SISM : Semaines d’information sur la santé mentale du 16 mars au 29 mars 2015 : Etre adolescent aujourd'hui
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SISM : Semaines d’information sur la santé mentale du 16 mars au 29 mars 2015 : Etre adolescent aujourd'hui
SOMMAIRE :
- Accueil
- SISM
- Liste des événements
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- Espace organisateurs
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http://www.semaine-sante-mentale.fr/
Andrée- Nombre de messages : 2268
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Re: SISM : Semaines d’information sur la santé mentale du 16 mars au 29 mars 2015 : Etre adolescent aujourd'hui
Les SISM abordent le sujet de l’adolescence sous l’angle de sept questions.
Pour chaque question, nous vous proposons deux bibliographies : une à destination des professionnels, et une autre à destination du grand public.
http://www.ascodocpsy.org/semaines-dinformation-sur-la-sante-mentale-2015/
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Re: SISM : Semaines d’information sur la santé mentale du 16 mars au 29 mars 2015 : Etre adolescent aujourd'hui
26èmes SISM, Semaines d’information sur la Santé Mentale
Du 16 au 29 mars 2015, les 26èmes Semaines d’information sur la Santé Mentale (SISM)auront pour thème :
Être adolescent aujourd’hui
Les Semaines d’Information sur la Santé Mentale (SISM) s’adressent au grand public. Chaque année, citoyens, associations, professionnels organisent des actions d’information et de réflexion dans toute la France.
- Saisir une manifestation
- Guide des actions sur le site semaine-sante-mentale.fr
- consulter la liste des manifestations de la SISM
Les 26èmes SISM auront pour thème : « Être adolescent aujourd’hui
Selon l’Organisation mondiale de la santé, en 2014 chez les 10-19 ans dans le monde, la dépression est la première cause de maladie et le suicide la 3e cause de décès. - En France, dans une société en mutation rapide, la santé mentale des jeunes est depuis peu considérée comme une priorité de santé publique.
- Selon les dernières études, environ 25 % des jeunes de 15 à 25 ans présentent des troubles psychiques.
La jeunesse apparaît souvent comme une période enviable : l’avenir est devant soi, tout semble possible. - Mais c’est aussi le temps des changements, des doutes : s’adapter à un nouveau corps, choisir une orientation professionnelle dans une société en crise, construire son identité propre, découvrir sa sexualité, tenter de nouvelles expériences, développer des relations amicales et affectives en dehors du cadre familial, prendre son autonomie et choisir son projet de vie…A l’adolescence on veut être libre, mais on a également besoin de soutien, d’écoute, de protection et parfois de soins.
Si pour la plupart des jeunes cette période se passe bien, pour d’autres elle est synonyme de mal être, d’angoisse, de questionnements, de vulnérabilité ou d’une souffrance morale parfois intense. - Comment savoir si les hauts et les bas sont des étapes normales de l’adolescence ou révèlent des troubles psychiques émergents ?
- Comment repérer les signes d’alerte : décrochage scolaire, isolement, prises de risques, addictions de tous ordres, actes agressifs, auto-destructeurs ou accidents répétés.
Citoyens de tous les âges, professionnels de santé, du social, de l’éducation, élus, journalistes… chacun peut aider à comprendre les troubles psychiques à l’adolescence et promouvoir la santé mentale des jeunes. - Au cours des 26e Semaines d’information sur la santé mentale, les questions suivantes seront abordées, lors de manifestations organisées dans toute la France :
- Mal-être à l’adolescence : comment repérer les signes d’alerte ? A qui s’adresser pour aller mieux ?
- Où trouver des espaces de confiance pour partager ses interrogations ?
- Souffrance à l’école : comment soutenir les jeunes ? Comment sensibiliser les professionnels ?
- Les réseaux sociaux ont-ils un rôle négatif sur la santé mentale des adolescents ? Comment peuvent-ils renforcer l’entraide, le soutien entre pairs et le partage d’information ?
- Comment favoriser la santé mentale chez les jeunes ? Quelle place pour les éducateurs ? Pour les aînés ?
