«Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
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«Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
Bonjour !
Le perfectionnisme ? il en a déjà été question… Un livre à trouver d'occasion car définitivement indisponible : (clique ici) Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?
Bonne fin de journée. Bises aux filles . Jacques
Le perfectionnisme ? il en a déjà été question… Un livre à trouver d'occasion car définitivement indisponible : (clique ici) Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?
Bonne fin de journée. Bises aux filles . Jacques
Re: «Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
non pas heureux cela peut s'apparenter a des tocs!
enfin il faut la perfection mais elle n'existe point alors?
non pas heureux les perfectionnistes
enfin il faut la perfection mais elle n'existe point alors?
non pas heureux les perfectionnistes
melody- Nombre de messages : 933
Type troubles : bipolaire mixte...
Emploi / Statut : fille de bipo o soeur de bipo et bipo moi même
Date d'inscription : 01/06/2011
Re: «Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
La perfection n'est pas de ce monde, ça se saurait...
Bises et bonne soirée.
Bises et bonne soirée.
Invité- Invité
Re: «Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
Trouble a écrit:La perfection n'est pas de ce monde, ça se saurait...
Bises et bonne soirée.
Oui, mais...
On est forcément heureux quand on s'est dépassé, qu'on a fait le maximum pour s'approcher au plus près de ce qu'est "notre" perfection!
Je trouve que c'est plutôt bien que d'être perfectionniste; à quoi bon entreprendre de faire des choses, si on ne place pas la barre le plus haut possible....
Comme toujours, ce n'est la que mon avis!
Invité- Invité
Re: «Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
D'accord avec toi.
Mais en ce qui me concerne, j'ai appris que quand c'est bien, c'est déjà pas si mal.
Pour le mieux, j'attendrai.
Quand je fais mes images sur ordinateur, je ne suis jamais parfaitement satisfait du résultat.
Mais il y a un moment où je m'arrête, en me disant que ce n'est pas si mal.
Et à part moi, qui voit les imperfections que j'y trouve ?
Bises.
Mais en ce qui me concerne, j'ai appris que quand c'est bien, c'est déjà pas si mal.
Pour le mieux, j'attendrai.
Quand je fais mes images sur ordinateur, je ne suis jamais parfaitement satisfait du résultat.
Mais il y a un moment où je m'arrête, en me disant que ce n'est pas si mal.
Et à part moi, qui voit les imperfections que j'y trouve ?
Bises.
Invité- Invité
Re: «Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
Et bien justement...Les autres pas...Mais si toi tu les voies; alors c'est le principal...
Quand on est perfectionniste, je pense que c'est avant tout parce qu'on porte un jugement sur soit; alors que les autres, on s'en fout un peu... Enfin je crois!
Quand on est perfectionniste, je pense que c'est avant tout parce qu'on porte un jugement sur soit; alors que les autres, on s'en fout un peu... Enfin je crois!
Invité- Invité
Re: «Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
Ben non, en ce qui me concerne, le jugement des autres est important (trop sans doute).
C'est un de mes problèmes perso, être jugé...
Gros bisous.
C'est un de mes problèmes perso, être jugé...
Gros bisous.
Invité- Invité
Re: «Y a-t-il des perfectionnistes heureux ?»
J'aime bien ces deux phrases Britanie. Et la dernière expression n'est pas bête du tout ... !
Mais il est vrai comme le dit Trouble, qu'à un moment donné il faut savoir s'arrêter. Trop, c'est effectivement le perfectionnisme exacerbé ou pathologique.
Tout dépend quel créno est concerné. Si c'est l'art, c'est plus compliqué à gérer ou à ne pas gérer justement.
Mais quand quelque chose trotte dans la tête, ou dans le ressenti sur l'esthétique, difficile pour moi de laisser quelque chose avec des éléments qui me choquent. La pause s'impose, pour y revenir en de meilleurs optiques et décisions sans effort. La macération est toujours bonne à prendre, sous peine de saturer et ne pas avancer.
Le juste équilibre, entre trop et pas assez, c'est le dosage avec les éléments extérieurs, qu'il me faut ne pas oublier de vue.
Je l'ai compris et appris, plus jeune, sur le tard.
Ma potion pour aider à bien y jongler, c'est de faire différentes choses dans la même période de temps, dans différents crénos (domaines) ; c'est ce qui me permet d'y trouver une mesure, et un équilibre plus juste. (grâce à l'inter-activité, l'inter-communication, l'inter-connexion, l'inter-influence, et bien sur les pauses d'une activité pour une autre).
Les vagues s'enchainent entre elles, et moi je surf sur les vagues. Et si c'est comme cela, alors tout se passe bien, et j'en garde un équilibre, et surtout : des vagues.
Mais comme dit Trouble, quand c'est bien, même un petit peu, c'est déjà pas mal. Et ça il ne faut pas l'oublier et le ressentir, sinon pas de satisfaction, pas d'avancées, ...., et la vie effectivement est un enfer ou source d'insatisfaction permanente.
