antidépresseurs : même dangers que le médiator
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Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
J'ai identifié mon syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines ici :
http://benzodiazepines.onlc.fr/12-Le-syndrome-prolonge-Pr-Ashton.html
Saches que quasi toutes les victimes d'un syndrome prolongé de sevrage sont diagnostiquées, en fonction de leurs symptômes les plus importants : bipolaire ou fibromyalgique ou dépressif chronique ou....alors que le syndrome prolongé de sevrage est totalement nié par tout les médecins français.
Un syndrome prolongé de sevrage peut, selon les victimes duré jusqu'a 10 ans ou plus (15% des victimes uniquement).
Je suis victime de quasi tout les symptômes sauf les symptômes de fibromyalgie, mais jamais en même temps, certains s'estompent avec le temps alors que d'autres apparraissent :
http://benzodiazepines.onlc.fr/index.php?page=10
Symptômes de sevrage aigu
Acouphènes
Agitation
Agoraphobie
Agressivité
Akathisie
Anxiété
Apathie
Ataxie (trouble de la coordination des mouvements)
Attaques de panique
Bouffées de chaleur
Cauchemars
Manque de souffle
Constipation
Convulsions (en cas de sevrage brutal)
Démangeaisons, peau sèche
Dépersonnalisation
Dépression
Déréalisation
Diarrhée
Distorsion de l’image corporelle, perceptions faussées
Douleurs dentaires
Dysphorie
Excitabilité
Faiblesse musculaire, « jambes en coton »
Fasciculations
Formication
Goût métallique dans la bouche
Hyperacousie (hypersensibilité au son)
Hypersensibilité sensorielle
Hyperosmie (odorat sensible)
Hyperthermie
Hyperventilation
Insomnie
Irritabilité
Nausées
Nervosité
Obsessions
Palpitations cardiaques
Pensées intrusives
Perte de poids (peut être très rapide)
Perturbations sensorielles
Photosensibilité
Prise de poids
Rage irrationnelle
Sensation de brûlure au niveau du cuir chevelu
Sensation de choc électrique à travers le corps
Sensation d’étouffement
Sensation d’inconfort et d’oppression dans la poitrine
Spasmes (habituellement musculaires)
Sueurs, suées nocturnes
Symptômes psychotiques (habituellement temporaires et limités au sevrage rapide)
Tremblements
Vomissements
Symptômes de sevrage “Cold Turkey” (arrêt brutal)
Les symptômes suivants sont en général limités au sevrage par arrêt brutal ou au sevrage rapide à partir de doses élevées de benzodiazépines :
Crise d’épilepsie
Confusion
Convulsions
Délire
Hallucinations
Symptômes psychotiques
Symptômes de sevrage prolongé
Acouphènes
Anxiété
Apathie
Asthénie
Ataxie
Blépharospasme (saut de muscle de la paupière)
Brûlures d’estomac
Changement de couleur de l’iris
Constipation (alternant souvent avec la diarrhée)
Convulsions myocloniques (spasmes des muscles / des nerfs)
Crampes d’estomac
Crampes musculaires
Démangeaisons et douleurs des yeux
Dépersonnalisation
Dépression
Déréalisation
Déshydratation
Diarrhée (alternant souvent avec la constipation)
Douleurs articulaires
Douleurs dentaires
Douleurs dorsales
Douleurs mammaires
Dysphagie (gêne ou blocage de la déglutition)
Envies irrépressibles (« cravings »)
Faiblesse (des muscles et des os)
Fasciculations
Fatigue
Formication (sensation d’avoir des insectes rampant sur la peau)
Fluctuations de la tension
Fluctuations de la libido
Gastrite
Hyperacousie
Hyperesthésie (hypersensibilité sensorielle)
Hyperosmie
Infections fongiques (du type candidose)
Insensibilité de la peau
Insomnie
Irrégularité menstruelle
Kakosmie (impression de sentir des odeurs nauséabondes)