- Crise d’adolescence ou entrée dans les troubles psychiques : comment s’y retrouver pour les parents et les proches ? Que faire en cas de crise ou d’urgence ? Peut-on aider sans contraindre ?
- Quelles actions de prévention et de soins pour les médecins généralistes, les services de psychiatrie adulte et infanto-juvénile, les Maisons des adolescents, les Points écoute jeunes et les Missions locales ?
- Quel rôle les médias peuvent-ils jouer par rapport aux questions de santé mentale ?
Nous vous invitons à ouvrir le débat sur ces questions.
Les Semaines d’Information sur la Santé Mentale (SISM) auront lieu du 16 au 29 mars 2015.
À partir du thème fixé par le Collectif national des SISM, chacun peut prendre l’initiative d’organiser une action répondant aux objectifs des SISM.
Pour vous aider dans l’organisation d’actions, consultez le Guide des actions sur le site http://semaine-sante-mentale.fr.
LES CINQ OBJECTIFS DES SISM
- SENSIBILISER le public aux questions de Santé mentale.
- INFORMER, à partir du thème annuel, sur les différentes approches de la Santé mentale.
- RASSEMBLER par cet effort de communication, acteurs et spectateurs des manifestations, professionnels et usagers de la santé mentale.
- AIDER au développement des réseaux de solidarité, de réflexion et de soin en santé mentale.
- FAIRE CONNAÎTRE les lieux, les moyens et les personnes pouvant apporter un soutien ou une information de proximité.
- COMITE NATIONAL DE COORDINATION
Association des établissements participant au service public de santé mentale (ADESM) • Association française de psychiatrie (AFP) • Association française de psychologie communautaire (AFPC) • Fédération nationale des associations gestionnaires pour l’accompagnement des personnes handicapées psychiques (AGAPSY) • Association nationale des Présidents de Commission médicale d’établissement (ANPCME) • Association des Maires de France (AMF) • Réseau documentaire en santé mentale (ASCODOCPSY) • Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé pour la recherche et la formation en santé mentale (CCOMS, Lille, France)/EPSM Lille-Métropole • Centre national audiovisuel en santé mentale (CNASM) • Association Elus, santé publique et territoires (ESPT) • Fédération d’aide à la santé mentale Croix-Marine (FASM Croix-Marine) • Fédération française des psychologues et de psychologie (FFPP) • Fédération française de psychiatrie (FFP) • Fédération Nationale des Associations liées aux Troubles du Comportement Alimentaire (FNA-TCA) • Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (FNARS) • Fédération Nationale des associations d’usagers de la psychiatrie (Fnapsy) • Mutualité française Ile-de-France • PSYCOM • Société française de santé publique (SFSP) • Société médicale Balint • Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (UNAFAM).
Les SISM 2015 sont organisées avec le concours de : L’Association nationale des Maisons des adolescents (ANMDA), l’Ecole des parents et des éducateurs d’Ile-de-France (EPE IdF / Fil Santé Jeunes) et la Fondation santé des étudiants de France (FSEF).
Information, inscription et programme : semaine-sante-mentale.fr
Contacts : Elsa Ansquer (Unafam) : 01 53 06 30 43 - elsa.ansquer@unafam.org - http://www.unafam.org/26emes-SISM-Semaines-d-information.html
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
TOULOUSE & COLOMIERS DU 14 AU 29 MARS 2015
SISM Toulouse et Colomiers du 14 au 29 Mars 2015
LA SANTÉ MENTALE DES JEUNES... SI ON EN PARLAIT ?
Les deux semaines d'information sur la santé mentale sont proposées pour faire changer les regards sur les troubles psychiques. Deux semaines pour faciliter l'accès aux soins, l'accompagnement et l'entraide par les pairs.
