L'histoire des troubles mentaux
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L'histoire des troubles mentaux
L'histoire des troubles mentaux
http://www.scienceshumaines.com/l-histoire-des-troubles-mentaux_fr_468.htm
http://www.scienceshumaines.com/l-histoire-des-troubles-mentaux_fr_468.htm
Invité- Invité
Re: L'histoire des troubles mentaux
Je l'ai lu ( à la bibliothèque municipale ).
Il y a un topo sur les troubles bipolaires.
J'ai été très étonné du parti pris éditorialiste de l'article dans une revue aussi généraliste.
En gros, c'est le discours classique de l'antipsychiatrie qui condamne fortement cette mode du bipolaire.
J'étais à 100% d'accord mais surpris de lire un tel article dans cette revue.
Bonne lecture
Il y a un topo sur les troubles bipolaires.
J'ai été très étonné du parti pris éditorialiste de l'article dans une revue aussi généraliste.
En gros, c'est le discours classique de l'antipsychiatrie qui condamne fortement cette mode du bipolaire.
J'étais à 100% d'accord mais surpris de lire un tel article dans cette revue.
Bonne lecture
Invité- Invité
Re: L'histoire des troubles mentaux
Bonjour, Fanchonette et fabrice999 !
Je suis un fana de la revue sciences humaines. Mais je ne l'achète que selon son contenu. Aussi je me suis fait virer de chez un marchand de journaux parce que je lisais la table des matières avant de me décider à acheter ! Idem avec Cerveau et Psycho… pas moyen de savoir ce que l'on achète ! M'enfin !
Il faut dire que j'ai perdu en changeant d'ordi dans mes marques pages les sites de ces revues… Vais m'y remettre, ça m'évitera de me faire jeter…
Bonne soirée. Bises et salut . Jacques
Je suis un fana de la revue sciences humaines. Mais je ne l'achète que selon son contenu. Aussi je me suis fait virer de chez un marchand de journaux parce que je lisais la table des matières avant de me décider à acheter ! Idem avec Cerveau et Psycho… pas moyen de savoir ce que l'on achète ! M'enfin !
Il faut dire que j'ai perdu en changeant d'ordi dans mes marques pages les sites de ces revues… Vais m'y remettre, ça m'évitera de me faire jeter…
Bonne soirée. Bises et salut . Jacques
La honte des troubles mentaux
La honte des troubles mentaux
Vol au-dessus d'un nid de coucou (M. Forman)
Publié le 17 janvier 2014
Selon un rapport : http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i1662.asp
d’information de la mission parlementaire sur la santé mentale, le nombre de personnes atteintes d’un trouble mental en France serait en augmentation.
Actuellement, 18% de la population souffre d’un trouble mental et nous sommes 25% à être susceptible d’en développer au cours de notre vie.
Ces dysfonctionnements sont même les plus fréquents, après le cancer et les maladies cardio-vasculaires.
Ils sont également la première cause d’invalidité et d’arrêts maladie, et ils ont des répercussions économiques très importantes : les coûts collatéraux liés à la perte de production et la perte de qualité de vie atteindraient près de 80 milliards d’euros.
Au niveau mondial, l'OMS considère également que cinq des dix pathologies les plus préoccupantes au 21ème siècle relèvent de la psychiatrie : schizophrénie, troubles bipolaires, addictions, dépression et troubles obsessionnels compulsifs.
Alors non, vous n’êtes pas les seuls à souffrir d’un trouble mental.
Pourtant, il est facile d’en avoir honte. Et c’est principalement parce que depuis plusieurs siècles, la « folie » s’est chargée d’une image négative.
« Interné, asile, fou, débile, idiot, schizo, parano, imbécile, autiste ».
Tous ces termes sont utilisés dans langage courant de manière péjorative et largement relayés dans les médias.
À l’origine, le terme « idiotisme » était utilisé par la médecine pour désigner des personnes atteintes de retard mental, l’imbécillité étant le degré le plus léger de l’idiotie.
Quant à la débilité, elle désignait les personnes victimes d’un défaut d’expérience éducative.
Tout commence vers le milieu du 17ème siècle où le monde de la « folie » devient le monde de l’exclusion.
En Europe, on construit en effet des maisons d’internement qui accueillent les « fous » et les exclus sociaux qu’elles sanctionnent par le travail forcé.
À la fin du 18ème siècle, on enchaîne encore les malades mentaux.