Leukonychie (coloration des ongles par tâches blanches)
Maux de tête sévères
Nausée
Oedèmes (habituellement des chevilles ou du visage)
Oesophagite
Palpitations cardiaques
Paresthésies (engourdissement, brûlures et picotement, douleurs d’aiguilles)
Perte de cheveux
Perte de concentration
Perte de mémoire à court terme
Perturbations visuelles (vision floue, double, ou images très vives, éclatantes)
Problèmes neurologiques (anesthésie topique)
Pupilles minuscules
Réactions allergiques
Regard vitreux
Rétention d’eau
Rigidité musculaire
Sensation de choc électrique dans le corps
Sensation de brûlure dans la colonne vertébrale
Sinusite
Soif
Spasmes musculaires
Symptômes grippaux
Tension musculaire anormale
Toux sèche, irritante
Transpiration excessive et suées nocturnes
Tremblements
Troubles de l’équilibre (le sol semble bouger sous les pieds)
Troubles urinaires (vessie hyperactive / ou le contraire)
Vertige
Vomissements
http://benzodiazepines.onlc.fr/12-Le-syndrome-prolonge-Pr-Ashton.html
Saches que quasi toutes les victimes d'un syndrome prolongé de sevrage sont diagnostiquées, en fonction de leurs symptômes les plus importants : bipolaire ou fibromyalgique ou dépressif chronique ou....alors que le syndrome prolongé de sevrage est totalement nié par tout les médecins français.
Un syndrome prolongé de sevrage peut, selon les victimes duré jusqu'a 10 ans ou plus (15% des victimes uniquement).
Je suis victime de quasi tout les symptômes sauf les symptômes de fibromyalgie, mais jamais en même temps, certains s'estompent avec le temps alors que d'autres apparraissent :
http://benzodiazepines.onlc.fr/index.php?page=10
Symptômes de sevrage aigu
Acouphènes
Agitation
Agoraphobie
Agressivité
Akathisie
Anxiété
Apathie
Ataxie (trouble de la coordination des mouvements)
Attaques de panique
Bouffées de chaleur
Cauchemars
Manque de souffle
Constipation
Convulsions (en cas de sevrage brutal)
Démangeaisons, peau sèche
Dépersonnalisation
Dépression
Déréalisation
Diarrhée
Distorsion de l’image corporelle, perceptions faussées
Douleurs dentaires
Dysphorie
Excitabilité
Faiblesse musculaire, « jambes en coton »
Fasciculations
Formication
Goût métallique dans la bouche
Hyperacousie (hypersensibilité au son)
Hypersensibilité sensorielle
Hyperosmie (odorat sensible)
Hyperthermie
Hyperventilation
Insomnie
Irritabilité
Nausées
Nervosité
Obsessions
Palpitations cardiaques
Pensées intrusives
Perte de poids (peut être très rapide)
Perturbations sensorielles
Photosensibilité
Prise de poids
Rage irrationnelle
Sensation de brûlure au niveau du cuir chevelu
Sensation de choc électrique à travers le corps
Sensation d’étouffement
Sensation d’inconfort et d’oppression dans la poitrine
Spasmes (habituellement musculaires)
Sueurs, suées nocturnes
Symptômes psychotiques (habituellement temporaires et limités au sevrage rapide)
Tremblements
Vomissements
Symptômes de sevrage “Cold Turkey” (arrêt brutal)
Les symptômes suivants sont en général limités au sevrage par arrêt brutal ou au sevrage rapide à partir de doses élevées de benzodiazépines :
Crise d’épilepsie
Confusion
Convulsions
Délire
Hallucinations
Symptômes psychotiques
Symptômes de sevrage prolongé
Acouphènes
Anxiété
Apathie
Asthénie
Ataxie
Blépharospasme (saut de muscle de la paupière)
Brûlures d’estomac
Changement de couleur de l’iris
Constipation (alternant souvent avec la diarrhée)
Convulsions myocloniques (spasmes des muscles / des nerfs)
Crampes d’estomac
Crampes musculaires
