la chasse aux tigres

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[img] * A propos * Actualités * Vidéos o Terre TV o Cinéma Science * Simulateurs o Climat o Océans * Pronostics * Le mensuel Le tigre et l’homme, la violence d’une rencontre Par Denis Delbecq • 21 octobre 2008 à 10:26 • Categorie: Actualité Quand l’homme et le climat agissent de concert, les conséquences sont parfois dramatiques. En Inde, dans les îles des Sundarbans, près du Bengladesh, sept pêcheurs ont été tués depuis le début de l’année par des tigres. La montée de l’océan Indien sous l’effet du réchauffement climatique et les barrages sur le Gange ont peu à peu grignoté l’habitat du tigre dans la région, provoquant des rencontres plus fréquentes avec l’homme. Les Sundarbans sont un archipel de centaines d’îlots marécageux séparés par des canaux naturels, dans le delta du Gange. La présence des tigres, crocodiles et autres serpents tueurs ont conduit les indiens à surnommer cette région “le ventre de l’enfer”. Et pourtant, plusieurs centaines de personnes y vivent, de pêche et de récolte du miel dans les forêts qui tapissent les îlots. (1) Certains ont déjà disparu, engloutis par la montée de l’océan. Un quart de l’habitat du tigre a disparu en quarante ans. L’animal est menacé ici comme il l’est ailleurs. De cinq cents, la population de l’animal serait aujourd’hui de 75 à 260, suivant les sources. Victime des braconniers —un animal a encore été tué en octobre— et surtout de la disparition de ses terrains de chasse et de ses proies naturelles, le tigre devient plus agressif vis à vis des pêcheurs qui traversent son territoires. Pire encore, l’animal commence à fréquenter les villages, de nuit. Mais il ne se contente plus de chaparder quelque chèvre. Dans un reportage publié fin septembre, le Taipei Times raconte comment un villageois s’est fait dévorer fin juin dans les Sundarbans, côté Bengladesh cette fois. Il y aurait chaque année une quarantaine de morts dans cette région, auxquels s’ajoutent une quinzaine de victimes côté indien. (1) Voir la description qu’en fait Isabelle Millard, auteure d’un documentaire sur l’accès aux soins dans cette région. Article lu 236 fois. Tags:bengladesh, biodiversite, environnement, Inde, tigre Laisser un commentaire Nom (requis) Email (ne sera pas publié) (requis) Site web * *

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COMPTAGE - L'Inde a annoncé ce lundi que la population de tigres dans le pays
était en hausse pour la première fois depuis des années,
une nouvelle encourageante pour la conservation de l'espèce
mais qui est surtout due à un comptage plus minutieux des animaux.
(REUTERS/Rupak De Chowdhuri)
liberation.fr

[Jacques]

Bonjour, melody et Fractal !

Lu sur

(Clique ici) Les tigres indiens se portent mieux.

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Le nombre de tigre est en augmentation en Inde, une bonne nouvelle après des années d’effort pour protéger cette espèce gravement menacée dans toute l’Asie.

L'Inde a annoncé lundi que la population de tigres dans le pays était en hausse pour la première fois depuis des années, une nouvelle encourageante pour la conservation de l'espèce mais qui est surtout due à un comptage plus minutieux des animaux. (c) Afp L'Inde a annoncé lundi que la population de tigres dans le pays était en hausse pour la première fois depuis des années, une nouvelle encourageante pour la conservation de l'espèce mais qui est surtout due à un comptage plus minutieux des animaux. (c) Afp

En 2005, l’Inde a brutalement réalisé que les tigres avaient presque disparu de ses grandes réserves considérées comme des sanctuaires, victimes du commerce illégal. Leur nombre était en effet passé de 3600 à 1411 en seulement cinq ans.

Face à ces chiffres inquiétants les autorités indiennes ont adopté toute une série de mesures de sauvegarde dont les résultats commencent à se faire sentir. Le dernier recensement indique ainsi que le nombre de tigres est en hausse d’au moins 300 individus. « Une augmentation qui résulte d’efforts soutenus » comme le précise Jairam Ramesh, ministre de l’environnement.

Les menaces restent cependant importantes notamment concernant les « corridors » ces passages fréquentés par les tigres pour passer d’une réserve à l’autre. « La sécurisation de ces corridors doit être une priorité», a déclaré Rajesh Gopal, directeur, National Tiger Conservation Authority. L’expansion des industries et la construction des routes interfèrent souvent avec ces zones de transit utilisées par les félins.

Les résultats de ce recensement coïncident avec le déroulement d’une conférence internationale de trois jours pour assurer le suivi des progrès accomplis depuis le sommet de Saint-Pétersbourg, en 2010 , où s’étaient rassemblés les responsables des treize pays habités par les tigres sauvages. Lors de cette conférence, qui se tient à New Delhi, les différents pays devront présenter les stratégies à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs du sommet de Saint-Pétersbourg, qui prévoit de doubler la population de tigres d’ici 2022 tout en réprimant le braconnage et le commerce de peaux ; et d’autres parties, du tigre.

J.I.
Sciences et Avenir.fr
29/03/2011

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Bonne journée. Bises . Jacques

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