Arrêt de médicaments
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Trouble bipolaire — Maniaco-dépression :: Angie :: Forum syne - Trouble bipolaire / MD :: Les médicaments
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Arrêt de médicaments
Bonsoir tardif à tous et à toutes ... voilà nous sommes vendredi et je suis en "sevrage total" de 2 médicaments depuis ce mardi ...
il s'agit de dépakote 250 (je n'en prenais plus qu'un le matin) et de largactil 25 (je n'en prenais plus qu'un le soir).
mon traitement maintenant se compose de : générique de l'effexor (1 de 75 mg le matin, 1 de 37,5 mg le soir) + générique du xanax 0,50 mg
(1 le matin, 1 le midi, 1 le soir) et, enfin, tiapride (1/2 le matin, 1/2 le soir).
le sevrage est récent, la période délicate. un après-midi (mardi ?), j'ai été très mal (au lit tout l'après-midi). ce soir, après une fatigue physique, devant l'annonce d'une "mauvaise" nouvelle, j'ai été mal, à nouveau, pleurs +++, désamparée mais je me suis assez vite resaissie.
mon problème, en regard de la maladie psychique, est le peu d'heures de sommeil que j'ai.
je voulais avoir des témoignages de personnes du forum à qui on a arrêté, comme moi, le régulateur d'humeur et le neuroleptique ; comment ils ou elles ont vécu cela.
mon psychiatre me dit que "les régulateurs d'humeur ne m'améliorent pas".
bonne nuit à tous et à toutes. au plaisir de vous lire. je vous souhaite un bon week-end. MUSE16
il s'agit de dépakote 250 (je n'en prenais plus qu'un le matin) et de largactil 25 (je n'en prenais plus qu'un le soir).
mon traitement maintenant se compose de : générique de l'effexor (1 de 75 mg le matin, 1 de 37,5 mg le soir) + générique du xanax 0,50 mg
(1 le matin, 1 le midi, 1 le soir) et, enfin, tiapride (1/2 le matin, 1/2 le soir).
le sevrage est récent, la période délicate. un après-midi (mardi ?), j'ai été très mal (au lit tout l'après-midi). ce soir, après une fatigue physique, devant l'annonce d'une "mauvaise" nouvelle, j'ai été mal, à nouveau, pleurs +++, désamparée mais je me suis assez vite resaissie.
mon problème, en regard de la maladie psychique, est le peu d'heures de sommeil que j'ai.
je voulais avoir des témoignages de personnes du forum à qui on a arrêté, comme moi, le régulateur d'humeur et le neuroleptique ; comment ils ou elles ont vécu cela.
mon psychiatre me dit que "les régulateurs d'humeur ne m'améliorent pas".
bonne nuit à tous et à toutes. au plaisir de vous lire. je vous souhaite un bon week-end. MUSE16
MUSE16- Nombre de messages : 89
Type troubles : inconnus
Emploi / Statut : sans emploi
Date d'inscription : 25/06/2013
Re: Arrêt de médicaments
coucou Muse
j'espere que ce sevrage va bien se passer et que tu verras vite une amélioration de ton etat ...
sur ce point je ne peux t'aider mais je peux t'assurer de mon soutien ..
si ça ne va pas je suis la et je ferai au mieux pour te rassurer
gros bisous
Mireille
j'espere que ce sevrage va bien se passer et que tu verras vite une amélioration de ton etat ...
sur ce point je ne peux t'aider mais je peux t'assurer de mon soutien ..
si ça ne va pas je suis la et je ferai au mieux pour te rassurer
gros bisous
Mireille
mireille- Nombre de messages : 9254
Age : 78
Date d'inscription : 02/08/2008
Re: Arrêt de médicaments
Muse a écrit:je voulais avoir des témoignages de personnes du forum à qui on a arrêté, comme moi, le régulateur d'humeur et le neuroleptique ; comment ils ou elles ont vécu cela.
mon psychiatre me dit que "les régulateurs d'humeur ne m'améliorent pas".
Bonjour Muse,
J'ai du arrêter mon thymorégulateur notamment le lithium pour tomber enceinte de mon fils il y a deux ans et demi de cela et ma lutte contre la maladie était encore plus dur et on a du me faire accoucher d'urgence à 7 mois de grossesse ,car j'ai commencé à rentrer dans une phase de délire
j'ai repris mon traitement directement après la naissance de mon fils lithium et risperdal le temps que mon thymorégulateur fonctionne correctement et plus au moins 7 jours
et j'étais forcé de nouveau après la découverte d'une hypothyroïdie d’arrêter le lithium d'une façon brutal et cela à causé beaucoup de dégâts et notamment ma séparation avec mon compagnon suite à des gros problèmes familiaux puisque nous sommes vulnérable face au stress
et avec mon psy nous avons essayé une autre molécule la dépakine , mais cela ne me convient pas du tout
mais je reste perplexe devant l'idée qu'un thymorégulateur n'améliore pas l'état de santé d'un bipo et je suis très étonné devant la déclaration de ton psy par rapport à ton traitement ou je me trompe d'interprétation peut être ?
