Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
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Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
Bonjour,
Note: Les caractères gras et soulignés le sont par moi car je trouve que ces points sont de prime imortance sur un espace de parole et d'échanges tel qu'Angie.
Note : dans l'état actuel de la médecine et de la science, on ne guérit pas des troubles bipolaires ; au mieux, on se rétablit. L'article suivant ne parle pas spécifiquement des troubles psychiques.
Cher lecteur,
Mon ami le Docteur T., qui est un des médecins que j'admire le plus, ne commence jamais de consultation sans poser à son patient la question terrible : « Pourquoi souhaitez-vous guérir ? » Autrement dit : « Que comptez-vous faire de votre vie, une fois que vous serez guéri ? Êtes-vous sûr que cela en vaut la peine ? »
Le Docteur T. veut que son patient ait un but : « Je dois guérir parce que je dois absolument réaliser tel projet qui est si important pour moi ou pour une personne que j'aime », par exemple.
De cette façon, dit-il, les chances de guérison du malade augmentent fortement, surtout s'il est affligé d'une maladie chronique au long cours. Sa guérison prend un sens, et bien souvent, sa maladie aussi. Sa vie est alors transformée, et ce n'est pas seulement son corps qui peut guérir, mais son esprit également, « son âme » diront les croyants.
Une fois que le malade a répondu à cette question, la guérison peut être rapide. Dans certains cas extrêmes, elle peut même être immédiate, et c'est une nouvelle personne qui semble revenir à la vie.
Mais il n'est pas nécessaire d'attendre de tomber gravement malade pour connaître cette transformation. Au contraire.
Un modèle à suivre
Lorsque j'avais 21 ans, mon premier patron, appelons-le MF, un homme qui avait connu une réussite spectaculaire et qui était adulé par son entourage, m'a expliqué que, pour avoir une vie réussie, je devais commencer par développer ma propre philosophie personnelle, qui me guiderait dans mes décisions de tous les jours. Cette philosophie me permettrait de suivre l'objectif que je me serai choisi, plutôt que d'être le jouet des événements.
« Ta première étape, m'avait-il dit, doit être de te créer un ensemble de règles de vie qui t'aideront à réduire stress et gaspillage d'énergie émotionnelle, tout en augmentant ton efficacité et ta disponibilité pour ta (future) famille et tes amis. »
C'est ce que j'ai fait et je dois dire rétrospectivement que cette décision a bouleversé, dans le bon sens, mon existence. Alors aujourd'hui, j'ai décidé de partager avec vous ces règles de vie que je me suis fixées. C'est un exercice très personnel et au fond très intime, mais c'est la première étape indispensable pour « changer de vie ».
Comprenez-moi bien : le but de ce message n'est pas de discuter si ma philosophie personnelle est vraie ou fausse, bonne ou mauvaise. Et encore moins de me donner en exemple.
Si je vous expose les règles de vie que je me suis choisies, c'est uniquement à titre d'exemple, pour nourrir votre réflexion et, peut-être, vous motiver à faire de même. Mon but est simplement de vous encourager à adopter vous aussi des règles de vie que vous vous choisirez, qui vous permettront de vivre de façon plus positive.
Peut-être avez-vous déjà ces règles clairement dans votre tête. Dans ce cas, je vous encourage à les écrire. Et vous pouvez adopter des règles pour chaque aspect de votre vie, de la santé à vos passions, en passant par votre couple ou votre famille.
Mes règles, vous allez le voir, sont très pratiques, parfois même terre-à-terre. Mais cela correspond à mon caractère. Chacun doit trouver sa voie.
Mes 12 règles de vie
Votre cas personnel
Dans le fond, je comprendrais que certains aient, dans un premier temps, une réaction de rejet par rapport à ce texte. Mais à bien y regarder, il n'y a pas de jugement de valeur dans ce que je propose. Le but de cette liste n'est pas de poser un jugement de valeur sur les règles que je me suis choisies, ni de faire une leçon de morale. Le but de cette liste, l'idée de cette lettre, est simplement de stimuler votre réflexion.
Et c'est le second type de réaction que vous pouvez avoir à cette lettre. C'est la réaction des personnes qui m'intéressent – les personnes qui comprennent que ce qui les retient n'est pas le manque de connaissance ou de moyens, mais le manque de clarté dans ce qu'elles cherchent à vivre comme existence, dans les objectifs de vie qu'elles se sont posés (ou qu'elles ont oubliés de se poser).
