L'action de la lumière sur les performances cognitives mieux comprise
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L'action de la lumière sur les performances cognitives mieux comprise
L'action de la lumière sur les performances cognitives mieux comprise
Soumis par Gestion le 11 mars 2014
La lumière joue un rôle essentiel dans plusieurs fonctions non-visuelles comme la synchronisation de l'horloge biologique avec l’alternance jour-nuit. Elle constitue aussi un stimulant pour l’éveil et la cognition. Elle est ainsi couramment employée pour améliorer la performance, et pour lutter contre la somnolence ou encore la dépression saisonnière (blues hivernal).
Les mécanismes qui sous-tendent ces effets sont encore peu connus.
Durant la dernière décennie, la mélanopsine a été découverte. Il s'agit d'un photorécepteur dans la rétine de l’œil qui est essentiel à la transmission de l’information lumineuse vers de nombreux centres du cerveau non-visuels. Des études ont montré que la mélanopsine est particulièrement sensible à la lumière bleue.
Elles ont aussi montré que sans ce photorécepteur, les fonctions non-visuelles sont perturbées, l’horloge biologique est déréglée et l’effet stimulant de la lumière est compromis. Toutefois, chez l’être humain, le rôle de la mélanopsine dans la régulation de l’éveil et de la cognition n’était pas établi.
Sarah Laxhmi Chellappa et ses collègues de l’Université de Liège (Belgique) et de l’Institut Cellules Souches et Cerveau de l’Inserm (France) viennent de démontrer son implication dans l’impact de la lumière sur le cerveau. Leurs travaux sont publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).
Au moyen de l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ils ont montré que l’impact de la lumière sur les régions cérébrales impliquées dans la réalisation d’une tâche cognitive dépendait de la couleur spécifique de la lumière reçue plus d’une heure auparavant.
Une exposition préalable à la lumière orange avant une lumière test augmentait l’impact de cette dernière, alors qu’une exposition préalable à une lumière bleue produit l’effet inverse.
Ce “effet retard” d’une exposition à la lumière sur la réponse lumineuse suivante est typique de la mélanopsine et de certains photopigments rencontrés chez les invertébrés et les plantes, et est connu sous le nom de mémoire photique.
""Nous aurions donc une machinerie dans l’œil identique à celle des invertébrés qui participe à la régulation de notre cognition. De façon générale, la lumière de notre environnement évolue au cours de la journée et ces changements modifient notre état. Cette recherche met en avant l’importance de la lumière pour les fonctions cognitives cérébrales et constitue une preuve en faveur d’un rôle cognitif de la mélanopsine"", conclut Howard Cooper de l'Inserm, coauteur.
Cette découverte supporte aussi l'intérêt pour la conception de systèmes lumineux qui optimisent les performances cognitives.
Voyez également:
- La lumière stimule les performances cognitives même chez les aveugles
- La lumière bleue affecterait les émotions et l'humeur
- La lumière bleue des tablettes numériques nuit au sommeil
- Une cause de la dépression saisonnière identifiée
- L'éclairage de soirée pourrait favoriser insomnie, diabète et cancer
Psychomédia avec sources: Inserm, PNAS.
Tous droits réservés
http://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2014-03-11/impact-de-la-lumiere-sur-la-cognition
Soumis par Gestion le 11 mars 2014
La lumière joue un rôle essentiel dans plusieurs fonctions non-visuelles comme la synchronisation de l'horloge biologique avec l’alternance jour-nuit. Elle constitue aussi un stimulant pour l’éveil et la cognition. Elle est ainsi couramment employée pour améliorer la performance, et pour lutter contre la somnolence ou encore la dépression saisonnière (blues hivernal).
Les mécanismes qui sous-tendent ces effets sont encore peu connus.
Durant la dernière décennie, la mélanopsine a été découverte. Il s'agit d'un photorécepteur dans la rétine de l’œil qui est essentiel à la transmission de l’information lumineuse vers de nombreux centres du cerveau non-visuels. Des études ont montré que la mélanopsine est particulièrement sensible à la lumière bleue.
Elles ont aussi montré que sans ce photorécepteur, les fonctions non-visuelles sont perturbées, l’horloge biologique est déréglée et l’effet stimulant de la lumière est compromis. Toutefois, chez l’être humain, le rôle de la mélanopsine dans la régulation de l’éveil et de la cognition n’était pas établi.
Sarah Laxhmi Chellappa et ses collègues de l’Université de Liège (Belgique) et de l’Institut Cellules Souches et Cerveau de l’Inserm (France) viennent de démontrer son implication dans l’impact de la lumière sur le cerveau. Leurs travaux sont publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).