Combien de temps as tu pris ce thymo ?car pour nous bipo c'est presque une obligation si on veut vivre en harmonie avec la maladie sauf dans les états mixtes qui sont presque impossible à stabiliser ou une intolérance grave à certaine molécule présente dans les tymorélurateur
Je te transmet ici un lien que pourra t'aider à voir les choses plus clairement qui pourra te permettre à discuter de ta médication avec ton psy et faire un choix de traitement ensemble
Bonne journée
.
ALD a écrit: Le trouble bipolaire entraîne pour le
patient une vulnérabilité chronique en raison des oscillations de l’humeur
plus ou moins permanentes, et nécessite une prise en charge à vie.
Plus de 90 % des patients qui ont présenté un épisode maniaque,
présenteront d’autres épisodes thymiques.
Le cycle des rémissions et des rechutes est très variable bien que les
périodes de rémissions tendent à devenir de plus en plus courtes lorsque les
troubles ne sont pas traités.
Le traitement des troubles bipolaires lors des épisodes aigus maniaques ou
mixtes, hypomaniaques, repose en première intention sur le
thymorégulateur (le lithium), les anticonvulsivants (le divalproate de sodium)
les antipsychotiques atypiques (l’olanzapine, la rispéridone, l’aripiprazole).
La prescription repose sur le principe visant à privilégier une monothérapie le
plus souvent possible.
D’autres traitements peuvent être envisagés en deuxième intention pour les
épisodes aigus, maniaques ou mixtes, hypomaniaques :
Les anticonvulsivants tels que : la carbamazépine, le
valpromide, l’oxcarbazépine (hors AMM).
Les neuroleptiques conventionnels (hors AMM).
D’autres antipsychotiques atypiques : amisulpride, clozapine (hors
AMM). La prescription de clozapine requiert des mesures de
précaution obligatoires (surveillance régulière de la numération
formule leucocytaire et du nombre absolu de polynucléaires
neutrophiles ([PNN]) et doivent être réalisées conformément aux
recommandations du résumé des caracté
http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2009-09/ald_23__gm_troubles_bipolaires_web.pdf
Dernière édition par Arenaa le Dim 30 Juin 2013 - 17:50, édité 1 fois
Invité- Invité
réponse à arenaa
bonjour arenaa, bonjour à tous et à toutes qui me lisez, je te remercie, arenaa, de ton "post"-témoignage par rapport à l'arrêt du régulateur d'humeur. j'y réponds avec retard, je suis désolée.
que te dire par rapport à la décision de mon psy d'arrêter le traitement par régulateur d'humeur ("les régulateurs d'humeur ne vous améliorent pas" m'a-t-il dit textuellement) et du neuroleptique ?
tout d'abord que c'est la 2ème fois, depuis 2 ans, que ce même psy prend cette décision. Il y a 2 ans, le sevrage a été progressif (à l'époque dépakote et zyprexa) et m'a conduit dans un état catastrophique (mon mari et ma fille - même mariée - en ont bien fait les frais !). par 2 fois (au moins), durant cette période sans ce traitement, j'ai failli me présenter aux urgences psychiatriques de l'hôpital du coin. j'étais tellement mal que j'ai décidé d'arrêter la prise en charge par ce psy, tellement je lui en voulais. je lui ai écrit pour lui expliquer mes raisons. je ne saurai dire combien de temps je suis restée sans ce traitement mais je dirai au moins 2 mois. au bout d'un moment, je suis allée, de moi-même, voir mon médecin traitant pour demander la remise immédiate sous ce traitement, chose qu'il a acceptée et j'étais quand même mieux, je pense, par la suite ...
puis, il m'a fallu rechercher donc un autre psy. çà a été un peu dur. je me suis débrouillée moi-même. j'en ai trouvé un qui m'a suivie environ un an et demi et avec lequel je me suis "fâchée" en début de cette année (je ne suis pas une patiente facile, non plus, il faut dire !). à nouveau sans psy, j'en ai parlé à mon médecin traitant. il m'a conseillée d'essayer de voir si le docteur A. (celui d'il y a 2 ans) n'accepterait pas de me reprendre et ... il m'a reprise (rien ne l'y obligeait !).
je n'ai pas été franchement réticente à retourner vers ce psy car, pour la 1ère fois de mon parcours de malade psy, c'est le seul psy qui tient beaucoup en compte mes affections physiques : obésité morbide, diabète type 2.