Franchement, je sais que chaque semaine, vous prenez des décisions qui vous laissent des remords et peut-être même un sentiment de culpabilité. D'un autre côté, vous prenez aussi des décisions dont vous savez qu'elles sont bonnes – même si elles sont difficiles à prendre.
Votre vie ne serait-elle pas plus belle si vous preniez plus de bonnes décisions en faisant moins d'efforts, et en allant droit au but ? Eh bien, c'est précisément à cela que servent vos règles de vie, votre philosophie personnelle.
Avec cette lettre, je vous ai donné un modèle afin que vous puissiez créer votre propre philosophie personnelle qui vous permettra de prendre les bonnes décisions, et moins commettre d'actions qui vous causeront des regrets. La vie sera plus simple une fois que vous commencerez à adhérer à vos propres règles – au lieu d'agir en fonction de ce que les autres attendent de vous, ou plutôt de ce que vous croyez qu'elles attendent de vous. Si vous voulez partager avec moi des éléments de vos règles de vie personnelle ou de votre philosophie, vous pouvez le faire en m'écrivant à contact@santenatureinnovation.fr.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
Réflexion du jour : « La clé du succès est d'ajouter de la valeur à la vie des autres »
**********************
Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment accrédités auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Santé et Nutrition n’est pas responsable de l’exactitude, de la fiabilité, de l’efficacité, ni de l’utilisation correcte des informations que vous recevez par le biais de nos produits, ou pour des problèmes de santé qui peuvent résulter de programmes de formation, de produits ou événements dont vous pouvez avoir connaissance à travers ce site. L’éditeur n’est pas responsable des erreurs ou omissions. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
Santé & Nutrition est un service d'information gratuit des Nouvelles Publications de la Santé Naturelle, SARL au capital de 2000 euros, 6 rue Watteau, 92400 Courbevoie. Pour toute question, merci d'adresser un message à contact@santenatureinnovation.fr
Note: Les caractères gras et soulignés le sont par moi car je trouve que ces points sont de prime imortance sur un espace de parole et d'échanges tel qu'Angie.
Note : dans l'état actuel de la médecine et de la science, on ne guérit pas des troubles bipolaires ; au mieux, on se rétablit. L'article suivant ne parle pas spécifiquement des troubles psychiques.
5 juillet 2012
santenatureinnovation.fr
Pourquoi souhaitez-vous guérir ?santenatureinnovation.fr
Cher lecteur,
Mon ami le Docteur T., qui est un des médecins que j'admire le plus, ne commence jamais de consultation sans poser à son patient la question terrible : « Pourquoi souhaitez-vous guérir ? » Autrement dit : « Que comptez-vous faire de votre vie, une fois que vous serez guéri ? Êtes-vous sûr que cela en vaut la peine ? »
Le Docteur T. veut que son patient ait un but : « Je dois guérir parce que je dois absolument réaliser tel projet qui est si important pour moi ou pour une personne que j'aime », par exemple.
De cette façon, dit-il, les chances de guérison du malade augmentent fortement, surtout s'il est affligé d'une maladie chronique au long cours. Sa guérison prend un sens, et bien souvent, sa maladie aussi. Sa vie est alors transformée, et ce n'est pas seulement son corps qui peut guérir, mais son esprit également, « son âme » diront les croyants.
Une fois que le malade a répondu à cette question, la guérison peut être rapide. Dans certains cas extrêmes, elle peut même être immédiate, et c'est une nouvelle personne qui semble revenir à la vie.
Mais il n'est pas nécessaire d'attendre de tomber gravement malade pour connaître cette transformation. Au contraire.
Un modèle à suivre
Lorsque j'avais 21 ans, mon premier patron, appelons-le MF, un homme qui avait connu une réussite spectaculaire et qui était adulé par son entourage, m'a expliqué que, pour avoir une vie réussie, je devais commencer par développer ma propre philosophie personnelle, qui me guiderait dans mes décisions de tous les jours. Cette philosophie me permettrait de suivre l'objectif que je me serai choisi, plutôt que d'être le jouet des événements.
« Ta première étape, m'avait-il dit, doit être de te créer un ensemble de règles de vie qui t'aideront à réduire stress et gaspillage d'énergie émotionnelle, tout en augmentant ton efficacité et ta disponibilité pour ta (future) famille et tes amis. »
C'est ce que j'ai fait et je dois dire rétrospectivement que cette décision a bouleversé, dans le bon sens, mon existence. Alors aujourd'hui, j'ai décidé de partager avec vous ces règles de vie que je me suis fixées. C'est un exercice très personnel et au fond très intime, mais c'est la première étape indispensable pour « changer de vie ».