Au moyen de l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ils ont montré que l’impact de la lumière sur les régions cérébrales impliquées dans la réalisation d’une tâche cognitive dépendait de la couleur spécifique de la lumière reçue plus d’une heure auparavant.
Une exposition préalable à la lumière orange avant une lumière test augmentait l’impact de cette dernière, alors qu’une exposition préalable à une lumière bleue produit l’effet inverse.
Ce “effet retard” d’une exposition à la lumière sur la réponse lumineuse suivante est typique de la mélanopsine et de certains photopigments rencontrés chez les invertébrés et les plantes, et est connu sous le nom de mémoire photique.
""Nous aurions donc une machinerie dans l’œil identique à celle des invertébrés qui participe à la régulation de notre cognition. De façon générale, la lumière de notre environnement évolue au cours de la journée et ces changements modifient notre état. Cette recherche met en avant l’importance de la lumière pour les fonctions cognitives cérébrales et constitue une preuve en faveur d’un rôle cognitif de la mélanopsine"", conclut Howard Cooper de l'Inserm, coauteur.
Cette découverte supporte aussi l'intérêt pour la conception de systèmes lumineux qui optimisent les performances cognitives.
Voyez également:
- La lumière stimule les performances cognitives même chez les aveugles
- La lumière bleue affecterait les émotions et l'humeur
- La lumière bleue des tablettes numériques nuit au sommeil
- Une cause de la dépression saisonnière identifiée
- L'éclairage de soirée pourrait favoriser insomnie, diabète et cancer
Psychomédia avec sources: Inserm, PNAS.
Tous droits réservés
http://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2014-03-11/impact-de-la-lumiere-sur-la-cognition
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Lumière… bleue…
Bonjour, Franzie !
Lumière… orange… Je comprends maintenant lorsque j'ai connu les systèmes informatiques Nixdorf à partir de 1979, la lumière des écrans est passée du vert à l'orange.
Tout cela confirme le conseil de ne pas trop regarder la télévision avant de vouloir s'endormir… ce que je ne fais pas, merci Tercian qui me fait dormir une demi-heure après…
Il a déjà été question de la lumière — notamment la luminothéraie — ici : https://www.google.fr/?gfe_rd=cr&ei=qSQgU9uZMqqA8Qee9YFY#as_sitesearch=bipolairemd2008.forum-actif.eu&hl=fr&q=lumiere+bleue
Bonne journée. Bisous . Jacques
Lumière… orange… Je comprends maintenant lorsque j'ai connu les systèmes informatiques Nixdorf à partir de 1979, la lumière des écrans est passée du vert à l'orange.
Tout cela confirme le conseil de ne pas trop regarder la télévision avant de vouloir s'endormir… ce que je ne fais pas, merci Tercian qui me fait dormir une demi-heure après…
Il a déjà été question de la lumière — notamment la luminothéraie — ici : https://www.google.fr/?gfe_rd=cr&ei=qSQgU9uZMqqA8Qee9YFY#as_sitesearch=bipolairemd2008.forum-actif.eu&hl=fr&q=lumiere+bleue
Bonne journée. Bisous . Jacques
«Comment la lumière influence notre cerveau (une heure après)»
Bonjour, Franzie !
Lu sur
««« Comment la lumière influence notre cerveau (une heure après) — Par Stéphane Desmichelle
Notre cerveau exécuterait mieux une tâche cognitive si nous avons été exposés à la lumière quelques heures auparavant. Explications.
…
»»»
… http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140311.OBS9249/comment-la-lumiere-influence-notre-cerveau-une-heure-apres.html
Quand la lumière est bonne !
Bonne journée. Bisous . Jacques
Lu sur
««« Comment la lumière influence notre cerveau (une heure après) — Par Stéphane Desmichelle
Notre cerveau exécuterait mieux une tâche cognitive si nous avons été exposés à la lumière quelques heures auparavant. Explications.
…
»»»
… http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140311.OBS9249/comment-la-lumiere-influence-notre-cerveau-une-heure-apres.html
Quand la lumière est bonne !
Bonne journée. Bisous . Jacques
Re: L'action de la lumière sur les performances cognitives mieux comprise
Bonjour Jacques et à vous,
lu ce matin sur le Figaro :
La lumière orange prépare le cerveau à bien cogiter
le 20/03/2014
L'exposition à la lumière bleue, verte ou orange impacte notre façon de réfléchir, en bien comme en mal.