maintenant, il faut que je dise qu'il y a 2 ans déjà, ce docteur A. remettait en cause le fait que je sois bipolaire (il disait que je ne présente qu'un symptôme en phase maniaque, ce qui, d'après lui, est trop peu pour confirmer une bipolarité).
depuis qu'il m'a repris en charge, cette année, j'ai essayé (et j'essaie encore !) de lui poser la question : de quelle affection psychique je souffre au juste ? il ne répond pas ! il m'a dit, une fois, que ce n'est pas si important "d'avoir une étiquette" au fond. moi, par moments, j'ai un très grand besoin de savoir le nom exact de ma maladie !
ma question d'aujourd'hui est : suis-je réellement bipolaire ou pas ?
une fois, ce psy m'a dit : "je confirme, vous êtes bien malade et vous êtes une femme compliquée comme l'a dit votre ex-amant".
à ce jour, je dois donc m'en tenir à ces dires-là ...
alors, l'arrêt du régulateur d'humeur et du neuroleptique, çà fait donc 2 fois que ce psy fait çà. je me dis qu'il a sûrement ses raisons. je lui fais confiance, c'est un spécialiste quand même ! j'aurais presque envie de dire : c'est donc que je ne suis pas bipolaire ???
je ne peux rien dire de plus ... je vis çà comme çà ... mais, hier soir, en présence de mon mari, de ma fille et son mari, de mes petites-filles, j'ai bien vu que "çà partait encore en vrille". je suis irritable, nerveuse, agressive ; j'ai des opinions très tranchées.
cette nuit, j'ai mal dormi et je me demande si je n'ai pas déliré tout haut. j'ai vaguement entendu mon mari se lever. là, j'attends qu'il se réveille pour lui poser la question.
moi aussi, je pensais que j'aurais toujours eu, ma vie durant, un régulateur d'humeur. maintenant, vraiment, je ne sais pas quoi dire de plus ...
bonne journée arenaa ! prends très soin de toi ! MUSE16
que te dire par rapport à la décision de mon psy d'arrêter le traitement par régulateur d'humeur ("les régulateurs d'humeur ne vous améliorent pas" m'a-t-il dit textuellement) et du neuroleptique ?
tout d'abord que c'est la 2ème fois, depuis 2 ans, que ce même psy prend cette décision. Il y a 2 ans, le sevrage a été progressif (à l'époque dépakote et zyprexa) et m'a conduit dans un état catastrophique (mon mari et ma fille - même mariée - en ont bien fait les frais !). par 2 fois (au moins), durant cette période sans ce traitement, j'ai failli me présenter aux urgences psychiatriques de l'hôpital du coin. j'étais tellement mal que j'ai décidé d'arrêter la prise en charge par ce psy, tellement je lui en voulais. je lui ai écrit pour lui expliquer mes raisons. je ne saurai dire combien de temps je suis restée sans ce traitement mais je dirai au moins 2 mois. au bout d'un moment, je suis allée, de moi-même, voir mon médecin traitant pour demander la remise immédiate sous ce traitement, chose qu'il a acceptée et j'étais quand même mieux, je pense, par la suite ...
puis, il m'a fallu rechercher donc un autre psy. çà a été un peu dur. je me suis débrouillée moi-même. j'en ai trouvé un qui m'a suivie environ un an et demi et avec lequel je me suis "fâchée" en début de cette année (je ne suis pas une patiente facile, non plus, il faut dire !). à nouveau sans psy, j'en ai parlé à mon médecin traitant. il m'a conseillée d'essayer de voir si le docteur A. (celui d'il y a 2 ans) n'accepterait pas de me reprendre et ... il m'a reprise (rien ne l'y obligeait !).
je n'ai pas été franchement réticente à retourner vers ce psy car, pour la 1ère fois de mon parcours de malade psy, c'est le seul psy qui tient beaucoup en compte mes affections physiques : obésité morbide, diabète type 2.
maintenant, il faut que je dise qu'il y a 2 ans déjà, ce docteur A. remettait en cause le fait que je sois bipolaire (il disait que je ne présente qu'un symptôme en phase maniaque, ce qui, d'après lui, est trop peu pour confirmer une bipolarité).
depuis qu'il m'a repris en charge, cette année, j'ai essayé (et j'essaie encore !) de lui poser la question : de quelle affection psychique je souffre au juste ? il ne répond pas ! il m'a dit, une fois, que ce n'est pas si important "d'avoir une étiquette" au fond. moi, par moments, j'ai un très grand besoin de savoir le nom exact de ma maladie !
ma question d'aujourd'hui est : suis-je réellement bipolaire ou pas ?
une fois, ce psy m'a dit : "je confirme, vous êtes bien malade et vous êtes une femme compliquée comme l'a dit votre ex-amant".