Démangeaisons et douleurs des yeux
Dépersonnalisation
Dépression
Déréalisation
Déshydratation
Diarrhée (alternant souvent avec la constipation)
Douleurs articulaires
Douleurs dentaires
Douleurs dorsales
Douleurs mammaires
Dysphagie (gêne ou blocage de la déglutition)
Envies irrépressibles (« cravings »)
Faiblesse (des muscles et des os)
Fasciculations
Fatigue
Formication (sensation d’avoir des insectes rampant sur la peau)
Fluctuations de la tension
Fluctuations de la libido
Gastrite
Hyperacousie
Hyperesthésie (hypersensibilité sensorielle)
Hyperosmie
Infections fongiques (du type candidose)
Insensibilité de la peau
Insomnie
Irrégularité menstruelle
Kakosmie (impression de sentir des odeurs nauséabondes)
Leukonychie (coloration des ongles par tâches blanches)
Maux de tête sévères
Nausée
Oedèmes (habituellement des chevilles ou du visage)
Oesophagite
Palpitations cardiaques
Paresthésies (engourdissement, brûlures et picotement, douleurs d’aiguilles)
Perte de cheveux
Perte de concentration
Perte de mémoire à court terme
Perturbations visuelles (vision floue, double, ou images très vives, éclatantes)
Problèmes neurologiques (anesthésie topique)
Pupilles minuscules
Réactions allergiques
Regard vitreux
Rétention d’eau
Rigidité musculaire
Sensation de choc électrique dans le corps
Sensation de brûlure dans la colonne vertébrale
Sinusite
Soif
Spasmes musculaires
Symptômes grippaux
Tension musculaire anormale
Toux sèche, irritante
Transpiration excessive et suées nocturnes
Tremblements
Troubles de l’équilibre (le sol semble bouger sous les pieds)
Troubles urinaires (vessie hyperactive / ou le contraire)
Vertige
Vomissements
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
syndrome de sevrage prolongé aux antidepresseurs
Ayant été empoisonné avec des antidépresseurs pendant de nombreuses années suite a mon syndrome prolongé de sevrage aux benzos.
Je souffre également maintenant d'un syndrome de sevrage prolongé aux antidépresseurs :
http://www.antidepressant-withdrawal.fr/fr/syndrome.html
Mais les symptômes se recoupant avec ceux aux benzos, celui-ci n'est pas facile a discerner.
Je souffre également maintenant d'un syndrome de sevrage prolongé aux antidépresseurs :
http://www.antidepressant-withdrawal.fr/fr/syndrome.html
Mais les symptômes se recoupant avec ceux aux benzos, celui-ci n'est pas facile a discerner.
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
Bien que non reconnues officellement, les origines neurotoxiques du TDA, du TDAH, de la fibromyalgie... semblent bien établies.
La pincipale cause de l'empoisonnement neurotoxique étant la médecine, dont les produits vénéneux (antidépresseurs, benzos, antibiotiques, neuroleptiques...), les vaccins, mais pas uniquement puisque les métaux lourds sont neurotoxiques et que les pesticides, herbicides.... ont quasi les mêmes origines chimiques que beaucoup de médicaments.
Mais je n'ai pas comme toi de formation médicale.
La pincipale cause de l'empoisonnement neurotoxique étant la médecine, dont les produits vénéneux (antidépresseurs, benzos, antibiotiques, neuroleptiques...), les vaccins, mais pas uniquement puisque les métaux lourds sont neurotoxiques et que les pesticides, herbicides.... ont quasi les mêmes origines chimiques que beaucoup de médicaments.
Mais je n'ai pas comme toi de formation médicale.
Dernière édition par bababipo le Sam 24 Déc 2011 - 13:46, édité 1 fois
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
Tu as tous les symptômes de la liste?