Au 19ème siècle, on pratique les saignées en pensant que les troubles mentaux ont une origine organique, on fait vomir les malades pour les purger de leurs humeurs impures.
Au 20ème siècle, la psychiatrie pratique la lobotomie, la stérilisation contrainte, les comas déclenchés par injection et enfin, l’Allemagne nazie extermine les malades mentaux.
Avec un tel héritage, on comprend mieux la culpabilité que peuvent ressentir les personnes atteintes d’un trouble mental : pas facile pour Valérie Trierweiler d’annoncer qu’elle est en institution psychiatrique pour soigner un trouble dépressif.
Aujourd’hui, les troubles mentaux sont souvent associés, à tort, à une faiblesse, à une perte de contrôle ou à des événements spectaculaires souvent médiatisés.
À cause des préjugés entourant ces troubles, la souffrance des personnes est soigneusement cachée.
Résultat : seulement une personne atteinte sur trois consulte un professionnel de la santé, alors que les troubles peuvent être soignés.
En ce début d’année, le collectif sur la santé mentale et les troubles psychiques : http://www.santementale2014.org/
est susceptible d’obtenir le label « Grande cause nationale », attribué par le Premier Ministre.
Parmi ses missions, le collectif souhaite justement prévenir les stigmatisations, qui constituent à la fois les conséquences des troubles mentaux, mais aussi les facteurs de risque.
Il est en effet important de prendre des mesures pour lutter efficacement contre l’incompréhension et le jugement trop souvent porté sur les personnes et leur entourage.
Néanmoins, comme l’avait très bien décrit Michel Foucault1, dans un contexte d’exclusion, la « folie » a noué avec les culpabilités morales et sociales un cousinage qu’elle n’est pas prête de rompre.
Et cette pratique d’exclusion est encore d’actualité, malgré le renforcement des droits du malade, et les efforts d’une politique de secteur psychiatrique (prise en charge en dehors des murs de l’hôpital).
Reste aussi l’hospitalisation sans consentement qui prive la personne de liberté, dans les cas où son comportement est dangereux pour elle-même ou pour les autres.
L’institution psychiatrique a donc encore une réputation d’univers contraignant.
Il faudra certainement encore beaucoup de temps pour déstigmatiser les troubles mentaux.
1. Foucault, M. (1976). Histoire de la folie à l'âge classique. Gallimard.
Sources :
- Plan Psychiatrie et Santé mentale 2011-2015 : http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Plan_Psychiatrie_et_Sante_Mentale_2011-2015.pdf
- Jaccard, R. (1997). La folie. PUF.
http://blog.francetvinfo.fr/dans-vos-tetes/2014/01/17/la-honte-des-troubles-mentaux.html
Vol au-dessus d'un nid de coucou (M. Forman)
Publié le 17 janvier 2014
Selon un rapport : http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i1662.asp
d’information de la mission parlementaire sur la santé mentale, le nombre de personnes atteintes d’un trouble mental en France serait en augmentation.
Actuellement, 18% de la population souffre d’un trouble mental et nous sommes 25% à être susceptible d’en développer au cours de notre vie.
Ces dysfonctionnements sont même les plus fréquents, après le cancer et les maladies cardio-vasculaires.
Ils sont également la première cause d’invalidité et d’arrêts maladie, et ils ont des répercussions économiques très importantes : les coûts collatéraux liés à la perte de production et la perte de qualité de vie atteindraient près de 80 milliards d’euros.
Au niveau mondial, l'OMS considère également que cinq des dix pathologies les plus préoccupantes au 21ème siècle relèvent de la psychiatrie : schizophrénie, troubles bipolaires, addictions, dépression et troubles obsessionnels compulsifs.
Alors non, vous n’êtes pas les seuls à souffrir d’un trouble mental.
Pourtant, il est facile d’en avoir honte. Et c’est principalement parce que depuis plusieurs siècles, la « folie » s’est chargée d’une image négative.
« Interné, asile, fou, débile, idiot, schizo, parano, imbécile, autiste ».
Tous ces termes sont utilisés dans langage courant de manière péjorative et largement relayés dans les médias.
À l’origine, le terme « idiotisme » était utilisé par la médecine pour désigner des personnes atteintes de retard mental, l’imbécillité étant le degré le plus léger de l’idiotie.
Quant à la débilité, elle désignait les personnes victimes d’un défaut d’expérience éducative.
Tout commence vers le milieu du 17ème siècle où le monde de la « folie » devient le monde de l’exclusion.