à ce jour, je dois donc m'en tenir à ces dires-là ...
alors, l'arrêt du régulateur d'humeur et du neuroleptique, çà fait donc 2 fois que ce psy fait çà. je me dis qu'il a sûrement ses raisons. je lui fais confiance, c'est un spécialiste quand même ! j'aurais presque envie de dire : c'est donc que je ne suis pas bipolaire ???
je ne peux rien dire de plus ... je vis çà comme çà ... mais, hier soir, en présence de mon mari, de ma fille et son mari, de mes petites-filles, j'ai bien vu que "çà partait encore en vrille". je suis irritable, nerveuse, agressive ; j'ai des opinions très tranchées.
cette nuit, j'ai mal dormi et je me demande si je n'ai pas déliré tout haut. j'ai vaguement entendu mon mari se lever. là, j'attends qu'il se réveille pour lui poser la question.
moi aussi, je pensais que j'aurais toujours eu, ma vie durant, un régulateur d'humeur. maintenant, vraiment, je ne sais pas quoi dire de plus ...
bonne journée arenaa ! prends très soin de toi ! MUSE16
MUSE16- Nombre de messages : 89
Type troubles : inconnus
Emploi / Statut : sans emploi
Date d'inscription : 25/06/2013
Re: Arrêt de médicaments
Bonjour, Muse !
Depuis que j'ai été diagnostiqué, je n'ai jamais été sans un thymorégulateur ou un neuroleptique : lithium et Solian de 1995 à 2006 ; Solian de 2006 à 2008 ; Dépakote et Risperdal de 2008 à début 2012 ; Xéroquel depuis 2012. Mes années les plus dures ont été Dépakote et Risperdal…
Il n'y a guère de d'exemples de personnes sans thymo ni neuro sur le forum. Il y avait fabrice999, mais il avait un régime strict qui lui convenait.
Ton psychiatre t'a-t-il parlé de fenêtre thérapeutique, un temps sans gros traitement pour remettre les choses à plat et faire le point ?
Bon dimanche. Bises . Jacques
Depuis que j'ai été diagnostiqué, je n'ai jamais été sans un thymorégulateur ou un neuroleptique : lithium et Solian de 1995 à 2006 ; Solian de 2006 à 2008 ; Dépakote et Risperdal de 2008 à début 2012 ; Xéroquel depuis 2012. Mes années les plus dures ont été Dépakote et Risperdal…
Il n'y a guère de d'exemples de personnes sans thymo ni neuro sur le forum. Il y avait fabrice999, mais il avait un régime strict qui lui convenait.
Ton psychiatre t'a-t-il parlé de fenêtre thérapeutique, un temps sans gros traitement pour remettre les choses à plat et faire le point ?
Bon dimanche. Bises . Jacques
réponse à jacques
bonjour jacques, merci pour ton "post". j'étais sous régulateur d'humeur depuis juin 1999. d'abord théralithe LP 400 durant 1 mois et demi (mis en place par l'HP). mon psy de l'époque disait que çà n'était pas bon pour moi ; m'a passée sous tégrétol LP 400 puis un autre psy sous dépakote 500 puis 250 (doses variables). je n'ai jamais eu d'autres régulateurs d'humeur.
neuroleptiques, j'ai toujours eu (plus ou moins).
non le psy ne m'a pas parlé de fenêtre thérapeutique ni de temps sans gros traitement. pour le moment, je ne sais rien de plus et je suis toujours à me demander si je suis réellement bipolaire ou pas mais quand je lui pose des questions il ne me répond pas ... alors ...
que dire ? que penser ? que faire, sinon m'en remettre à lui ?
j'angoisse un peu, je dois dire ... ce matin, je suis agressive, à nouveau (alors que je prends du tiapride, censé "contrer" mon agressivité).
bonne journée ! prends très soin de toi ! MUSE16
neuroleptiques, j'ai toujours eu (plus ou moins).
non le psy ne m'a pas parlé de fenêtre thérapeutique ni de temps sans gros traitement. pour le moment, je ne sais rien de plus et je suis toujours à me demander si je suis réellement bipolaire ou pas mais quand je lui pose des questions il ne me répond pas ... alors ...
que dire ? que penser ? que faire, sinon m'en remettre à lui ?
j'angoisse un peu, je dois dire ... ce matin, je suis agressive, à nouveau (alors que je prends du tiapride, censé "contrer" mon agressivité).
bonne journée ! prends très soin de toi ! MUSE16
MUSE16- Nombre de messages : 89
Type troubles : inconnus
Emploi / Statut : sans emploi
Date d'inscription : 25/06/2013
Re: Arrêt de médicaments
Bonjour Muse,Muse a écrit:ma question d'aujourd'hui est : suis-je réellement bipolaire ou pas ?