La lumière sert à plus qu'à voir clair. Essentielle pour faire fonctionner notre horloge biologique, ne pas somnoler en journée ni souffrir du «blues de l'hiver», elle est aussi indispensable pour exécuter correctement une tâche cognitive.
Mais notre cerveau se souvient aussi de la lumière qu'il a reçue avant de travailler. C'est ce que viennent de montrer des membres du centre de recherche du cyclotron de l'université de Liège (Belgique) et du département de chronobiologie de l'institut cellules souches et cerveau de l'Inserm à Lyon.
Depuis longtemps, on connaissait dans l'œil humain deux types de cellules traitant la lumière: les cônes et les bâtonnets. La mélanopsine, identifiée depuis une dizaine d'années, est un autre type de photorécepteur qui transmet l'information lumineuse vers des zones du cerveau dévolues à des tâches non visuelles. Des recherches en laboratoire ont montré que, chez l'animal, son absence perturbait les fonctions non visuelles. «Chez l'homme, on savait que la mélanopsine existait mais on ne pouvait que soupçonner qu'elle jouait un rôle», explique Howard Cooper, chercheur à l'Inserm et l'un des auteurs de l'étude.
Or la mélanospine présente deux particularités: elle répond de façon très lente à l'exposition à la lumière, et prend des états différents selon la couleur de la lumière à laquelle elle est soumise.
Orange contre bleu
Seize volontaires ont donc été priés d'exécuter une tâche cognitive simple en étant exposés à une lumière test. Avant cela, ils avaient été soumis 10 minutes durant à une lumière bleue, verte ou orange, puis plongés dans le noir pendant 70 minutes. Tandis qu'ils réalisaient les tâches cognitives demandées, les chercheurs observaient le fonctionnement de leur cerveau grâce à l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF). Et ces images ont montré que trois régions cérébrales, impliquées dans la régulation de l'éveil et des processus cognitifs complexes, réagissaient mieux à la lumière test lorsque les participants avaient été, au préalable, soumis à une lumière orange. Avoir été exposé à une lumière bleue produisait l'effet inverse. «Cela montre que la mélanospine participe de façon prédominante aux tâches cognitives non visuelles», explique Howard Cooper.
Par plusieurs aspects, la mélanopsine ressemble à des photopigments rencontrés chez les invertébrés et les plantes. «Nous aurions donc une machinerie dans l'œil identique à celle des invertébrés qui participe à la régulation de notre cognition », indiquent les chercheurs. Votre voisin de bureau réfléchit comme une méduse? Proposez-lui un petit shoot de lumière orange…
LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE
Ces lumières qui soignent, avec ou sans médicament
La luminothérapie contre la dépression saisonnière
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/03/20/22129-lumiere-orange-prepare-cerveau-bien-cogiter
lu ce matin sur le Figaro :
La lumière orange prépare le cerveau à bien cogiter
le 20/03/2014
L'exposition à la lumière bleue, verte ou orange impacte notre façon de réfléchir, en bien comme en mal.
La lumière sert à plus qu'à voir clair. Essentielle pour faire fonctionner notre horloge biologique, ne pas somnoler en journée ni souffrir du «blues de l'hiver», elle est aussi indispensable pour exécuter correctement une tâche cognitive.
Mais notre cerveau se souvient aussi de la lumière qu'il a reçue avant de travailler. C'est ce que viennent de montrer des membres du centre de recherche du cyclotron de l'université de Liège (Belgique) et du département de chronobiologie de l'institut cellules souches et cerveau de l'Inserm à Lyon.
Depuis longtemps, on connaissait dans l'œil humain deux types de cellules traitant la lumière: les cônes et les bâtonnets. La mélanopsine, identifiée depuis une dizaine d'années, est un autre type de photorécepteur qui transmet l'information lumineuse vers des zones du cerveau dévolues à des tâches non visuelles. Des recherches en laboratoire ont montré que, chez l'animal, son absence perturbait les fonctions non visuelles. «Chez l'homme, on savait que la mélanopsine existait mais on ne pouvait que soupçonner qu'elle jouait un rôle», explique Howard Cooper, chercheur à l'Inserm et l'un des auteurs de l'étude.
Or la mélanospine présente deux particularités: elle répond de façon très lente à l'exposition à la lumière, et prend des états différents selon la couleur de la lumière à laquelle elle est soumise.