En Europe, on construit en effet des maisons d’internement qui accueillent les « fous » et les exclus sociaux qu’elles sanctionnent par le travail forcé.
À la fin du 18ème siècle, on enchaîne encore les malades mentaux.
Au 19ème siècle, on pratique les saignées en pensant que les troubles mentaux ont une origine organique, on fait vomir les malades pour les purger de leurs humeurs impures.
Au 20ème siècle, la psychiatrie pratique la lobotomie, la stérilisation contrainte, les comas déclenchés par injection et enfin, l’Allemagne nazie extermine les malades mentaux.
Avec un tel héritage, on comprend mieux la culpabilité que peuvent ressentir les personnes atteintes d’un trouble mental : pas facile pour Valérie Trierweiler d’annoncer qu’elle est en institution psychiatrique pour soigner un trouble dépressif.
Aujourd’hui, les troubles mentaux sont souvent associés, à tort, à une faiblesse, à une perte de contrôle ou à des événements spectaculaires souvent médiatisés.
À cause des préjugés entourant ces troubles, la souffrance des personnes est soigneusement cachée.
Résultat : seulement une personne atteinte sur trois consulte un professionnel de la santé, alors que les troubles peuvent être soignés.
En ce début d’année, le collectif sur la santé mentale et les troubles psychiques : http://www.santementale2014.org/
est susceptible d’obtenir le label « Grande cause nationale », attribué par le Premier Ministre.
Parmi ses missions, le collectif souhaite justement prévenir les stigmatisations, qui constituent à la fois les conséquences des troubles mentaux, mais aussi les facteurs de risque.
Il est en effet important de prendre des mesures pour lutter efficacement contre l’incompréhension et le jugement trop souvent porté sur les personnes et leur entourage.
Néanmoins, comme l’avait très bien décrit Michel Foucault1, dans un contexte d’exclusion, la « folie » a noué avec les culpabilités morales et sociales un cousinage qu’elle n’est pas prête de rompre.
Et cette pratique d’exclusion est encore d’actualité, malgré le renforcement des droits du malade, et les efforts d’une politique de secteur psychiatrique (prise en charge en dehors des murs de l’hôpital).
Reste aussi l’hospitalisation sans consentement qui prive la personne de liberté, dans les cas où son comportement est dangereux pour elle-même ou pour les autres.
L’institution psychiatrique a donc encore une réputation d’univers contraignant.
Il faudra certainement encore beaucoup de temps pour déstigmatiser les troubles mentaux.
1. Foucault, M. (1976). Histoire de la folie à l'âge classique. Gallimard.
Sources :
- Plan Psychiatrie et Santé mentale 2011-2015 : http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Plan_Psychiatrie_et_Sante_Mentale_2011-2015.pdf
- Jaccard, R. (1997). La folie. PUF.
http://blog.francetvinfo.fr/dans-vos-tetes/2014/01/17/la-honte-des-troubles-mentaux.html
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
http://www.enquete-debat.fr/La psychiatrie pervertie par le commerce
La Psychiatrie pervertie par le commerce
21 avril 2014
Par le Dr Thierry Ferjeux MICHAUD-NÉRARD, pédopsychiatre, DEA de psychologie.
On a beaucoup critiqué le DSM V, considéré comme le manuel de Psychiatrie de référence, un livre qui permet aux ignorants d’ignorer les traités fondamentaux qui ont établi la Psychiatrie sur des observations classiques qui en ont composé les bases scientifiques.
À la suite de cela, on ne cesse d’inventer de nouvelles maladies mentales, comme on fabrique des pâtisseries, du sirop ou des médicaments.
Cela explique les abus de prescription de médicaments psychotropes, sans devoir effectuer une observation suffisante, sans devoir faire un diagnostic précis et sans disposer d’un quelconque fondement vraiment scientifique.
Depuis, l’A.P.A., l’Association Américaine de Psychiatrie, tient boutique et vend ses DSM comme des petits pains.
Pour augmenter ses profits, les DSM sont renouvelés régulièrement, afin de créer ainsi l’attrait pour la nouveauté et l’obsolescence programmée des anciennes éditions.
Cette nouvelle édition a provoqué de plus en plus de controverses et de nombreuses protestations chez les psychiatres.
C’est pourquoi un mouvement anti-DSM a pris beaucoup d’ampleur aux États-Unis.