En lisant ta réponse , j'ai eu les larmes au yeux ,car j'ai cru un moment donné que c'était l' histoire de ma vie ,mais en réalité c'est l'histoire de chaque bipolaire qui remet en cause son diagnostic suite à l'arrêt de médicaments et je te remercie de m'avoir aussi ouverts les yeux sur ce point la car le reflet d'un miroir est beaucoup plus objectifs que les conseils des professionnelle de la santé
Peut importe chère muse , Bipolaire ou pas , moi j'ai toujours dit en s'en fou
Il suffit juste de comprendre ce qui nous arrive et pour quelle raison nous souffrons et essayé de soigner cela pour se sentir mieux et surtout pour ne pas souffrir tout ceux qu'on aime bon dimanche
Invité- Invité
réponse à arenaa
Bonjour Arenaa, Eh bien, n'aies pas les larmes aux yeux, stp !!! ce matin, c'était moi qui avais le visage ravagé de larmes et pas qu'un peu ! j'ai fini par m'endormir ... d'ailleurs, là, en ce moment, si je n'avais la cuisson d'aliments sur le feu pour le dîner de ce soir à surveiller, au lit j'y serais déjà ! je ne pense qu'à cela : fuir en dormant !!!
je ne sais pas dire si je remets oui ou non mon diagnostic en cause puisqu'on m'a arrêté le régulateur d'humeur et le neuroleptique. je faisais confiance. çà fait la 2ème fois avec ce psy-là mais quand je vois comment je suis au bout de même pas une semaine d'arrêt de ces 2 médicaments-là, je me pose toujours autant de questions ! il m'étonnerait fort que j'arrive à "survivre" à cet arrêt, d'autant que, par ailleurs, je souffre de problèmes digestifs - non diagnostiqués pour le moment mais j'espère que cela ne saurait tarder - depuis environ un mois et demi ... problèmes digestifs qui me pourrissent mes journées et m'angoissent ...
c'est "drôle" : tu écris ce que dit exactement mon psy : peu importe de quoi on souffre ...
comprendre ce qui nous arrive et pour quelle raison on souffre ? je vais te dire : je suis suivie par les psychiatres depuis 1984, j'avais 28 ans, nous sommes en 2013, j'ai 57 ans ... je suis fatiguée de ne pas comprendre, certains jours de ne pas avoir une "étiquette", on me disait bipolaire, je le disais et maintenant je ne sais pas, je ne sais plus ...
marre de se battre, chez moi, la maladie (laquelle ?) a toujours été plus forte que ma volonté ... j'attends plus grand chose !
merci de ton "post" - prends très soin de toi ! - bon dimanche ! MUSE16
je ne sais pas dire si je remets oui ou non mon diagnostic en cause puisqu'on m'a arrêté le régulateur d'humeur et le neuroleptique. je faisais confiance. çà fait la 2ème fois avec ce psy-là mais quand je vois comment je suis au bout de même pas une semaine d'arrêt de ces 2 médicaments-là, je me pose toujours autant de questions ! il m'étonnerait fort que j'arrive à "survivre" à cet arrêt, d'autant que, par ailleurs, je souffre de problèmes digestifs - non diagnostiqués pour le moment mais j'espère que cela ne saurait tarder - depuis environ un mois et demi ... problèmes digestifs qui me pourrissent mes journées et m'angoissent ...
c'est "drôle" : tu écris ce que dit exactement mon psy : peu importe de quoi on souffre ...
comprendre ce qui nous arrive et pour quelle raison on souffre ? je vais te dire : je suis suivie par les psychiatres depuis 1984, j'avais 28 ans, nous sommes en 2013, j'ai 57 ans ... je suis fatiguée de ne pas comprendre, certains jours de ne pas avoir une "étiquette", on me disait bipolaire, je le disais et maintenant je ne sais pas, je ne sais plus ...
marre de se battre, chez moi, la maladie (laquelle ?) a toujours été plus forte que ma volonté ... j'attends plus grand chose !
merci de ton "post" - prends très soin de toi ! - bon dimanche ! MUSE16
MUSE16- Nombre de messages : 89
Type troubles : inconnus
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Date d'inscription : 25/06/2013
Re: Arrêt de médicaments
Bonjour Muse,
Je suis obligé de répondre, car il y a une chose inacceptable dans ce que tu écris : le fait qu'on ne réponde pas à ta question au sujet de ton "étiquette".
Pour ma part, il aura fallu en gros 49 ans pour que je la découvre par moi-même, et ce, malgré autant d'années de suivi psy.
Cela me révolte tout simplement.
Le patient a le droit de connaître son diagnostic.
Cela lui permet de mieux comprendre sa maladie, et donc de mieux se soigner.
Il n'est pas admissible que ces "pontes" gonflés d'orgueil et de suffisance maintiennent dans l'ignorance leurs patients. Mais ceci leur permet de conserver leur pouvoir. "Moi je sais, pas vous." (Alors, "fermez-la".)