Je vois là que ce sont les symptômes de sevrage aux benzodiazépines. C'est d'ailleurs pourquoi les psychiatres souvent refusent maintenant d'en prescrire sauf pour de courtes durées;
Les benzodiazépines ce sont les anxiolitiques et les somnifères, en règle générale. Si on en utilise quelques fois en urgence dans le trouble bipolaire, (anxiété extrème, TS, ect) avant que le traitement de fond fasse de l'effet, ce n'est pas le traitement de choix dans ce cas.
Les nouveaux neuroleptiques comme les ziprexa, l'abilify, le Seroquel, ou bien les anticonvulsivants (ou antiépileptiques) comme l'acide valproïque (Depakote, Depamide, Depakine chrono), le lamictal, ou bien le lithium, ainsi que les antidépresseurs ne sont pas des benzodiazépines. Ce sont des molécules fort différentes.
Il y a quand même des symptômes de sevrage chez certains. Mais tu devrais les trouver dans une liste autre que celle que tu as copié. J'ai arrêté le Seroquel après six mois, et j'ai eu des nausées pendant une semaine plus ou moins, idem avec l'abilify.
Tu ne m'as pas répondu, à propos de la question "penses tu souffrir de trouble bipolaire ou non".
Si tu n'es pas bipolaire, n'y a t'il pas un forum spécifique aux victimes du sevrage des benzodiazépines? (Beaucoup de gens ont pris des benzos pendant des années et en sont devenues accros)
Un exemple est le flic du FBI dans la série "prison break", il est accro à un anxiolitique, qu'il cache dans son stylo. Il faudrait que je redemande le CD pour retrouver le nom, il est cité quelque part
Je vois là que ce sont les symptômes de sevrage aux benzodiazépines. C'est d'ailleurs pourquoi les psychiatres souvent refusent maintenant d'en prescrire sauf pour de courtes durées;
Les benzodiazépines ce sont les anxiolitiques et les somnifères, en règle générale. Si on en utilise quelques fois en urgence dans le trouble bipolaire, (anxiété extrème, TS, ect) avant que le traitement de fond fasse de l'effet, ce n'est pas le traitement de choix dans ce cas.
Les nouveaux neuroleptiques comme les ziprexa, l'abilify, le Seroquel, ou bien les anticonvulsivants (ou antiépileptiques) comme l'acide valproïque (Depakote, Depamide, Depakine chrono), le lamictal, ou bien le lithium, ainsi que les antidépresseurs ne sont pas des benzodiazépines. Ce sont des molécules fort différentes.
Il y a quand même des symptômes de sevrage chez certains. Mais tu devrais les trouver dans une liste autre que celle que tu as copié. J'ai arrêté le Seroquel après six mois, et j'ai eu des nausées pendant une semaine plus ou moins, idem avec l'abilify.
Tu ne m'as pas répondu, à propos de la question "penses tu souffrir de trouble bipolaire ou non".
Si tu n'es pas bipolaire, n'y a t'il pas un forum spécifique aux victimes du sevrage des benzodiazépines? (Beaucoup de gens ont pris des benzos pendant des années et en sont devenues accros)
Un exemple est le flic du FBI dans la série "prison break", il est accro à un anxiolitique, qu'il cache dans son stylo. Il faudrait que je redemande le CD pour retrouver le nom, il est cité quelque part
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
Avoir des symptômes de bipolarité ne veut pas dire que l'on est bipolaire.
Cependant les symptômes sont quasi les mêmes.
Et c'est pour cela que je suis ici.
Pour parler bipolarité, pseudo bipolarité, bipolarité iatrogène et médicaments.
Comme je l'ai écrit, toutes les victimes d'un syndrome prolongé de sevrage sont diagnostiqués bipolaire, dépressif ou fibromyalgique, ou....
Cependant les symptômes sont quasi les mêmes.
Et c'est pour cela que je suis ici.
Pour parler bipolarité, pseudo bipolarité, bipolarité iatrogène et médicaments.
Comme je l'ai écrit, toutes les victimes d'un syndrome prolongé de sevrage sont diagnostiqués bipolaire, dépressif ou fibromyalgique, ou....