Comprenez-moi bien : le but de ce message n'est pas de discuter si ma philosophie personnelle est vraie ou fausse, bonne ou mauvaise. Et encore moins de me donner en exemple.
Si je vous expose les règles de vie que je me suis choisies, c'est uniquement à titre d'exemple, pour nourrir votre réflexion et, peut-être, vous motiver à faire de même. Mon but est simplement de vous encourager à adopter vous aussi des règles de vie que vous vous choisirez, qui vous permettront de vivre de façon plus positive.
Peut-être avez-vous déjà ces règles clairement dans votre tête. Dans ce cas, je vous encourage à les écrire. Et vous pouvez adopter des règles pour chaque aspect de votre vie, de la santé à vos passions, en passant par votre couple ou votre famille.
Mes règles, vous allez le voir, sont très pratiques, parfois même terre-à-terre. Mais cela correspond à mon caractère. Chacun doit trouver sa voie.
Mes 12 règles de vie
- Ordonner ma vie et me discipliner. La discipline consiste en général à faire le contraire de ce qu'on a envie de faire. Les moyens simples de se discipliner sont 1) se fixer des délais 2) découvrir ce qu'on fait de mieux, ce qui est le plus important à nos yeux, et se concentrer dessus 3) remplacer ses mauvaises habitudes par de bonnes habitudes, une à une, en commençant par les plus faciles à changer.
- Respecter le temps qui m'est donné. Le temps est la plus grande richesse. C'est la seule limite à ce que l'on peut accomplir. Et le temps perdu ne se rattrape jamais. Perdre son temps, c'est perdre sa vie. Je m'efforce donc de ne jamais m'engager dans des activités dans le seul but de « passer le temps ». Le choix le plus important dans la vie est ce que nous choisissons de faire de notre temps.
- Réfléchir attentivement avant toute promesse ou engagement, quels qu'ils soient. Les promesses sont des contrats qui doivent être honorés. Cela inclut les résolutions que je prends avec moi-même.
Un peu de prudence évite de gros regrets. Toujours espérer le meilleur et se préparer au pire. Les vrais regrets viennent seulement de n'avoir pas fait de son mieux. Faire plus que ce qu'on attend de moi. La vie est facile quand on s'attaque aux difficultés, et difficile quand on cherche la facilité. - Je me couche et me réveille à la même heure tous les jours de la semaine (22h-6h). Je ne m'écarte pas de ces horaires à moins d'une raison personnelle ou professionnelle importante - et je n'utilise pas le mot « important » à la légère. Je ne consomme que des aliments naturels riches en nutriments, j'évite la caféine après 13h, et j'évite l'alcool dans les trois heures précédant l'heure du coucher.
- Chaque matin, j'écris au moins 90 minutes avant toute chose. Je ne vérifie pas mes emails avant 9 heures du matin.
- Je ne prends pas le téléphone à moins d'avoir un rendez-vous ou une conférence téléphonique programmée.
- Je crée une liste de choses à faire après chaque journée de travail, et je commence par ces tâches le lendemain matin. Mes lectures importantes (et moins importantes...) ont lieu le soir, à la fin de ma journée de travail. Je tiens à jour un journal, où je consigne les objectifs de ma vie, et les progrès que je fais.
- J'essaye d'éviter toute confrontation ou conflit, en personne ou sur Internet. C'est une perte de temps et d'énergie. Si je cause du tort ou si je commets une erreur, je présente mes excuses et je résous le problème le plus vite possible. Cependant, si quelqu'un n'aime pas une chose que je fais, ou désapprouve ce que j'ai fait alors que je suis moi-même convaincu de son bien-fondé, c'est son droit, mais je ne vais pas commencer à me disputer avec elle. Dès que je me trouve dans une situation de conflit potentiel, je respire profondément, je me détends, j'expire et je me re-concentre sur mon travail et mes objectifs, sans me laisser emmener sur un autre terrain, où je n'ai rien à gagner et tout à perdre.