Heureusement, j'ai une psychiatre qui ne se comporte pas de cette manière, sinon je l'aurais quittée depuis longtemps.
Voilà, je te souhaite beaucoup de courage, ne désespère pas surtout.
Je suis obligé de répondre, car il y a une chose inacceptable dans ce que tu écris : le fait qu'on ne réponde pas à ta question au sujet de ton "étiquette".
Pour ma part, il aura fallu en gros 49 ans pour que je la découvre par moi-même, et ce, malgré autant d'années de suivi psy.
Cela me révolte tout simplement.
Le patient a le droit de connaître son diagnostic.
Cela lui permet de mieux comprendre sa maladie, et donc de mieux se soigner.
Il n'est pas admissible que ces "pontes" gonflés d'orgueil et de suffisance maintiennent dans l'ignorance leurs patients. Mais ceci leur permet de conserver leur pouvoir. "Moi je sais, pas vous." (Alors, "fermez-la".)
Heureusement, j'ai une psychiatre qui ne se comporte pas de cette manière, sinon je l'aurais quittée depuis longtemps.
Voilà, je te souhaite beaucoup de courage, ne désespère pas surtout.
Invité- Invité
réponse à trouble
bonjour trouble, je te réponds avec retard, excuse-moi. contente de te retrouver ! eh oui, je suppose que tu as deviné qui je suis ? je fais un comeback, après seulement 11 jours de désincription, me voici de retour sous un nouveau pseudo.
il me semblait déjà avoir lu que, te concernant, tu as, effectivement, découvert, par toi-même, de quoi tu souffres et ce pourquoi tu es traité ...
quand tu écris 49 ans pour le découvrir et autant d'années de suivi psy, c'est tout simplement abérrant, effrayant !!!
moi, je quitte aussi les psy, rapidement, maintenant, quand ils ou elles ne me conviennent plus. ces docteurs, avec leur toute puissance, ne me font pas peur ! je me moque bien ce qu'ils ou elles peuvent penser de mon attitude.
un seul psy a affirmé "mordicus" que je serais bipolaire (je dis bien : serais !).
celui qui me suit, actuellement, ne répond pas mais j'en ai assez de son comportement comme j'en ai assez des décisions d'arrêt de traitement qu'il prend sans m'avertir des répercussions ! là suis sans régulateur d'humeur et neuroleptique depuis mardi dernier et je ne vais pas franchement bien, c'est le moins que l'on puisse dire !
moi, j'estime que ce n'est pas à moi de découvrir, par moi-même, ce que j'ai au juste !!! je dis toujours que de nos jours on dit bien à quelqu'un qu'il a le cancer ; on ne lui laisse pas le choix ! "voilà vous avez un cancer tel ou tel ; à vous d'encaisser la nouvelle" ...
mes "problèmes" psy ont commencé fin 1982, avec l'annonce d'un cancer chez ma maman. j'étais enceinte de ma fille de 4 mois. toute ma vie a basculé à ce moment-là. j'ai commencé par être suivie par une psychologue, jusqu'à quelques temps après le décès de ma maman, en décembre 1983. puis, de moi-même, j'ai vu un psy. depuis les psy se sont enchaînés dans ma vie. tu calcules, trouble : depuis 1984 et nous sommes en 2013 !!! soit-disant que je serais bipolaire depuis juin 1999. à ce moment-là, l'H.P. m'a mise sous lithium mais on ne m'a jamais dit que je devenais bipolaire. je suis fatiguée de ces non-dits, de ces divergences dans les diagnostics, de ces changements incessants de traitements, de ces ajustements de traitements ; lassée de mon combat quotidien, des répercussions directes de mes changements d'humeur auprès de mon mari et - plus indirectement puisqu'elle est mariée - de ma fille.
mais toi et moi avons sensiblement le même âge et tu as attendu 49 ans pour découvrir ce pourquoi tu es traité ... je n'en suis pas arrivée aux 49 ans que, moi, il y a longtemps que j'ai baissé les bras et la stabilisation je n'y crois pas et je n'y croirai jamais !!!
l'attitude des médecins face à mes symptômes a fait de moi une personne que je n'étais pas du tout avant : agressive surtout, déterminée, tranchante, etc ...
que dire de plus ? je suis lassée de répéter toujours les mêmes questions et de ne rien trouver comme réponse, c'est tout ! lassée aussi de changer, sans cesse, de psy parce-que telle ou telle chose ne me "plaît" pas dans sa prise en charge !
bref, je baisse les bras ! je me terre ...
merci encore trouble pour ton témoignage. tu as la chance, quelque part, d'avoir une bonne psy. passe une bonne journée et prends très soin de toi ! MUSE16
il me semblait déjà avoir lu que, te concernant, tu as, effectivement, découvert, par toi-même, de quoi tu souffres et ce pourquoi tu es traité ...