1 - Programme à télècharger ci dessous :
http://www.toulouse.fr/web/sante/actus/lire
2 - Une exposition d’Art-thérapie sur le thème 'Histoires', organisée par le service de psychiatrie, psychothérapies et art-thérapie du CHU Purpan, se déroulera du 25 au 29 mars à l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques à Toulouse (flyer ci dessous)
http://www.chu-toulouse.fr/IMG/pdf/flyer2_a5_-_exposition_d.pdf
De nombreuses associations vous ouvrent leurs portes et répondent à vos questions :
Groupe d'entraide mutuelle (Gem) Bon pied Bon œil - Gem Bipôles 31 - Association Toutes voiles dehors - Association Micro Sillons Association Revivre france - Arpade : point écoute prévention
Des centres de soins vous accueilleront également :
Centre médico psychologique (CMP) Marengo - CMP Port Saint-Sauveur - CMP Pont des Minimes - Centre de santé mentale de la MGEN, espaces thérapeutiques médiatisés de l'hôpital de jour - Hôpital de jour Négreneys - Centre d'accueil thérapeutique à temps partiel de Colomiers.
N'hésitez pas ... venez !
LA SANTÉ MENTALE DES JEUNES... SI ON EN PARLAIT ?
Les deux semaines d'information sur la santé mentale sont proposées pour faire changer les regards sur les troubles psychiques. Deux semaines pour faciliter l'accès aux soins, l'accompagnement et l'entraide par les pairs.
1 - Programme à télècharger ci dessous :
http://www.toulouse.fr/web/sante/actus/lire
2 - Une exposition d’Art-thérapie sur le thème 'Histoires', organisée par le service de psychiatrie, psychothérapies et art-thérapie du CHU Purpan, se déroulera du 25 au 29 mars à l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques à Toulouse (flyer ci dessous)
http://www.chu-toulouse.fr/IMG/pdf/flyer2_a5_-_exposition_d.pdf
De nombreuses associations vous ouvrent leurs portes et répondent à vos questions :
Groupe d'entraide mutuelle (Gem) Bon pied Bon œil - Gem Bipôles 31 - Association Toutes voiles dehors - Association Micro Sillons Association Revivre france - Arpade : point écoute prévention
Des centres de soins vous accueilleront également :
Centre médico psychologique (CMP) Marengo - CMP Port Saint-Sauveur - CMP Pont des Minimes - Centre de santé mentale de la MGEN, espaces thérapeutiques médiatisés de l'hôpital de jour - Hôpital de jour Négreneys - Centre d'accueil thérapeutique à temps partiel de Colomiers.
N'hésitez pas ... venez !
Aleah- Nombre de messages : 40
Age : 57
Type troubles : Bipo TI/Troubles Alimentaires
Emploi / Statut : Essayer d'être soi-même
Date d'inscription : 10/03/2015
Maladies mentales: agir aujourd'hui pour les plus jeunes
Bonjour,
Maladies mentales: agir aujourd'hui pour les plus jeunes
SANTÉ -
Les maladies mentales sont sur le devant de la scène au mois de mars: la 26ème édition des Semaines d'information sur la santé mentale est dédiée cette année à la période charnière de l'adolescence et la Journée mondiale des troubles bipolaires ouvre sa première édition en France.
Occasion de lever le voile sur ces maladies taboues, qui sont stigmatisées et restent encore associées à la peur ou la méfiance.
L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) retient cinq maladies mentales parmi les dix pathologies majeures du XXIe siècle: la schizophrénie, les troubles bipolaires, les dépressions, les addictions et les troubles obsessionnels compulsifs.
Souvent chroniques et sources de handicaps majeurs, elles se traduisent par une désinsertion sociale, familiale et professionnelle et entraînent une réduction de 10 à 20 ans de l'espérance de vie des personnes qui en sont atteintes.
De quoi rappeler l'importance de l'enjeu.
La méconnaissance qui entoure leurs causes et leur fonctionnement a longtemps influencé leur perception par le grand public.
Considérées comme des maladies à part, circonscrites à la "folie", "l'aliénation" ou la "démence", elles sont restées trop longtemps en marge des progrès de la recherche scientifique et thérapeutique.