Mais trop de laxisme, c'est le problème en sens inverse.
Pour ma part, je dirais que je suis exigeante, mais flexible. Mais pas à n'importe quel prix. J'ai mes valeurs, mes notions, comme tous, et je m'y tien au plus près. Ce qui me permet d'être en accord avec moi-même, et ne pas sympathiser avec le diable.
Le perfectionnisme ou pas, cela a une influence dans tout notre cadre de vie, dans tout ce qui nous touche.
Bien sur, d'autres paramètres en adjectifs et notions, s'y conjuguent et font leur chimie (modulation et influences).
Ha et aussi. Dans le perfectionnisme, quel qu'il soit, il y a toujours la notion artistique finalement ; une sorte d'harmonie.
Et finalement, le perfectionnisme, l'harmonie, ne dépend-t-elle pas, de notre façon de percevoir et d'interagir .... ? , de notre équilibre intérieur et avec l'extérieur ?
J'aurais plutôt dit quand à moi, "la barre le plus près possible" (le plus juste possible).britanie a écrit:
Oui, mais...
On est forcément heureux quand on s'est dépassé, qu'on a fait le maximum pour s'approcher au plus près de ce qu'est "notre" perfection!
Je trouve que c'est plutôt bien que d'être perfectionniste; à quoi bon entreprendre de faire des choses, si on ne place pas la barre le plus haut possible....
.Et bien justement...Les autres pas...Mais si toi tu les voies; alors c'est le principal...
Quand on est perfectionniste, je pense que c'est avant tout parce qu'on porte un jugement sur soit ; alors que les autres, on s'en fout un peu... Enfin je crois!
Mais il est vrai comme le dit Trouble, qu'à un moment donné il faut savoir s'arrêter. Trop, c'est effectivement le perfectionnisme exacerbé ou pathologique.
Tout dépend quel créno est concerné. Si c'est l'art, c'est plus compliqué à gérer ou à ne pas gérer justement.
Mais quand quelque chose trotte dans la tête, ou dans le ressenti sur l'esthétique, difficile pour moi de laisser quelque chose avec des éléments qui me choquent. La pause s'impose, pour y revenir en de meilleurs optiques et décisions sans effort. La macération est toujours bonne à prendre, sous peine de saturer et ne pas avancer.
Le juste équilibre, entre trop et pas assez, c'est le dosage avec les éléments extérieurs, qu'il me faut ne pas oublier de vue.
Je l'ai compris et appris, plus jeune, sur le tard.
Ma potion pour aider à bien y jongler, c'est de faire différentes choses dans la même période de temps, dans différents crénos (domaines) ; c'est ce qui me permet d'y trouver une mesure, et un équilibre plus juste. (grâce à l'inter-activité, l'inter-communication, l'inter-connexion, l'inter-influence, et bien sur les pauses d'une activité pour une autre).
Les vagues s'enchainent entre elles, et moi je surf sur les vagues. Et si c'est comme cela, alors tout se passe bien, et j'en garde un équilibre, et surtout : des vagues.
Mais comme dit Trouble, quand c'est bien, même un petit peu, c'est déjà pas mal. Et ça il ne faut pas l'oublier et le ressentir, sinon pas de satisfaction, pas d'avancées, ...., et la vie effectivement est un enfer ou source d'insatisfaction permanente.
Mais trop de laxisme, c'est le problème en sens inverse.
Pour ma part, je dirais que je suis exigeante, mais flexible. Mais pas à n'importe quel prix. J'ai mes valeurs, mes notions, comme tous, et je m'y tien au plus près. Ce qui me permet d'être en accord avec moi-même, et ne pas sympathiser avec le diable.
Le perfectionnisme ou pas, cela a une influence dans tout notre cadre de vie, dans tout ce qui nous touche.
Bien sur, d'autres paramètres en adjectifs et notions, s'y conjuguent et font leur chimie (modulation et influences).
Ha et aussi. Dans le perfectionnisme, quel qu'il soit, il y a toujours la notion artistique finalement ; une sorte d'harmonie.
Et finalement, le perfectionnisme, l'harmonie, ne dépend-t-elle pas, de notre façon de percevoir et d'interagir .... ? , de notre équilibre intérieur et avec l'extérieur ?
Dernière édition par Joha le Dim 5 Juin 2011 - 1:02, édité 5 fois (Raison : rajout dernier paragraphe, & orthigraphes)
Joha- Nombre de messages : 4786
Type troubles : Etoilés & Mutants : depuis toujours. .................................................................................... Trouble de l'humeur réactionnel (en comorbidité), hyperesthésie et sensitivité majeure. .................................................................................. Déficit Attentionnel. ................................................................................... Syndrome d'Asperger (faisant partie des Troubles du Spectre de l'Autisme). ................................................................................... Antécédents de Dépersonnalisation lors de l'enfance et adolescence. ...................................................................................
Date d'inscription : 25/07/2009
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