- J'essaye de toujours avoir à l'esprit les deux mots d'ordre suivants :
a) « Rien n'est important » : par cela, je veux dire que la vie est remplie de petites mesquineries qui peuvent nous stopper complètement si nous décidons d'y accorder de l'intérêt. La vie est trop courte pour que nous puissions nous permettre de travailler à autre chose qu'à nos objectifs majeurs : chacun d'entre nous a une mission à accomplir pour soi-même et pour les autres. Il n'y a pas de temps à perdre avec des problèmes secondaires.
b) « Ça ne durera pas » :cette formule m'aide dans les bons comme dans les mauvais moments. Dans les mauvais moments, comme les jours difficiles, d'intense effort ou d'inconfort, je sais que « ça ne durera pas ». La petite souffrance que j'endure maintenant sera vite oubliée, plus tard, lorsque je profiterai des fruits de mon travail, ou que je penserai à ce que j'ai accompli. Et dans les bons moments, j'essaye de me souvenir que, même si tout va bien pour l'instant, ce n'est pas une raison pour mettre de côté mes objectifs. Quels que soient les bienfaits du moment, je ne dois jamais me laisser aller à la paresse, parce qu'il y a trop de choses à améliorer dans notre monde, et qui attendent quelqu'un pour s'en occuper. - Je ne serai pas la personne que je ne veux pas être. Je ne serai ni mesquin, ni jaloux, ni envieux, ni ne céderai à aucun autre sentiment facile. Je ne participerai pas aux commérages, et je ne médirai pas, quel que soient les personnes avec qui je me trouve, ou mon environnement. Je ne serai pas négatif lorsqu'il est plus facile d'être positif.
- Je ne nuirai pas aux autres lorsqu'il est possible de les aider. Je m'efforcerai de connaître les tentations, les situations et les environnements de la vie que je dois éviter, et je ferai mon possible pour les éviter effectivement, même si cela signifie pour moi de me tenir à distance de mes relations qui vivent dans ces environnements. C'est ma vie, et c'est plus important que ce que les autres pensent de moi.
- J'écrirai avec honnêteté et délicatesse. Cela fait longtemps que j'ai arrêté de me soucier de ce que les autres pensent de moi. Ce qui importe, plus que l'opinion des autres, c'est le nombre de personnes que je peux aider en partageant les fruits de mes recherches, des avis et des encouragements dans mes lettres. Les plus beaux poèmes d'amour sont écrits par les poètes les plus amoureux.
Alors allons-y, sans hésiter. Je ne vais pas aider autant de personnes que je l'aimerais si je gardais pour moi « les vraies infos ». Et je ne m'arrêterai pas tant que je n'aurai pas aidé un million d'hommes et de femmes à reprendre le contrôle de leur santé, de leur corps et de leur esprit, pour transformer leur vie, mieux préparer leur avenir et mieux vivre l'instant présent.
Votre cas personnel
Dans le fond, je comprendrais que certains aient, dans un premier temps, une réaction de rejet par rapport à ce texte. Mais à bien y regarder, il n'y a pas de jugement de valeur dans ce que je propose. Le but de cette liste n'est pas de poser un jugement de valeur sur les règles que je me suis choisies, ni de faire une leçon de morale. Le but de cette liste, l'idée de cette lettre, est simplement de stimuler votre réflexion.
Et c'est le second type de réaction que vous pouvez avoir à cette lettre. C'est la réaction des personnes qui m'intéressent – les personnes qui comprennent que ce qui les retient n'est pas le manque de connaissance ou de moyens, mais le manque de clarté dans ce qu'elles cherchent à vivre comme existence, dans les objectifs de vie qu'elles se sont posés (ou qu'elles ont oubliés de se poser).
Franchement, je sais que chaque semaine, vous prenez des décisions qui vous laissent des remords et peut-être même un sentiment de culpabilité. D'un autre côté, vous prenez aussi des décisions dont vous savez qu'elles sont bonnes – même si elles sont difficiles à prendre.
Votre vie ne serait-elle pas plus belle si vous preniez plus de bonnes décisions en faisant moins d'efforts, et en allant droit au but ? Eh bien, c'est précisément à cela que servent vos règles de vie, votre philosophie personnelle.