Aujourd'hui, pourtant, les récentes avancées de la science plaident en faveur d'une lecture nouvelle des maladies psychiatriques.
A l'instar des maladies somatiques, leur origine est à chercher à la croisée de facteurs de vulnérabilité génétique et de facteurs environnementaux complexes (infections précoces, complications obstétricales, traumatismes majeurs dans l'enfance, événements de vie stressants et répétés, vie en milieu urbain, migration, consommation de substances toxiques, etc.).
Avec un pic d'apparition entre 15 et 25 ans (avant l'âge de trois ans dans le cas de l'autisme), les maladies psychiatriques sévères posent avec acuité la question du repérage des signes d'alerte, de l'accès aux soins et au diagnostic, à une période de la vie souvent marquée par le mal-être, le stress, les troubles du comportement, voire les conduites suicidaires.
Lorsque que l'on sait que les cinq premières années de la maladie sont considérées comme une phase critique au cours de laquelle les chances de rémission sont les plus grandes et la réponse aux traitements la meilleure, l'enjeu est loin d'être dérisoire.
Pour améliorer nos stratégies d'action (dépistage, diagnostic et traitement), et offrir aux personnes concernées et à leur entourage une qualité de vie meilleure, la France doit apporter un soutien accru à la recherche en psychiatrie, ainsi que le recommandait l'étude parue en octobre dernier
Prévention des maladies psychiatriques: pour en finir avec le retard français*. Gage du transfert rapide des connaissances scientifiques au bénéfice des patients, la collaboration des médecins et des chercheurs doit être un élément central de la politique de recherche et de santé en psychiatrie en favorisant le développement de structures articulant soin et recherche.
Un tel effort public aurait plusieurs avantages: contribuer au développement de nouvelles thérapies plus efficaces, mais également modifier l'image négative de ces pathologies et favoriser l'accès aux soins. C'est à cette condition qu'une politique de prévention en psychiatrie se développera et permettra de réduire l'impact humain, mais aussi social des maladies mentales.
Cette tribune est cosignée par:
Pr Marion Leboyer, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Pr Emmanuel Haffen, psychiatre au CHRU de Besançon
Pr Pierre-Michel Llorca, psychiatre au CHRU de Clermont-Ferrand
Pr Antoine Pelissolo, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Pr Frank Bellivier, psychiatre aux Hôpitaux Saint-Louis Lariboisière Fernand Widal
Pr Philippe Courtet, psychiatre au CHRU de Montpellier
Pr Luc Mallet, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Pr Richard Delorme, psychiatre à l'Hôpital Robert Debré
Pr Bruno Aouizerate, psychiatre au CHS Charles Perrens à Bordeaux
Pr Chantal Henry, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Ils collaborent au sein de la Fondation FondaMental
http://www.huffingtonpost.fr/marion-leboyer/maladies-mentales-semaine-dinformations-jeunes_b_6863406.html
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site des Semaines d'information sur la santé mentale.
http://www.semaine-sante-mentale.fr/
Maladies mentales: agir aujourd'hui pour les plus jeunes
SANTÉ -
Les maladies mentales sont sur le devant de la scène au mois de mars: la 26ème édition des Semaines d'information sur la santé mentale est dédiée cette année à la période charnière de l'adolescence et la Journée mondiale des troubles bipolaires ouvre sa première édition en France.
Occasion de lever le voile sur ces maladies taboues, qui sont stigmatisées et restent encore associées à la peur ou la méfiance.
L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) retient cinq maladies mentales parmi les dix pathologies majeures du XXIe siècle: la schizophrénie, les troubles bipolaires, les dépressions, les addictions et les troubles obsessionnels compulsifs.
Souvent chroniques et sources de handicaps majeurs, elles se traduisent par une désinsertion sociale, familiale et professionnelle et entraînent une réduction de 10 à 20 ans de l'espérance de vie des personnes qui en sont atteintes.
De quoi rappeler l'importance de l'enjeu.
La méconnaissance qui entoure leurs causes et leur fonctionnement a longtemps influencé leur perception par le grand public.