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
Je crois que pour le TDAH, comme pour le TB, malgré qu'on a fait des recherches dans les deux domaines. C'est plus l'origine héréditaire qui est reconnue.
Pour le TDAH, il se manifeste dès la naissance. Pour le trouble bipolaire", il faut un facteur stress déclenchant (on peut être porteur des gènes sans faire la maladie, si on vit dans un environnement psychologiquement "sain").
J'ai tous les symptômes des deux maladies depuis mon enfance, mais ma famille est fort antimédicaments et surtout antipsychiatrie. Il y a des antécedants de maladie mentale dans la famille de ma maman, mais j'ai du creuser pour les découvrir, et ils n'ont jamais été soigné ni reconnu comme tels.
Je n'ai jamais pris un psychotrope "officiel" (un AD) jusqu'il y a cinq ans. D'ailleurs ma guérison ultra rapide de ma dépression... (montée en phase hypomaniaque) aurait pu mettre la puce à l'oreille de mon médecin traitant.
J'ai fumé un peu de marihuana pendant deux ans entre 18 et 20 ans, mais j'allais mal et ça me soulageait et me calmait.
Avant j'encaissais mes dépressions par la prière et la volonté de me bouger (très croyante) et pendant les phases hypomaniaques, je faisais des conneries, me faisait virer, récoltais la réputation de sale caractère, et ou réussissais des études avec des écrits originaux en quelques semaines pour mes travaux de fins d'études etc.
Si ce sont les pesticides, ou autres produits nocifs présents dans l'environnement qui provoquent TDAH et TB alors pourquoi semblent ils exister depuis toujours? Et pourquoi tout le monde ne le développe il pas?
Pour le TDAH, il se manifeste dès la naissance. Pour le trouble bipolaire", il faut un facteur stress déclenchant (on peut être porteur des gènes sans faire la maladie, si on vit dans un environnement psychologiquement "sain").
J'ai tous les symptômes des deux maladies depuis mon enfance, mais ma famille est fort antimédicaments et surtout antipsychiatrie. Il y a des antécedants de maladie mentale dans la famille de ma maman, mais j'ai du creuser pour les découvrir, et ils n'ont jamais été soigné ni reconnu comme tels.
Je n'ai jamais pris un psychotrope "officiel" (un AD) jusqu'il y a cinq ans. D'ailleurs ma guérison ultra rapide de ma dépression... (montée en phase hypomaniaque) aurait pu mettre la puce à l'oreille de mon médecin traitant.
J'ai fumé un peu de marihuana pendant deux ans entre 18 et 20 ans, mais j'allais mal et ça me soulageait et me calmait.
Avant j'encaissais mes dépressions par la prière et la volonté de me bouger (très croyante) et pendant les phases hypomaniaques, je faisais des conneries, me faisait virer, récoltais la réputation de sale caractère, et ou réussissais des études avec des écrits originaux en quelques semaines pour mes travaux de fins d'études etc.
Si ce sont les pesticides, ou autres produits nocifs présents dans l'environnement qui provoquent TDAH et TB alors pourquoi semblent ils exister depuis toujours? Et pourquoi tout le monde ne le développe il pas?
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
ça c'est la théorie...chispa a écrit:Tu as tous les symptômes de la liste?
C'est d'ailleurs pourquoi les psychiatres souvent refusent maintenant d'en prescrire sauf pour de courtes durées
Mais en pratique et bien que les belges soit les seuls a nous battre dans ce domaine, nous sommes en France quasi champion du monde des prescriptions de benzodiazépines.
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
En tout cas il y a un truc qui doit faire la différence très clairement.
Ce sont les cycles identifiables comme tels chez quelqu'un qui souffre de trouble bipolaire.
Les symptômes de sevrage eux sont continus.
Et des symptômes comme loghorée, graphophorée, conduites à risque, euphorie ne semble pas faire partie de symptômes de sevrage.
Ce sont les cycles identifiables comme tels chez quelqu'un qui souffre de trouble bipolaire.