Avec cette lettre, je vous ai donné un modèle afin que vous puissiez créer votre propre philosophie personnelle qui vous permettra de prendre les bonnes décisions, et moins commettre d'actions qui vous causeront des regrets. La vie sera plus simple une fois que vous commencerez à adhérer à vos propres règles – au lieu d'agir en fonction de ce que les autres attendent de vous, ou plutôt de ce que vous croyez qu'elles attendent de vous. Si vous voulez partager avec moi des éléments de vos règles de vie personnelle ou de votre philosophie, vous pouvez le faire en m'écrivant à contact@santenatureinnovation.fr.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
Réflexion du jour : « La clé du succès est d'ajouter de la valeur à la vie des autres »
**********************
Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment accrédités auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Santé et Nutrition n’est pas responsable de l’exactitude, de la fiabilité, de l’efficacité, ni de l’utilisation correcte des informations que vous recevez par le biais de nos produits, ou pour des problèmes de santé qui peuvent résulter de programmes de formation, de produits ou événements dont vous pouvez avoir connaissance à travers ce site. L’éditeur n’est pas responsable des erreurs ou omissions. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
Santé & Nutrition est un service d'information gratuit des Nouvelles Publications de la Santé Naturelle, SARL au capital de 2000 euros, 6 rue Watteau, 92400 Courbevoie. Pour toute question, merci d'adresser un message à contact@santenatureinnovation.fr
Invité- Invité
Re: Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
bonjour Kairos,
je n'arrive pas à tout lire car je fatigue mais tu sais que si personne ne répond, le fil n’apparaît pas et je trouve que ce serait dommage.
je n'arrive pas à tout lire car je fatigue mais tu sais que si personne ne répond, le fil n’apparaît pas et je trouve que ce serait dommage.
Marie-Claire- Nombre de messages : 1833
Age : 70
Type troubles : BP type 1
Emploi / Statut : en invalidité SS 1ère catégorie bientôt à la retraite
Date d'inscription : 02/05/2010
Re: Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
Kikoo Kairos,
J'ai tout lu mais demain je vais chercher du papier, car pour répondre correctement il vaut mieux étudier ma réponse en ayant cet article sous les yeux pour répondre à :
- pourquoi je veux me stabiliser
- le modèle à suivre
- les 12 règles de vie mais au n° 9 je rajouterais un "c)" Ici et maintenant (méditation pleine conscience)
A bientôt, bisou
J'ai tout lu mais demain je vais chercher du papier, car pour répondre correctement il vaut mieux étudier ma réponse en ayant cet article sous les yeux pour répondre à :
- pourquoi je veux me stabiliser
- le modèle à suivre
- les 12 règles de vie mais au n° 9 je rajouterais un "c)" Ici et maintenant (méditation pleine conscience)
A bientôt, bisou
Invité- Invité
Re: Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
coucou,
Ma psy me disait la meme chose ainsi que son mari psy.Au départ, je ne voulais plus lire la suite car déjà le début me dérangeait.
Je vais réfléchir à tout ça.Merci kairos .Je vais faire un copier-coller pour pas oublier.
J'ai lu tes 12 règles .elles me parlent mais ouff!!
bisous
amande
Ma psy me disait la meme chose ainsi que son mari psy.Au départ, je ne voulais plus lire la suite car déjà le début me dérangeait.
Je vais réfléchir à tout ça.Merci kairos .Je vais faire un copier-coller pour pas oublier.
J'ai lu tes 12 règles .elles me parlent mais ouff!!
bisous
amande
Invité- Invité
Re: Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
Bonjour,
De suite, je précise, ce ne sont pas mes règles de celles de Jean-Marc Dupuis, créateur du site santenatureinnovation.fr, duquel je reçois les e-lettres car je m'y suis inscrite (gratuit).
Dans ma vie, je me suis toujours révélée incapable de tenir une routine sur la durée. Je suis fortement indisciplinée, à mon grand désespoir car j'adorerais être comme ce monsieur.
Mais comme dans la trentaine, je suis décidée à être le plus heureuse possible, j'ai fait beaucoup de recherche sur l'humain (arts et sciences) et je suis très versée dans le spirituel. Donc, je 'travaille' sur moi.
Si je reprends un peu les règles qu'il s'est fixées,
1-Ordonner ma vie et me discipliner Il n'y a qu'à voir le b*rdel dans ma maison ; j'ai laissé les choses s'entasser depuis mon retour d'expat il y a ... 12 ans !!! Les espaces de vie sont dégagés mais je commence seulement à m'atteler à éclaircir/ranger les tas et les cartons.
Comme je ne bosse pas et que je vis seule, j'apprécie ma liberté de faire les choses à mon rythme... mais bon, me faudrait trouver le turbo car je crois avoir atteint mes limites de procrastination/temporisation.