quand tu écris 49 ans pour le découvrir et autant d'années de suivi psy, c'est tout simplement abérrant, effrayant !!!
moi, je quitte aussi les psy, rapidement, maintenant, quand ils ou elles ne me conviennent plus. ces docteurs, avec leur toute puissance, ne me font pas peur ! je me moque bien ce qu'ils ou elles peuvent penser de mon attitude.
un seul psy a affirmé "mordicus" que je serais bipolaire (je dis bien : serais !).
celui qui me suit, actuellement, ne répond pas mais j'en ai assez de son comportement comme j'en ai assez des décisions d'arrêt de traitement qu'il prend sans m'avertir des répercussions ! là suis sans régulateur d'humeur et neuroleptique depuis mardi dernier et je ne vais pas franchement bien, c'est le moins que l'on puisse dire !
moi, j'estime que ce n'est pas à moi de découvrir, par moi-même, ce que j'ai au juste !!! je dis toujours que de nos jours on dit bien à quelqu'un qu'il a le cancer ; on ne lui laisse pas le choix ! "voilà vous avez un cancer tel ou tel ; à vous d'encaisser la nouvelle" ...
mes "problèmes" psy ont commencé fin 1982, avec l'annonce d'un cancer chez ma maman. j'étais enceinte de ma fille de 4 mois. toute ma vie a basculé à ce moment-là. j'ai commencé par être suivie par une psychologue, jusqu'à quelques temps après le décès de ma maman, en décembre 1983. puis, de moi-même, j'ai vu un psy. depuis les psy se sont enchaînés dans ma vie. tu calcules, trouble : depuis 1984 et nous sommes en 2013 !!! soit-disant que je serais bipolaire depuis juin 1999. à ce moment-là, l'H.P. m'a mise sous lithium mais on ne m'a jamais dit que je devenais bipolaire. je suis fatiguée de ces non-dits, de ces divergences dans les diagnostics, de ces changements incessants de traitements, de ces ajustements de traitements ; lassée de mon combat quotidien, des répercussions directes de mes changements d'humeur auprès de mon mari et - plus indirectement puisqu'elle est mariée - de ma fille.
mais toi et moi avons sensiblement le même âge et tu as attendu 49 ans pour découvrir ce pourquoi tu es traité ... je n'en suis pas arrivée aux 49 ans que, moi, il y a longtemps que j'ai baissé les bras et la stabilisation je n'y crois pas et je n'y croirai jamais !!!
l'attitude des médecins face à mes symptômes a fait de moi une personne que je n'étais pas du tout avant : agressive surtout, déterminée, tranchante, etc ...
que dire de plus ? je suis lassée de répéter toujours les mêmes questions et de ne rien trouver comme réponse, c'est tout ! lassée aussi de changer, sans cesse, de psy parce-que telle ou telle chose ne me "plaît" pas dans sa prise en charge !
bref, je baisse les bras ! je me terre ...
merci encore trouble pour ton témoignage. tu as la chance, quelque part, d'avoir une bonne psy. passe une bonne journée et prends très soin de toi ! MUSE16
MUSE16- Nombre de messages : 89
Type troubles : inconnus
Emploi / Statut : sans emploi
Date d'inscription : 25/06/2013
Re: Arrêt de médicaments
Bonjour Muse,
Pour ma psy tu sais, ce n'est pas une "génie" des troubles bipolaires (je me demande si ce n'est pas grâce à mon cas qu'elle en sait plus aujourd'hui), mais elle est de bonne volonté et à mon écoute. Elle tient compte de ce que je lui dis.
De moi-même, j'avais pris rendez-vous au centre-expert de Nancy il y a deux ans.
Histoire de mettre de mon côté tous les moyens possibles pour avancer vers la stabilité.
Donc, il aura fallu presque deux ans de bilans au centre pour qu'on arrive enfin à mettre en place un traitement qui me convient (lamictal à 50 mg/jour). Sachant aussi que je ne voulais ni lithium ni dépakote.
(Je redis qu'il s'agit ici de mon expérience personnelle, chaque cas étant différent.)
Je ne comprends pas qu'on t'ait supprimé régulateur et neuro, c'est complètement irresponsable.
C'est comme ne pas envoyer une bouée à une personne en train de se noyer.
En ce qui concerne ton agressivité, je pense qu'elle est due à une grande colère et à de la révolte.
Je suppose que j'aurais réagi de la même manière à ta place.
C'est quand même incroyable qu'à notre époque tu ne sois pas mieux soignée.
Mais vois-tu, il aura fallu que j'en "écume" des psys, c'est un véritable "parcours du combattant".
Je l'ai déjà écrit mais je le redis : je suis une "carne". Je me suis accroché sans baisser les bras malgré les nombreuses dépressions.
Pour déclarer la bipolarité, il faut plusieurs facteurs, dont un '"élément déclencheur".