Si la première édition de 1952 comportait moins d’une centaine de maladies mentales, on a recensé plus de 300 soi-disant maladies psychiatriques jusqu’à aujourd’hui.
Dans le même temps, on a voulu dissimuler le nom et la réalité de la Psychiatrie officielle, de plus en plus critiquée et contestée, en lui substituant le nom de soi-disant “santé mentale”.
Mais, si la Psychiatrie officielle a pour mission de traiter médicalement les maladies mentales par divers moyens contraignants, elle ignore tout des conditions sociales indispensables pour sauvegarder la “santé mentale” des populations, conditions qui ne relèvent pas de sa compétence, malgré l’ambition parfois démesurée de certains psychiatres, qui n’hésitent pas à faire état de qualifications spéciales, sans jamais avoir obtenu les diplômes correspondants.
Lire la suite...
http://www.enquete-debat.fr/archives/la-psychiatrie-pervertie-par-le-commerce-95237
21 avril 2014
Par le Dr Thierry Ferjeux MICHAUD-NÉRARD, pédopsychiatre, DEA de psychologie.
On a beaucoup critiqué le DSM V, considéré comme le manuel de Psychiatrie de référence, un livre qui permet aux ignorants d’ignorer les traités fondamentaux qui ont établi la Psychiatrie sur des observations classiques qui en ont composé les bases scientifiques.
À la suite de cela, on ne cesse d’inventer de nouvelles maladies mentales, comme on fabrique des pâtisseries, du sirop ou des médicaments.
Cela explique les abus de prescription de médicaments psychotropes, sans devoir effectuer une observation suffisante, sans devoir faire un diagnostic précis et sans disposer d’un quelconque fondement vraiment scientifique.
Depuis, l’A.P.A., l’Association Américaine de Psychiatrie, tient boutique et vend ses DSM comme des petits pains.
Pour augmenter ses profits, les DSM sont renouvelés régulièrement, afin de créer ainsi l’attrait pour la nouveauté et l’obsolescence programmée des anciennes éditions.
Cette nouvelle édition a provoqué de plus en plus de controverses et de nombreuses protestations chez les psychiatres.
C’est pourquoi un mouvement anti-DSM a pris beaucoup d’ampleur aux États-Unis.
Si la première édition de 1952 comportait moins d’une centaine de maladies mentales, on a recensé plus de 300 soi-disant maladies psychiatriques jusqu’à aujourd’hui.
Dans le même temps, on a voulu dissimuler le nom et la réalité de la Psychiatrie officielle, de plus en plus critiquée et contestée, en lui substituant le nom de soi-disant “santé mentale”.
Mais, si la Psychiatrie officielle a pour mission de traiter médicalement les maladies mentales par divers moyens contraignants, elle ignore tout des conditions sociales indispensables pour sauvegarder la “santé mentale” des populations, conditions qui ne relèvent pas de sa compétence, malgré l’ambition parfois démesurée de certains psychiatres, qui n’hésitent pas à faire état de qualifications spéciales, sans jamais avoir obtenu les diplômes correspondants.
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http://www.enquete-debat.fr/archives/la-psychiatrie-pervertie-par-le-commerce-95237
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
L'évolution de l'homme moderne se fait-elle au prix de la maladie mentale ?
mardi 22 avril 2014
L'évolution de l'homme moderne se fait-elle au prix de la maladie mentale ?
En analysant la façon dont les gènes s'expriment chez l'homme moderne (à gauche) d'une part, et chez l'homme de Neandertal d'autre part (à droite), des généticiens avancent l'hypothèse que l'évolution récente de l'homme moderne s'est accompagnée de l'apparition de troubles cognitifs qui n'existaient pas jusqu'alors.
Au cours de notre histoire récente, des modifications portant sur la façon dont nos gènes s'expriment auraient-elles entraîné l'apparition de troubles mentaux tels que la schizophrénie, l'autisme ou encore la maladie d'Alzheimer ?
C'est en tout cas l'hypothèse troublante avancée par une étude publiée dans la revue Science.
Et si les changement relatifs à la façon dont nos gènes s'expriment, survenus au cours de l'évolution récente de l'homme moderne, avaient engendré l'apparition de troubles mentaux comme la schizophrénie et l'autisme ? Aussi troublant que cela puisse paraître, c'est bel et bien ce que suggère une étude publiée le 17 avril 2014 dans la revue Science...
Lire la suite...*
http://www.journaldelascience.fr/genetique/articles/levolution-lhomme-moderne-fait-elle-au-prix-maladie-mentale-3546
L'évolution de l'homme moderne se fait-elle au prix de la maladie mentale ?