Orange contre bleu
Seize volontaires ont donc été priés d'exécuter une tâche cognitive simple en étant exposés à une lumière test. Avant cela, ils avaient été soumis 10 minutes durant à une lumière bleue, verte ou orange, puis plongés dans le noir pendant 70 minutes. Tandis qu'ils réalisaient les tâches cognitives demandées, les chercheurs observaient le fonctionnement de leur cerveau grâce à l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF). Et ces images ont montré que trois régions cérébrales, impliquées dans la régulation de l'éveil et des processus cognitifs complexes, réagissaient mieux à la lumière test lorsque les participants avaient été, au préalable, soumis à une lumière orange. Avoir été exposé à une lumière bleue produisait l'effet inverse. «Cela montre que la mélanospine participe de façon prédominante aux tâches cognitives non visuelles», explique Howard Cooper.
Par plusieurs aspects, la mélanopsine ressemble à des photopigments rencontrés chez les invertébrés et les plantes. «Nous aurions donc une machinerie dans l'œil identique à celle des invertébrés qui participe à la régulation de notre cognition », indiquent les chercheurs. Votre voisin de bureau réfléchit comme une méduse? Proposez-lui un petit shoot de lumière orange…
LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE
Ces lumières qui soignent, avec ou sans médicament
La luminothérapie contre la dépression saisonnière
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/03/20/22129-lumiere-orange-prepare-cerveau-bien-cogiter
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
« Sécheresse, fatigue : l'ordinateur maltraite nos yeux »
Bonjour !
Lu sur LEFIGARO.fr santé
««« Sécheresse, fatigue : l'ordinateur maltraite nos yeux — Par Aude Rambaud
Pas dangereux en tant que tels, les écrans peuvent néanmoins entraîner des douleurs oculaires gênantes.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/06/24/22528-secheresse-fatigue-lordinateur-maltraite-nos-yeux
»»»
Article de juin 2014, cité en lien sur la page d'hier : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/10/20/22946-yeux-plus-plus-secs-avec-lage
Bonne journée. Bisous . Jacques
Lu sur LEFIGARO.fr santé
««« Sécheresse, fatigue : l'ordinateur maltraite nos yeux — Par Aude Rambaud
Pas dangereux en tant que tels, les écrans peuvent néanmoins entraîner des douleurs oculaires gênantes.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/06/24/22528-secheresse-fatigue-lordinateur-maltraite-nos-yeux
»»»
Article de juin 2014, cité en lien sur la page d'hier : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/10/20/22946-yeux-plus-plus-secs-avec-lage
Bonne journée. Bisous . Jacques
« Pourquoi faut-il se méfier de la lumière des LED ? »
Bonjour !
Lu en lien sur LE FIGARO.fr santé
««« Pourquoi faut-il se méfier de la lumière des LED ? — Par Anne Lefèvre-Balleydier
On la suspecte d'entraîner un vieillissement prématuré de la rétine dès lors que son usage est répété et son intensité trop forte.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/04/19/24877-pourquoi-faut-il-se-mefier-lumiere-led
»»»
Comme quoi il n'est pas toujours bon d'appeler à LED !…
Bonne journée. Bises aux filles . Jacques
Lu en lien sur LE FIGARO.fr santé
««« Pourquoi faut-il se méfier de la lumière des LED ? — Par Anne Lefèvre-Balleydier
On la suspecte d'entraîner un vieillissement prématuré de la rétine dès lors que son usage est répété et son intensité trop forte.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/04/19/24877-pourquoi-faut-il-se-mefier-lumiere-led
»»»
Comme quoi il n'est pas toujours bon d'appeler à LED !…
Bonne journée. Bises aux filles . Jacques
« Le halo bleu des fleurs attire les abeilles »
Bonjour !
Lu sur nature
««« Le halo bleu des fleurs attire les abeilles — Par Rédacteur
Une équipe britannique a découvert que les pétales blancs, roses ou jaunes de nombreuses fleurs produisaient un signal lumineux imitant le bleu. L’une des seules couleurs auxquelles ces insectes sont sensibles.
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/plantes-et-vegetaux/le-halo-bleu-des-fleurs-attire-les-abeilles_118586
»»»
La lumière bleue HOMNI-présente ?… … Connue des abeilles depuis la culture Maya ?…
Bonne semaine. Bises aux filles . Jacques
Lu sur nature
««« Le halo bleu des fleurs attire les abeilles — Par Rédacteur
Une équipe britannique a découvert que les pétales blancs, roses ou jaunes de nombreuses fleurs produisaient un signal lumineux imitant le bleu. L’une des seules couleurs auxquelles ces insectes sont sensibles.
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/plantes-et-vegetaux/le-halo-bleu-des-fleurs-attire-les-abeilles_118586
»»»
La lumière bleue HOMNI-présente ?… … Connue des abeilles depuis la culture Maya ?…
Bonne semaine. Bises aux filles . Jacques
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