Les symptômes de sevrage eux sont continus.
Et des symptômes comme loghorée, graphophorée, conduites à risque, euphorie ne semble pas faire partie de symptômes de sevrage.
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
chispa a écrit:Je crois que pour le TDAH, comme pour le TB, malgré qu'on a fait des recherches dans les deux domaines. C'est plus l'origine héréditaire qui est reconnue.
Pour le TDAH, il se manifeste dès la naissance. Pour le trouble bipolaire", il faut un facteur stress déclenchant (on peut être porteur des gènes sans faire la maladie, si on vit dans un environnement psychologiquement "sain").
Les recherches sont toutes commanditées par les labos et n'ont quasi qu'un seul objectif : vendre des médicaments. Ce n'est plus un secret pour personne.
Saches que les produits neurotoxiques se transmettent de la mère à l'enfant pour certains (le mercure par exemple) et les troubles les accompagnant égalements...forcément.
Par contre le TDAH ne se manifeste pas forcement a la naisssance, informes toi.
Et la bipolarité n'a absolument rien de génétique direct.
Mais c'est toi la spécialiste, pas moi.
Dernière édition par bababipo le Sam 24 Déc 2011 - 14:24, édité 1 fois
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
chispa a écrit:
Les symptômes de sevrage eux sont continus.
Pas du tout, cela varie sans arrêt.
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
chispa a écrit:
Et des symptômes comme loghorée, graphophorée, conduites à risque, euphorie ne semble pas faire partie de symptômes de sevrage.
Cette liste n'est pas compléte.
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
Et j'ai lu sur ce forum et d'autres que certains patients seraient furieux contre leur médecin si celui-ci refuserait de continuer à prescrire. Ou refuserait de prescrire un anxiolitique parce qu'ils ont lu qu'un autre médecin le prescrivait chez un tel...
Dans mon cas, la psy actuelle que j'ai.. c'est moi qui a dit que je ne voulais plus de l'anxio.. que j'avais d'ailleurs qu'en cas de crise, sous la main, en forme de gouttes. Je ne le prends que quand la souffrance devenait totalement insupportable. Le premier psy, me l'avais interdit, et remplacé par du Seroquel que je supportais mal (mais je n'en avais pas parlé au médecin traitant, donc une fois, en cours de changement de psy, j'en ai demandé).
Je me dis que quelques gouttes une fois ou deux par mois, ça ne provoque pas une accoutumance qui demande un sevrage.
Pour le TDAH, je suis depuis plusieurs années, http://www.tdah.be/ membre de l'association TDAH belgique, fondée par la maman de deux enfants TDAH (et pas par un laboratoire). Ma fille est diagnostiquée depuis la troisième maternelle. Mais est "très" active depuis sa naissance, il y avait des signes comme par exemple des troubles du sommeil. Il y a des tests très précis, mais ceux là ne peuvent être fait qu'à partir de six ans. C'est suite à un soupçon de TDAH chez moi que j'ai consulté.
Le psychiatre que j'ai vu et qui m'a diagnostiqué de manière différenciée un trouble bipolaire, n'est pas du tout "soumis" aux laboratoires. D'ailleurs, étant plutôt psychothérapeute, il m'a raconté comment les colloques sur le traitement médicamenteux était en effet facilement sponsorisés, et que par contre que ceux qui préconise les traitements psychologiques c'est évidemment la croix et la bannière. Donc s'il a quand même diagnostiqué un trouble bipolaire, c'est pas juste pour me faire prendre un médicament. C'est une question de confiance entre lui et moi.
J'aimerai lire ce que tu as décidé de mettre en place pour "toi" aller mieux, plutôt que polémiquer.
ça me rassurerait plus que lire que c'est moi la spécialiste.
Je m'en fous un peu d'être ou pas spécialiste. Je me suis beaucoup renseigné quand j'ai reçu le diagnostic il y a trois ans. Ca m'a rendu folle de désespoir, de chagrin, de peur, j'avais besoin de comprendre. J'aime bien partager ce que j'ai lu. J'ai cherché dans les revues universitaires avec Google schoolar. Quand j'aurais un peu de temps je te filerai les liens vers les articles qui parlent de la composante héréditaire.
