autant les hommes que les femmes.

Jetons un regard sur les différents symptômes du trouble bipolaire, qui peuvent varier d’une personne à l’autre.

Lors d’un épisode de manie, qui peut durer au moins une semaine, la personne peut manifester de l’irritabilité, de l’hyperactivité, un sentiment de toute-puissance, une estime de soi exagérée, faire des dépenses excessives, avoir un besoin de sommeil diminué, une augmentation de l’énergie, un rythme de la pensée accéléré, etc.

Puis, après quelques jours d’humeur normale, peut apparaître la phase dite dépressive, et ce, pendant au moins deux semaines: humeur maussade, tristesse, très faible estime de soi, perte de l’intérêt et du plaisir, troubles du sommeil, perte ou prise de poids, grande fatigue, difficultés de concentration, sentiment d’être inutile ou coupable, idées récurrentes de mort ou de suicide, etc.

Ce trouble se déclenche généralement entre l’âge de 15 et 25 ans et est rare chez les gens de plus de 60 ans.
Il touche environ 2 % de la population, autant les hommes que les femmes. Jetons un regard sur les différents symptômes du trouble bipolaire, qui peuvent varier d’une personne à l’autre.

Lors d’un épisode de manie, qui peut durer au moins une semaine, la personne peut manifester de l’irritabilité, de l’hyperactivité, un sentiment de toute-puissance, une estime de soi exagérée, faire des dépenses excessives, avoir un besoin de sommeil diminué, une augmentation de l’énergie, un rythme de la pensée accéléré, etc.

Puis, après quelques jours d’humeur normale, peut apparaître la phase dite dépressive, et ce, pendant au moins deux semaines: humeur maussade, tristesse, très faible estime de soi, perte de l’intérêt et du plaisir, troubles du sommeil, perte ou prise de poids, grande fatigue, difficultés de concentration, sentiment d’être inutile ou coupable, idées récurrentes de mort ou de suicide, etc.

Causes inconnues
On ignore la ou les causes de cette maladie.
Mais les chercheurs avancent qu’elle pourrait être provoquée par des anomalies sur le plan des neurotransmetteurs du cerveau.
Les facteurs génétiques auraient aussi un rôle à jouer puisque les personnes ayant des antécédents familiaux de trouble bipolaire sont plus à risque de contracter cette maladie.
Par ailleurs, les gens atteints de trouble bipolaire sont plus vulnérables aux stress physiques et psychologiques (consommation de drogues ou d’autres stimulants, manque de soleil, etc.).
 Le risque de suicide reste la principale crainte associée à cette maladie.
Le traitement médicamenteux des troubles bipolaires vise un double objectif: celui d’atténuer les symptômes en cas d’épisode aigu (maniaque ou dépressif) et celui de prévenir les rechutes en stabilisant l’humeur à long terme. (1)
L’hygiène de vie est aussi très importante: bonnes nuits de sommeil, actctivité physique journalière, pas de consommation de tabac, d’alcool ou d’autres drogues, séances de relaxation, etc.
 Finalement, il est fortement recommandé d’ajouter un soutien psychologique aux traitements pharmacologiques.
Tout ceci fait en sorte que la plupart des personnes bipolaires peuvent vivre une vie satisfaisante, et ce, autant au travail qu’à la maison et dans leurs loisirs.

(1)www.douglas.qc.ca/info/troubles-bipolaires


> Association canadienne pour la santé mentale: www.cmha.ca


> Association québécoise des parents et amis de la personne atteinte de maladie mentale http://www.aqpamm.ca


 
http://www.journaldemontreal.com/2015/03/01/docteur-suis-je-bipolaire

[Andrée]

RTS
Dossier : La santé mentale

Retrouvez dans ce dossier consacré à la santé et aux maladies mentales des explications sur diverses pathologies telle que la dépression, la bipolarité ou encore la schizophrénie. Retrouvez aussi ici un état des lieux des traitements, des précisions sur le DSM-5, un lien vers le dossier "D'une jungle à l'autre" - l'aventure de six Romands souffrant de troubles psychiques qui participent à un voyage au cœur de la forêt amazonienne - ainsi qu'une galerie photo de quelques artistes atteints de maladies mentales.


http://www.rts.ch/decouverte/sante-et-medecine/maladies-et-traitements/sante-mentale/

[Andrée]

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[Andrée]

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