2-Respecter le temps qui m'est donné. En edm, je ne respecte rien du tout, survivre au ras des pâquerettes ou plutôt en dessous, me place en "stand-by".
Par contre, je tiens toujours à me présenter à l'heure si j'ai un rendez-vous (social ou médical).
Et pour les papiers, l'administratif, etc., j'ai mis ma fierté de côté et j'ai accepté d'avoir besoin d'aide. L'AS et la conseillère familiale viennent à ma rescousse et font que je respecte les délais impartis.
3-Réfléchir attentivement avant toute promesse ou engagement, quels qu'ils soient. Depuis que je suis handicapée par la bipo, ce point est de prime importance pour moi. Je sais que je ne suis plus fiable, même pour les proches. En edm, je deviens mutique et recluse.
4-Je me couche et me réveille à la même heure tous les jours de la semaine (22h-6h). Je suis totalement flexible quand à mes horaires de sommeil mais je m'astreins à dormir au moins 6 heures par jour, quitte à m'allonger 3 fois... ; moins, je sais que je mets ma santé en péril.
En edm, je peux dormir jusqu'à 18-20 heures par jour, je suis fatiguée "existentiellement" et le sommeil est mon refuge (une chance que ce ne soit pas l'alcool !)
5-Chaque matin, j'écris au moins 90 minutes avant toute chose. C'est un de mes rêves mais j'écris n'importe quand. Dommage...
6-Je ne prends pas le téléphone... Au contraire, j'y aspire : pouvoir répondre au téléphone à toute heure est pour moi signe de meilleure santé. Trop souvent, la sonnerie du téléphone déclenche en moi une anxiété paralysante irrationnelle. Trop souvent, c'est le répondeur qui prend les appels.
7-Je crée une liste de choses à faire après chaque journée de travail Comme je ne bosse pas, faire des listes m'aide à accomplir ce que j'ai à faire ou ce que je veux faire. C'est jouissif pour moi de cocher ou barrer une à une les tâches accomplies. La liste m'aide à me rappeler, à prioritiser et à échelonner. Mais c'est plutôt une liste heddomadaire.
8-J'essaye d'éviter toute confrontation ou conflit, en personne ou sur Internet. Je rejoins M. Dupuis sur ce point, j'ai adopté la même philosophie, même si rarement, je joue à 'tu me cherches, tu me trouves'.
En 1994, pour passer à travers une séparation et un divorce particulièrement douloureux, je me suis même formée à la Communication NonViolente, cf https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/t4916-introduction-a-la-cnv-et-relation-de-couple-communication-non-violente?highlight=non+violente
9-J'essaye de toujours avoir à l'esprit les deux mots d'ordre suivants / 10-Je ne serai pas la personne que je ne veux pas être. / 11-Je ne nuirai pas aux autres lorsqu'il est possible de les aider. / J'écrirai avec honnêteté et délicatesse. Je le rejoins aussi sur ces points, ces principes gouvernent ma vie. Et comme je suis hypersensible et très curieuse, ça me demande une vigilance, un éveil à la Vie. Mais je ne me sens pas de vivre autrement.
Alors, voilà, amande, tu vois que ma vie ne ressemble pas à celle de JMD. Et d'ailleurs, en tant que bipo, si j'ai appris à présent à gérer les phases basses, c'est un grand défi que d'apprendre à vivre stabilisée. A cinquante ans passés, je débute à nouveau dans ma réinsertion sociale car la maladie m'avait beaucoup isolée.
Belle journée,
De suite, je précise, ce ne sont pas mes règles de celles de Jean-Marc Dupuis, créateur du site santenatureinnovation.fr, duquel je reçois les e-lettres car je m'y suis inscrite (gratuit).
Dans ma vie, je me suis toujours révélée incapable de tenir une routine sur la durée. Je suis fortement indisciplinée, à mon grand désespoir car j'adorerais être comme ce monsieur.
Mais comme dans la trentaine, je suis décidée à être le plus heureuse possible, j'ai fait beaucoup de recherche sur l'humain (arts et sciences) et je suis très versée dans le spirituel. Donc, je 'travaille' sur moi.
Si je reprends un peu les règles qu'il s'est fixées,
1-Ordonner ma vie et me discipliner Il n'y a qu'à voir le b*rdel dans ma maison ; j'ai laissé les choses s'entasser depuis mon retour d'expat il y a ... 12 ans !!! Les espaces de vie sont dégagés mais je commence seulement à m'atteler à éclaircir/ranger les tas et les cartons.