.
Même si les labos arrivent à orienter un peu sans doute quelles études faire, et lesquelles pas faire, j'ose croire qu'une partie importante des scientifiques et des médecins sont de bonne foi et font de leur mieux.
J'ai moi même fais un master récemment (un tout autre domaine), mais mon travail de fin d'étude, je l'ai choisi étudié et défendu, et malgré qu'il était à contre courant. J'ai réussi et il est consultable et consulté.
Bon, je te laisse. J'ai du ménage a faire, puis la fête de Noël à préparer chez mon copain, avec ma fille.
Merci pour cette conversation intéressante.
J'espère que tu n'es pas seul pour Noël.
Dans mon cas, la psy actuelle que j'ai.. c'est moi qui a dit que je ne voulais plus de l'anxio.. que j'avais d'ailleurs qu'en cas de crise, sous la main, en forme de gouttes. Je ne le prends que quand la souffrance devenait totalement insupportable. Le premier psy, me l'avais interdit, et remplacé par du Seroquel que je supportais mal (mais je n'en avais pas parlé au médecin traitant, donc une fois, en cours de changement de psy, j'en ai demandé).
Je me dis que quelques gouttes une fois ou deux par mois, ça ne provoque pas une accoutumance qui demande un sevrage.
Pour le TDAH, je suis depuis plusieurs années, http://www.tdah.be/ membre de l'association TDAH belgique, fondée par la maman de deux enfants TDAH (et pas par un laboratoire). Ma fille est diagnostiquée depuis la troisième maternelle. Mais est "très" active depuis sa naissance, il y avait des signes comme par exemple des troubles du sommeil. Il y a des tests très précis, mais ceux là ne peuvent être fait qu'à partir de six ans. C'est suite à un soupçon de TDAH chez moi que j'ai consulté.
Le psychiatre que j'ai vu et qui m'a diagnostiqué de manière différenciée un trouble bipolaire, n'est pas du tout "soumis" aux laboratoires. D'ailleurs, étant plutôt psychothérapeute, il m'a raconté comment les colloques sur le traitement médicamenteux était en effet facilement sponsorisés, et que par contre que ceux qui préconise les traitements psychologiques c'est évidemment la croix et la bannière. Donc s'il a quand même diagnostiqué un trouble bipolaire, c'est pas juste pour me faire prendre un médicament. C'est une question de confiance entre lui et moi.
J'aimerai lire ce que tu as décidé de mettre en place pour "toi" aller mieux, plutôt que polémiquer.
ça me rassurerait plus que lire que c'est moi la spécialiste.
Je m'en fous un peu d'être ou pas spécialiste. Je me suis beaucoup renseigné quand j'ai reçu le diagnostic il y a trois ans. Ca m'a rendu folle de désespoir, de chagrin, de peur, j'avais besoin de comprendre. J'aime bien partager ce que j'ai lu. J'ai cherché dans les revues universitaires avec Google schoolar. Quand j'aurais un peu de temps je te filerai les liens vers les articles qui parlent de la composante héréditaire.
.
Même si les labos arrivent à orienter un peu sans doute quelles études faire, et lesquelles pas faire, j'ose croire qu'une partie importante des scientifiques et des médecins sont de bonne foi et font de leur mieux.
J'ai moi même fais un master récemment (un tout autre domaine), mais mon travail de fin d'étude, je l'ai choisi étudié et défendu, et malgré qu'il était à contre courant. J'ai réussi et il est consultable et consulté.
Bon, je te laisse. J'ai du ménage a faire, puis la fête de Noël à préparer chez mon copain, avec ma fille.
Merci pour cette conversation intéressante.
J'espère que tu n'es pas seul pour Noël.
