Oser parler à son médecin
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Oser parler à son médecin
Oser parler à son médecin
La Haute autorité de santé (HAS) édite une brochure destinée aux patients pour les aider à mieux communiquer avec les professionnels de santé. Elle vise à encourager le patient à dialoguer afin d’éviter les non-dits, les malentendus, les erreurs… et à inciter les soignants à engager un partenariat durable et constructif avec le patient.
Oser parler à son médecin, www.has-sante.fr
http://www.santementale.fr/actualites/oser-parler-a-son-medecin.html
La Haute autorité de santé (HAS) édite une brochure destinée aux patients pour les aider à mieux communiquer avec les professionnels de santé. Elle vise à encourager le patient à dialoguer afin d’éviter les non-dits, les malentendus, les erreurs… et à inciter les soignants à engager un partenariat durable et constructif avec le patient.
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http://www.santementale.fr/actualites/oser-parler-a-son-medecin.html
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Re: Oser parler à son médecin
3 questions à poser à son médecin pour obtenir de meilleures informations
Soumis par Gestion le 25 février 2014
Une étude, publiée dans la revue Patient Education and Counseling a vérifié l'effet de 3 questions posées à des médecins sur la qualité des informations fournies par ces derniers concernant les options de traitement.
Les patients, soulignent Heather L. Shepherd de l'Université de Sydney et ses collègues (1), ont besoin d'informations sur mesure de la part de leurs médecins pour prendre des décisions informées et fournir un consentement éclairé.
Deux actrices ont été entraînées à se présenter comme étant des patientes présentant une dépression légère à modérée. Elles ont pris un rendez-vous et se sont présentées chez 36 médecins de famille (omnipraticiens). L'une d'elle devait poser 3 questions pré-établies, tandis que l'autre n'avait pas reçu cette consigne précise. Les consultations étaient enregistrées afin d'être analysées
Les trois questions étaient :
- Quelles sont mes options?
- Quels sont leurs avantages et leurs inconvénients?
- Quels sont les probabilités de ces avantages et ces inconvénients?
Une plus grande diffusion d'informations ainsi qu'une meilleure prise en compte des préférences de la patiente et une facilitation de son implication ont été constatées avec l'utilisation de ces questions.
Ces effets sont survenus sans différence significative dans la longueur des consultations, qui ont été de 26 minutes en moyenne dans les 2 cas.
Ces questions peuvent favoriser la pratique d'une médecine fondée sur des preuves, renforcer la communication médecin-patient (facilitant ainsi la décision médicale partagée) et améliorer la sécurité et la qualité des soins, estiment les chercheurs.
Voyez également:
- 8 conseils pour mieux communiquer avec votre médecin afin de favoriser un bon diagnostic
- Consultations médicales: remplacer la "décision de l'expert" par la "décision partagée"
- La plupart des gens ne s'informent pas assez pour prendre part aux décisions médicales les concernant
- La thérapie cognitivo-comportementale efficace contre la dépression résistante aux antidépresseurs
(1) Alexandra Barratt, Lyndal J. Trevena, Kevin McGeechan, Karen Carey, Ronald M. Epstein, Phyllis N. Butow, Chris B. Del Mar, Vikki Entwistle, Martin H.N. Tattersall.
Psychomédia avec sources: Patient Education and Counseling.
Tous droits réservés
http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2014-02-25/3-questions-pour-decision-medicale-partagee
Soumis par Gestion le 25 février 2014
Une étude, publiée dans la revue Patient Education and Counseling a vérifié l'effet de 3 questions posées à des médecins sur la qualité des informations fournies par ces derniers concernant les options de traitement.
Les patients, soulignent Heather L. Shepherd de l'Université de Sydney et ses collègues (1), ont besoin d'informations sur mesure de la part de leurs médecins pour prendre des décisions informées et fournir un consentement éclairé.
Deux actrices ont été entraînées à se présenter comme étant des patientes présentant une dépression légère à modérée. Elles ont pris un rendez-vous et se sont présentées chez 36 médecins de famille (omnipraticiens). L'une d'elle devait poser 3 questions pré-établies, tandis que l'autre n'avait pas reçu cette consigne précise. Les consultations étaient enregistrées afin d'être analysées
Les trois questions étaient :
- Quelles sont mes options?
- Quels sont leurs avantages et leurs inconvénients?
- Quels sont les probabilités de ces avantages et ces inconvénients?
Une plus grande diffusion d'informations ainsi qu'une meilleure prise en compte des préférences de la patiente et une facilitation de son implication ont été constatées avec l'utilisation de ces questions.
Ces effets sont survenus sans différence significative dans la longueur des consultations, qui ont été de 26 minutes en moyenne dans les 2 cas.
Ces questions peuvent favoriser la pratique d'une médecine fondée sur des preuves, renforcer la communication médecin-patient (facilitant ainsi la décision médicale partagée) et améliorer la sécurité et la qualité des soins, estiment les chercheurs.
Voyez également:
- 8 conseils pour mieux communiquer avec votre médecin afin de favoriser un bon diagnostic
- Consultations médicales: remplacer la "décision de l'expert" par la "décision partagée"
- La plupart des gens ne s'informent pas assez pour prendre part aux décisions médicales les concernant
- La thérapie cognitivo-comportementale efficace contre la dépression résistante aux antidépresseurs
(1) Alexandra Barratt, Lyndal J. Trevena, Kevin McGeechan, Karen Carey, Ronald M. Epstein, Phyllis N. Butow, Chris B. Del Mar, Vikki Entwistle, Martin H.N. Tattersall.