Dans ton cas, l'annonce du cancer de ta maman, puis son décès sont certainement les causes.
Ce qui signifie que tu aurais développé la maladie en 1982-1983, suite à ce traumatisme psycho-affectif, et non en 1999.
(Moi, c'était la mort de mon père d'un accident de voiture quand j'avais sept ans et demi.)
Voilà ce que je peux te dire pour aujourd'hui.
Moi aussi je te souhaite une aussi bonne journée que possible.
PS : ne me remercie plus, je ne te réponds pas dans cette attente, même si ça fait quand même plaisir.
Pour ma psy tu sais, ce n'est pas une "génie" des troubles bipolaires (je me demande si ce n'est pas grâce à mon cas qu'elle en sait plus aujourd'hui), mais elle est de bonne volonté et à mon écoute. Elle tient compte de ce que je lui dis.
De moi-même, j'avais pris rendez-vous au centre-expert de Nancy il y a deux ans.
Histoire de mettre de mon côté tous les moyens possibles pour avancer vers la stabilité.
Donc, il aura fallu presque deux ans de bilans au centre pour qu'on arrive enfin à mettre en place un traitement qui me convient (lamictal à 50 mg/jour). Sachant aussi que je ne voulais ni lithium ni dépakote.
(Je redis qu'il s'agit ici de mon expérience personnelle, chaque cas étant différent.)
Je ne comprends pas qu'on t'ait supprimé régulateur et neuro, c'est complètement irresponsable.
C'est comme ne pas envoyer une bouée à une personne en train de se noyer.
En ce qui concerne ton agressivité, je pense qu'elle est due à une grande colère et à de la révolte.
Je suppose que j'aurais réagi de la même manière à ta place.
C'est quand même incroyable qu'à notre époque tu ne sois pas mieux soignée.
Mais vois-tu, il aura fallu que j'en "écume" des psys, c'est un véritable "parcours du combattant".
Je l'ai déjà écrit mais je le redis : je suis une "carne". Je me suis accroché sans baisser les bras malgré les nombreuses dépressions.
Pour déclarer la bipolarité, il faut plusieurs facteurs, dont un '"élément déclencheur".
Dans ton cas, l'annonce du cancer de ta maman, puis son décès sont certainement les causes.
Ce qui signifie que tu aurais développé la maladie en 1982-1983, suite à ce traumatisme psycho-affectif, et non en 1999.
(Moi, c'était la mort de mon père d'un accident de voiture quand j'avais sept ans et demi.)
Voilà ce que je peux te dire pour aujourd'hui.
Moi aussi je te souhaite une aussi bonne journée que possible.
PS : ne me remercie plus, je ne te réponds pas dans cette attente, même si ça fait quand même plaisir.
Invité- Invité
Re: Arrêt de médicaments
muse a écrit:avec l'annonce d'un cancer chez ma maman. j'étais enceinte de ma fille de 4 mois. toute ma vie a basculé à ce moment-là. j'ai commencé par être suivie par une psychologue, jusqu'à quelques temps après le décès de ma maman, en décembre 1983.
Bonjour Muse ,
c'est la première fois que tu nous dis la raison de ton choc émotionnelle qui a pu peut être fait penser à ce psychiatre que tu es bipolaire
Je te félicite pour ce changement de pensée qui peut t'aider à avancer et comprendre ton mal être
c'est une histoire très dur et tu as vécu et tu es passé surement par des moments pénible , pour essayé de surmonter cela durant ta grossesse
En plus des hormones de grossesses c'est beaucoup de trop et c'est normal et c'est ton droit de te poser toute ces questions
Ta recherche permanente d'une rencontre ,c'est juste une forme d' échappatoire à ta souffrance
Ton attachement à d'autres explique clairement juste ton besoin d'amour et d'affection et j'aurais réagis exactement de la même façon
Et je tiens aussi à témoigner pour l'avoir déjà vécu aussi suite à mon première déception amoureuse
Le sex , oui c'est une chose naturel et on peut très bien ce soigner par cette méthode thérapeutique et tout ceux qui ont eu le culot de te critiquer parapport à cela je leur dis que il y a pas plus naturel que de vouloir ce faire plaisir et si tu estime que ton mari n'est pas à la hauteur de tes attentes
c'est ta vie et pas celle des autres et personne ne peut décider de ce qui peut te faire plaisir ou non
et merci à toi de nous avoir confié ta vie privée ,car tu n'étais pas dans l'obligation de le faire et pour moi le but de ce forum et de l'entraide sans aucun jugement
Pour l’Arrêt des medocs , en principe un psychiatre diminue la dose pour arriver à l'arrêt total du thymo pour éviter de subir es effets secondaires que tu ressens
Parle nous de ta vie de couple si tu as envie évidement
Bisous fleur bonne journée
Invité- Invité
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