Considérées comme des maladies à part, circonscrites à la "folie", "l'aliénation" ou la "démence", elles sont restées trop longtemps en marge des progrès de la recherche scientifique et thérapeutique.
Aujourd'hui, pourtant, les récentes avancées de la science plaident en faveur d'une lecture nouvelle des maladies psychiatriques.
A l'instar des maladies somatiques, leur origine est à chercher à la croisée de facteurs de vulnérabilité génétique et de facteurs environnementaux complexes (infections précoces, complications obstétricales, traumatismes majeurs dans l'enfance, événements de vie stressants et répétés, vie en milieu urbain, migration, consommation de substances toxiques, etc.).
Avec un pic d'apparition entre 15 et 25 ans (avant l'âge de trois ans dans le cas de l'autisme), les maladies psychiatriques sévères posent avec acuité la question du repérage des signes d'alerte, de l'accès aux soins et au diagnostic, à une période de la vie souvent marquée par le mal-être, le stress, les troubles du comportement, voire les conduites suicidaires.
Lorsque que l'on sait que les cinq premières années de la maladie sont considérées comme une phase critique au cours de laquelle les chances de rémission sont les plus grandes et la réponse aux traitements la meilleure, l'enjeu est loin d'être dérisoire.
Pour améliorer nos stratégies d'action (dépistage, diagnostic et traitement), et offrir aux personnes concernées et à leur entourage une qualité de vie meilleure, la France doit apporter un soutien accru à la recherche en psychiatrie, ainsi que le recommandait l'étude parue en octobre dernier
Prévention des maladies psychiatriques: pour en finir avec le retard français*. Gage du transfert rapide des connaissances scientifiques au bénéfice des patients, la collaboration des médecins et des chercheurs doit être un élément central de la politique de recherche et de santé en psychiatrie en favorisant le développement de structures articulant soin et recherche.
Un tel effort public aurait plusieurs avantages: contribuer au développement de nouvelles thérapies plus efficaces, mais également modifier l'image négative de ces pathologies et favoriser l'accès aux soins. C'est à cette condition qu'une politique de prévention en psychiatrie se développera et permettra de réduire l'impact humain, mais aussi social des maladies mentales.
Cette tribune est cosignée par:
Pr Marion Leboyer, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Pr Emmanuel Haffen, psychiatre au CHRU de Besançon
Pr Pierre-Michel Llorca, psychiatre au CHRU de Clermont-Ferrand
Pr Antoine Pelissolo, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Pr Frank Bellivier, psychiatre aux Hôpitaux Saint-Louis Lariboisière Fernand Widal
Pr Philippe Courtet, psychiatre au CHRU de Montpellier
Pr Luc Mallet, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Pr Richard Delorme, psychiatre à l'Hôpital Robert Debré
Pr Bruno Aouizerate, psychiatre au CHS Charles Perrens à Bordeaux
Pr Chantal Henry, psychiatre aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor
Ils collaborent au sein de la Fondation FondaMental
http://www.huffingtonpost.fr/marion-leboyer/maladies-mentales-semaine-dinformations-jeunes_b_6863406.html
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site des Semaines d'information sur la santé mentale.
http://www.semaine-sante-mentale.fr/
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Re: SISM : Semaines d’information sur la santé mentale du 16 mars au 29 mars 2015 : Etre adolescent aujourd'hui
J'ai lu ton post avec beaucoup d'attention ayant deux ado à la maison, et vu mon passif, et les difficultés que je rencontre avec mon fils (voir mon fil), ça m'éclaire un peu et interpelle mon coeur de maman, attentive à Gaëtan que je sens en fort mal être et étant donné qu'il a 16 ans et est en âge d'être atteint par la bipo je suis vigilente.
Merci beaucoup
Bisous
kris
Merci beaucoup
Bisous
kris
kristalline- Nombre de messages : 3216
Age : 61
Type troubles : bipolaire type 1, fille et petite fille de dépressives
Emploi / Statut : Mère au foyer
Date d'inscription : 19/03/2013
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