Psychomédia avec sources: Patient Education and Counseling.
Tous droits réservés
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Andrée- Nombre de messages : 2268
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Date d'inscription : 22/05/2013
Re: Oser parler à son médecin
Une nouvelle charte pour améliorer le partenariat entre médecins généralistes et psychiatres de secteur
Médecine générale & Psychiatrie de secteur
Pour mieux répondre aux besoins des patients dans le domaine de psychiatrie et de la santé mentale et compte tenu des enjeux des soins aux personnes et de santé publique, le Collège de la Médecine Générale et la Conférence Nationale des Présidents de CME de Centres Hospitaliers Spécialisés souhaitent améliorer le partenariat entre médecins généralistes traitants et psychiatres de secteur.
Afin d'assurer une meilleure coordination des soins, ils s'accordent sur les points suivants :
Le psychiatre de secteur, dans la perspective d'une prise en charge coordonnée du patient, notamment sur le plan somatique, s'assure de l'existence et de l'identification d'un médecin généraliste traitant pour chacun de ses patients.
Le médecin généraliste traitant assure le suivi médical global du patient et, dans ce cadre, participe à la prévention et la surveillance des effets secondaires des traitements en particulier lors de comorbidités somatiques et psychiatriques.
Le psychiatre de secteur propose, s'il y a lieu, le traitement chimiothérapeutique au médecin généraliste traitant, qui en réalise alors principalement la prescription, eu égard à sa connaissance globale de l'état clinique du patient.
Le secteur de psychiatrie assure au médecin généraliste traitant un accès téléphonique direct à un psychiatre senior de l'équipe.
Cette disponibilité est réciproque.
La transmission d'information de la part du psychiatre de secteur au médecin généraliste traitant est assurée dès l'adressage du patient aux structures de soins. En cas de suivi spécialisé, le médecin généraliste traitant, en tant que co-thérapeute, est informé régulièrement de ses modalités en cours et/ou envisagées quant à la prise en charge ponctuelle ou durable.
Le médecin généraliste traitant est informé systématiquement et dans les délais les meilleurs, des hospitalisations programmées ou urgentes en milieu spécialisé de son patient, tant à son entrée qu'à sa sortie.
Sa connaissance du traitement de sortie mais aussi des conditions du retour à domicile, en particulier en cas d'interventions dans le champ sanitaire ou social dans le lieu de vie, en fonction des ressources du territoire, est de nature à assurer une meilleure coordination du parcours de soin.
Pour les patients relevant de la patientèle du médecin généraliste traitant, cette coopération entre soignants facilite l'action du médecin généraliste traitant pour mobiliser des ressources locales et des interventions communes au domicile par l'équipe du secteur psychiatrique.
Le médecin généraliste traitant intervient notamment en cas de mesure d'hospitalisation sans consentement.
Le médecin généraliste traitant et le psychiatre du secteur référent assurent la coordination des interventions au domicile concernant les équipes pluri professionnelles impliquées dans les soins, l'aide et l'accompagnement du patient et de sa famille.
La formation des internes de psychiatrie et des internes de médecine générale doit favoriser la connaissance mutuelle des dispositifs de soins et des pratiques professionnelles.
Les stages universitaires doivent être l'occasion d'échanges réciproques dans les secteurs ou les cabinets des maîtres de stage des universités.
La mise en oeuvre de ces principes participe au développement d'espaces d'échanges communs entre médecine générale et psychiatrie publique. Elle doit être adaptée à la situation démographique des différents territoires.
Dr Christian Müller
Président
Conférence Nationale des Présidents de CME
de Centres Hospitliers Spécialisés
Pr Pierre-Louis Druais
Président
Collège de la Médecine Générale
http://www.capgeris.com/sante-1731/medecine-generale-et-psychiatrie-de-secteur-a30162.htm
La charte de Partenariat Médecine générale & psychiatrie de secteur
http://www.cme-psy.org/sites/default/files/fichiers/charte-cme-medecine-generaliste_final_20140418.pdf
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Re: Oser parler à son médecin
Franzie bonjour,
Tu vois, après lecture de ton post, je tenais à préciser que lorsque je côtoyais mon neurologue, il me disait souvent, vous savez entre votre psychiatre et moi, ils nous arrivent très souvent de communiquer ensemble au sujet de votre traitement. Nous travaillons en collaboration.
Il tenait à me le dire assez souvent pour que je sois plus en confiance certainement. J'étais loin de m'imaginer que ce soit vrai. Je ne pouvais que le croire lorsqu'il me le disait.
bises, domi.
Tu vois, après lecture de ton post, je tenais à préciser que lorsque je côtoyais mon neurologue, il me disait souvent, vous savez entre votre psychiatre et moi, ils nous arrivent très souvent de communiquer ensemble au sujet de votre traitement. Nous travaillons en collaboration.
Il tenait à me le dire assez souvent pour que je sois plus en confiance certainement. J'étais loin de m'imaginer que ce soit vrai. Je ne pouvais que le croire lorsqu'il me le disait.
bises, domi.
dominique- Nombre de messages : 14471
Age : 60
Type troubles : épiléptique
Emploi / Statut : problème psy et inapte à toutes activités AAH 95%
Date d'inscription : 23/04/2008
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