Comme je ne bosse pas et que je vis seule, j'apprécie ma liberté de faire les choses à mon rythme... mais bon, me faudrait trouver le turbo car je crois avoir atteint mes limites de procrastination/temporisation.
2-Respecter le temps qui m'est donné. En edm, je ne respecte rien du tout, survivre au ras des pâquerettes ou plutôt en dessous, me place en "stand-by".
Par contre, je tiens toujours à me présenter à l'heure si j'ai un rendez-vous (social ou médical).
Et pour les papiers, l'administratif, etc., j'ai mis ma fierté de côté et j'ai accepté d'avoir besoin d'aide. L'AS et la conseillère familiale viennent à ma rescousse et font que je respecte les délais impartis.
3-Réfléchir attentivement avant toute promesse ou engagement, quels qu'ils soient. Depuis que je suis handicapée par la bipo, ce point est de prime importance pour moi. Je sais que je ne suis plus fiable, même pour les proches. En edm, je deviens mutique et recluse.
4-Je me couche et me réveille à la même heure tous les jours de la semaine (22h-6h). Je suis totalement flexible quand à mes horaires de sommeil mais je m'astreins à dormir au moins 6 heures par jour, quitte à m'allonger 3 fois... ; moins, je sais que je mets ma santé en péril.
En edm, je peux dormir jusqu'à 18-20 heures par jour, je suis fatiguée "existentiellement" et le sommeil est mon refuge (une chance que ce ne soit pas l'alcool !)
5-Chaque matin, j'écris au moins 90 minutes avant toute chose. C'est un de mes rêves mais j'écris n'importe quand. Dommage...
6-Je ne prends pas le téléphone... Au contraire, j'y aspire : pouvoir répondre au téléphone à toute heure est pour moi signe de meilleure santé. Trop souvent, la sonnerie du téléphone déclenche en moi une anxiété paralysante irrationnelle. Trop souvent, c'est le répondeur qui prend les appels.
7-Je crée une liste de choses à faire après chaque journée de travail Comme je ne bosse pas, faire des listes m'aide à accomplir ce que j'ai à faire ou ce que je veux faire. C'est jouissif pour moi de cocher ou barrer une à une les tâches accomplies. La liste m'aide à me rappeler, à prioritiser et à échelonner. Mais c'est plutôt une liste heddomadaire.
8-J'essaye d'éviter toute confrontation ou conflit, en personne ou sur Internet. Je rejoins M. Dupuis sur ce point, j'ai adopté la même philosophie, même si rarement, je joue à 'tu me cherches, tu me trouves'.
En 1994, pour passer à travers une séparation et un divorce particulièrement douloureux, je me suis même formée à la Communication NonViolente, cf https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/t4916-introduction-a-la-cnv-et-relation-de-couple-communication-non-violente?highlight=non+violente
9-J'essaye de toujours avoir à l'esprit les deux mots d'ordre suivants / 10-Je ne serai pas la personne que je ne veux pas être. / 11-Je ne nuirai pas aux autres lorsqu'il est possible de les aider. / J'écrirai avec honnêteté et délicatesse. Je le rejoins aussi sur ces points, ces principes gouvernent ma vie. Et comme je suis hypersensible et très curieuse, ça me demande une vigilance, un éveil à la Vie. Mais je ne me sens pas de vivre autrement.
Alors, voilà, amande, tu vois que ma vie ne ressemble pas à celle de JMD. Et d'ailleurs, en tant que bipo, si j'ai appris à présent à gérer les phases basses, c'est un grand défi que d'apprendre à vivre stabilisée. A cinquante ans passés, je débute à nouveau dans ma réinsertion sociale car la maladie m'avait beaucoup isolée.
Belle journée,
Invité- Invité
Re: Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
Merci Kairos.
Continue d'être un des 'phares' de ce forum. Tu es sage, brillante, modeste et précieuse.
J'ai hésité 10mn avant de cliquer sur répondre, de peur que ce post n'apporte rien.... Mais il y a une règle de vie No 10 peut être ? ? alors bon c'est un conseil pour les gens un peu impulsifs comme moi, qui est venu tout seul :
10. Si tu ressens le besoin impératif de faire une chose particulière, fais là sauf....
Si cette chose est dangereuse ou malfaisante et qu'un "clignotant" t'en avertis, alors pose toi et réfléchis. Fais comme les médecins, une petite analyse "risques/bénéfices" Qu'est ce que tu risques de provoquer ? Quelle frustration vas tu avoir de ne pas le faire, et même que détruis tu à ne pas le faire? Quel progrès dans le schmilblick peux tu obtenir ? Si ça rate, quel est la pire des conséquences possibles, et est elle gérable / acceptable ?