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
http://www.furiousseasons.com/archives/2008/03/
« Il n’existe aucune base légitime sur laquelle les chercheurs peuvent s’appuier pour prétendre que le trouble bipolaire est un trouble strictement génétique, et il est vraiment temps pour eux d’arrêter tout leur cinéma . Un tel discours crée un ensemble de faux espoirs pour les patients atteints de trouble bipolaire (thérapie génique va me guérir!) Et les encourage à ne pas faire le gros du travail psychologique qu’ils doivent faire pour vivre une vie productive »
bon noel
« Il n’existe aucune base légitime sur laquelle les chercheurs peuvent s’appuier pour prétendre que le trouble bipolaire est un trouble strictement génétique, et il est vraiment temps pour eux d’arrêter tout leur cinéma . Un tel discours crée un ensemble de faux espoirs pour les patients atteints de trouble bipolaire (thérapie génique va me guérir!) Et les encourage à ne pas faire le gros du travail psychologique qu’ils doivent faire pour vivre une vie productive »
bon noel
bababipo- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
Ce fil ne fait avancer personne et la polémique devient barbante.
Je suis aussi agacée que chispa de lire tout ce bla bla.
En somme bababipo, que fais tu pour aller mieux?
Big Planet
Je suis aussi agacée que chispa de lire tout ce bla bla.
En somme bababipo, que fais tu pour aller mieux?
Big Planet
Invité- Invité
Re: antidépresseurs : même dangers que le médiator
L'auteur du blog que tu cites, es beaucoup plus nuancé que toi dans ses propos en général. Il ne condamne pas les médicaments comme étant des poisons, quand ils sont utilisés à bon escient.
Je pense que qu'il y a un part de génétique dans le déclenchement de mon trouble bipolaire, et une part de facteur stressant (dans ce cas un milieu familial toxique pendant mon enfance).
Je crois qu'il y a suffisamment de consensus médical à ce sujet et pourtant :
Je suis toujours actuellement en thérapie et ça m'aide beaucoup. Le fait de savoir qu'il y a une part héréditaire dans mon trouble ne m'a pas du tout empêché de faire les démarches qu'en adulte, et après m'être renseignée, J'ai choisi de suivre qu'elles soient médicamenteuses psychologiques ou adaptation de mon hygiène de vie.
Tout ça je peux te le dire grâce à trois ans de thérapie (combien de temps en thérapie as tu passé?) Quelle thérapie suis tu actuellement[b]?
Il est commun de lire que le cumul du traitement plus une thérapie donne un résultat supérieur à la somme des deux (2+2=5)
Allez, pour te montrer que je ne suis pas insensible et que je nie pas les excès de l'industrie pharmaceutique et du système médical, je reproduis ici une caricature que j'avais posté l'année passée.
J'attends avec impatience la description du travail psychologique sur toi même que tu fais pour arriver à vivre une vie productive
Je pense que qu'il y a un part de génétique dans le déclenchement de mon trouble bipolaire, et une part de facteur stressant (dans ce cas un milieu familial toxique pendant mon enfance).
Je crois qu'il y a suffisamment de consensus médical à ce sujet et pourtant :
Je suis toujours actuellement en thérapie et ça m'aide beaucoup. Le fait de savoir qu'il y a une part héréditaire dans mon trouble ne m'a pas du tout empêché de faire les démarches qu'en adulte, et après m'être renseignée, J'ai choisi de suivre qu'elles soient médicamenteuses psychologiques ou adaptation de mon hygiène de vie.
Tout ça je peux te le dire grâce à trois ans de thérapie (combien de temps en thérapie as tu passé?) Quelle thérapie suis tu actuellement[b]?
Il est commun de lire que le cumul du traitement plus une thérapie donne un résultat supérieur à la somme des deux (2+2=5)
Allez, pour te montrer que je ne suis pas insensible et que je nie pas les excès de l'industrie pharmaceutique et du système médical, je reproduis ici une caricature que j'avais posté l'année passée.
J'attends avec impatience la description du travail psychologique sur toi même que tu fais pour arriver à vivre une vie productive
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