En analysant la façon dont les gènes s'expriment chez l'homme moderne (à gauche) d'une part, et chez l'homme de Neandertal d'autre part (à droite), des généticiens avancent l'hypothèse que l'évolution récente de l'homme moderne s'est accompagnée de l'apparition de troubles cognitifs qui n'existaient pas jusqu'alors.
Au cours de notre histoire récente, des modifications portant sur la façon dont nos gènes s'expriment auraient-elles entraîné l'apparition de troubles mentaux tels que la schizophrénie, l'autisme ou encore la maladie d'Alzheimer ?
C'est en tout cas l'hypothèse troublante avancée par une étude publiée dans la revue Science.
Et si les changement relatifs à la façon dont nos gènes s'expriment, survenus au cours de l'évolution récente de l'homme moderne, avaient engendré l'apparition de troubles mentaux comme la schizophrénie et l'autisme ? Aussi troublant que cela puisse paraître, c'est bel et bien ce que suggère une étude publiée le 17 avril 2014 dans la revue Science...
Lire la suite...*
http://www.journaldelascience.fr/genetique/articles/levolution-lhomme-moderne-fait-elle-au-prix-maladie-mentale-3546
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
Re: L'histoire des troubles mentaux
Utilité et dangers des catégorisations psychopathologiques
Pinel délivrant les aliénés à la Salpêtrière en 1795 (extrait d’un tableau de Tony Robert-Fleury)
« Ce qui n’est pas fixé n’est rien. Ce qui est fixé est mort »
Paul Valéry, Œuvres II. Gallimard, Pléiade, 1966, p. 697.
Ceci est la version intégrale d’un article paru dans le SPS n° 303. Par Jacques Van Rillaer
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2025
Pinel délivrant les aliénés à la Salpêtrière en 1795 (extrait d’un tableau de Tony Robert-Fleury)
« Ce qui n’est pas fixé n’est rien. Ce qui est fixé est mort »
Paul Valéry, Œuvres II. Gallimard, Pléiade, 1966, p. 697.
Ceci est la version intégrale d’un article paru dans le SPS n° 303. Par Jacques Van Rillaer
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2025
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
«Apprentissage et modification du comportement»
Bonjour, Franzie !
En recherchant Jacques Van Rillaer sur Google, je suis tombé sur ce site :
https://icampus.uclouvain.be/claroline/document/document.php?cidReset=true&cidReq=EDPH2277
Bonne semaine. Bisous . Jacques
En recherchant Jacques Van Rillaer sur Google, je suis tombé sur ce site :
https://icampus.uclouvain.be/claroline/document/document.php?cidReset=true&cidReq=EDPH2277
Bonne semaine. Bisous . Jacques
Le trouble bipolaire, une maladie chargée d’histoire
Bojour,
lu sur
Le trouble bipolaire, une maladie chargée d’histoire
Si vous jetez un œil sur l’Histoire, vous trouverez de nombreuses références à la mélancolie, concept romantique que nous appelons aujourd’hui dépression.
Il y a aussi la manie, comprise à une autre époque comme un état d’agitation et de délire.
Les pères de la médecine comme le grec Hippocrate ou le romain Galien imputaient la tristesse à la bile noire, une des quatre humeurs du corps selon la théorie prédominante de l’époque.
Bref vous le voyez les changements d’humeur ont accompagné l’Homme depuis la nuit des temps...
https://www.lesgensqui.fr/magazine/publications/le-trouble-bipolaire-une-maladie-chargee-d-histoire
lu sur
Le trouble bipolaire, une maladie chargée d’histoire
Si vous jetez un œil sur l’Histoire, vous trouverez de nombreuses références à la mélancolie, concept romantique que nous appelons aujourd’hui dépression.
Il y a aussi la manie, comprise à une autre époque comme un état d’agitation et de délire.
Les pères de la médecine comme le grec Hippocrate ou le romain Galien imputaient la tristesse à la bile noire, une des quatre humeurs du corps selon la théorie prédominante de l’époque.
Bref vous le voyez les changements d’humeur ont accompagné l’Homme depuis la nuit des temps...
https://www.lesgensqui.fr/magazine/publications/le-trouble-bipolaire-une-maladie-chargee-d-histoire
Andrée- Nombre de messages : 2268
Type troubles : TB
Date d'inscription : 22/05/2013
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