Dans la pratique, on ne gère pas tout, pas même soi même parfois (je regrette ainsi d'avoir critiqué quelqu'un sans bien connaître, même si mes informations tenaient la route, c'était un truc inutile)...
C'est mon "garde fou" de borderline, pas totalement fiable en effet, mais le fait d'avoir cette règle en tête m'évite tout de même de nombreux dérapages, (en ne 'faisant pas') de frustrations (en faisant, ou en ne faisant pas mais en étant réconcilié avec l'idée de ne pas faire), et me permet aussi d'avancer (en faisant).
Une des dernières fois que j'a eu ce genre d'hésitation, il y a 6 mois environ, j'ai finalement fait: 2000km en train de nuit (ma voiture n'était pas dispo, mon permis était suspendu mais je l'ai retrouvé par un recours car c'était une erreur de l'administration) , du stop, de la débrouille, le tout décidé en 2 jours, et je ne regrette pas: j'ai pu ainsi résoudre un problème et avoir le "coeur net" et la conscience apaisée, et les réalités se sont fait jour par l'acte réel du voyage et du fait d'y être, d'y aller. Si je ne l'avais pas fait , je serais peut être toujours à me tourmenter entre le lard et le cochon !
Bonne journée !
Continue d'être un des 'phares' de ce forum. Tu es sage, brillante, modeste et précieuse.
J'ai hésité 10mn avant de cliquer sur répondre, de peur que ce post n'apporte rien.... Mais il y a une règle de vie No 10 peut être ? ? alors bon c'est un conseil pour les gens un peu impulsifs comme moi, qui est venu tout seul :
10. Si tu ressens le besoin impératif de faire une chose particulière, fais là sauf....
Si cette chose est dangereuse ou malfaisante et qu'un "clignotant" t'en avertis, alors pose toi et réfléchis. Fais comme les médecins, une petite analyse "risques/bénéfices" Qu'est ce que tu risques de provoquer ? Quelle frustration vas tu avoir de ne pas le faire, et même que détruis tu à ne pas le faire? Quel progrès dans le schmilblick peux tu obtenir ? Si ça rate, quel est la pire des conséquences possibles, et est elle gérable / acceptable ?
Dans la pratique, on ne gère pas tout, pas même soi même parfois (je regrette ainsi d'avoir critiqué quelqu'un sans bien connaître, même si mes informations tenaient la route, c'était un truc inutile)...
C'est mon "garde fou" de borderline, pas totalement fiable en effet, mais le fait d'avoir cette règle en tête m'évite tout de même de nombreux dérapages, (en ne 'faisant pas') de frustrations (en faisant, ou en ne faisant pas mais en étant réconcilié avec l'idée de ne pas faire), et me permet aussi d'avancer (en faisant).
Une des dernières fois que j'a eu ce genre d'hésitation, il y a 6 mois environ, j'ai finalement fait: 2000km en train de nuit (ma voiture n'était pas dispo, mon permis était suspendu mais je l'ai retrouvé par un recours car c'était une erreur de l'administration) , du stop, de la débrouille, le tout décidé en 2 jours, et je ne regrette pas: j'ai pu ainsi résoudre un problème et avoir le "coeur net" et la conscience apaisée, et les réalités se sont fait jour par l'acte réel du voyage et du fait d'y être, d'y aller. Si je ne l'avais pas fait , je serais peut être toujours à me tourmenter entre le lard et le cochon !
Bonne journée !
Invité- Invité
Re: Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
Décidément, ma petite Kairos, plus je te lit plus je me dis que nous fonctionnons vraiment de la même manière..... Pas étonnant que j'ai l'impression de te connaître.
Marie-Claire- Nombre de messages : 1833
Age : 70
Type troubles : BP type 1
Emploi / Statut : en invalidité SS 1ère catégorie bientôt à la retraite
Date d'inscription : 02/05/2010
Re: Pourquoi souhaitez-vous guérir ?
La vraie question n'est pas "Pourquoi souhaitez-vous guérir?"
La vraie question est " Que ferez-vous une fois que vous serez guéri ? "
La vraie question est " Que ferez-vous une fois que vous serez guéri ? "
Invité- Invité
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