Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
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Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
Merci pour ce partage aliéna, vidéo fort intéressante !
Malheureusement, la vidéo ne répond pas à la question que je me pose: pourquoi à un moment donné et pas un autre ? Comment est-ce que ça peut se produire d'un coup si rien n'avait pu être pensé auparavant ? Ça me surprend beaucoup et me laisse perplexe; les racines des BDA sont à explorer je pense.
J'irais me renseigner à ce sujet.
Malheureusement, la vidéo ne répond pas à la question que je me pose: pourquoi à un moment donné et pas un autre ? Comment est-ce que ça peut se produire d'un coup si rien n'avait pu être pensé auparavant ? Ça me surprend beaucoup et me laisse perplexe; les racines des BDA sont à explorer je pense.
J'irais me renseigner à ce sujet.
Invité- Invité
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
A ne pas confondre Bouffée Délirante Aigue qui est un épisode non appartenant à la Bipolarité.
Et Crise Maniaque, (Bipolaire). Ce sont deux choses complètement différentes.
Maria
Et Crise Maniaque, (Bipolaire). Ce sont deux choses complètement différentes.
Maria
Invité- Invité
crise maniaque - manie
Bonjour,
Pourrais-tu expliquer, big planet, la différence entre une BDA et une crise maniaque d'une personne atteinte de troubles bipolaires ?
Depuis que le diagnostic de bipolarité fin 2008, m'étant renseignée sur les troubles, ayant principalement fait de longs EDMs récurrents entrecoupés de brèves hypomanies, j'ai une trouille formidable que mon état se péjore et que j'expérimente la manie....
Merci à vous 2,
Pourrais-tu expliquer, big planet, la différence entre une BDA et une crise maniaque d'une personne atteinte de troubles bipolaires ?
Depuis que le diagnostic de bipolarité fin 2008, m'étant renseignée sur les troubles, ayant principalement fait de longs EDMs récurrents entrecoupés de brèves hypomanies, j'ai une trouille formidable que mon état se péjore et que j'expérimente la manie....
Merci à vous 2,
Invité- Invité
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
La BDA est souvent soudaine, les personnes atteintes peuvent vivres ces épisodes comme un épisode isolé.
La personne est en agitation permanente et a l'impression que quelq'un d'autre pense à sa place.
Vue de l'extérieur cette personne semble déchaînée, incontrôlable et agitée.
La BDA est souvent de courte durée et peut retomber à la normale sans l'aide de neuroleptiques.
L'épisode maniaque est plus élaboré.
La personne en manie peut sembler calme tout en posant des actes "irréfléchis" qu'elle pense malgré tout bien réfléchir.
Cela arrive rarement d'une façon soudaine, ces épisodes commencent "increscendo" par un manque de sommeil, et une
sensation de pouvoir faire toute sorte d'activités avec aisance.
Quand l'épisode maniaque arrive a son climax, la personne atteinte a déjà eu le temps d'entamer une procédure de divorce,
d'entreprendre un voyage pour monter à l'Everest, ou d'avoir flambée toute sa carte bancaire dans des chaussures à la mode,
par exemple.
On se croit souvent omnipotent, et investi d'une mission à échelle mondiale.
J'ai souvent entendu que la télé et la radio semble nous parler personnellement.
Le discours est fluide et il s'installe une grande desinhibition sociale et sexuelle.
Ces épisodes peuvent durer des mois.
On ne revient pas à la normale tout seul.
Pour y mettre fin il y a souvent besoin de l'intervention du Samu et d'une hospitalisation à la demande d'un tiers.
L'hospitalisation seule ne sert en rien à faire redescendre l'épisode.
Pour revenir à la normale une fois hospitalisé, le médecins devront donner au malade des neuroleptiques.
La descente se fait en HP et dure encore quinze jours de traitement intensif en moyenne avant que le patient
recouvre la raison et un état conscient normal.
Bises,
Maria
La personne est en agitation permanente et a l'impression que quelq'un d'autre pense à sa place.
Vue de l'extérieur cette personne semble déchaînée, incontrôlable et agitée.
La BDA est souvent de courte durée et peut retomber à la normale sans l'aide de neuroleptiques.
L'épisode maniaque est plus élaboré.
La personne en manie peut sembler calme tout en posant des actes "irréfléchis" qu'elle pense malgré tout bien réfléchir.
Cela arrive rarement d'une façon soudaine, ces épisodes commencent "increscendo" par un manque de sommeil, et une
sensation de pouvoir faire toute sorte d'activités avec aisance.
Quand l'épisode maniaque arrive a son climax, la personne atteinte a déjà eu le temps d'entamer une procédure de divorce,
d'entreprendre un voyage pour monter à l'Everest, ou d'avoir flambée toute sa carte bancaire dans des chaussures à la mode,
par exemple.
On se croit souvent omnipotent, et investi d'une mission à échelle mondiale.
J'ai souvent entendu que la télé et la radio semble nous parler personnellement.
Le discours est fluide et il s'installe une grande desinhibition sociale et sexuelle.
Ces épisodes peuvent durer des mois.
On ne revient pas à la normale tout seul.
Pour y mettre fin il y a souvent besoin de l'intervention du Samu et d'une hospitalisation à la demande d'un tiers.
L'hospitalisation seule ne sert en rien à faire redescendre l'épisode.
Pour revenir à la normale une fois hospitalisé, le médecins devront donner au malade des neuroleptiques.
La descente se fait en HP et dure encore quinze jours de traitement intensif en moyenne avant que le patient
recouvre la raison et un état conscient normal.
Bises,
Maria
Invité- Invité
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
re,
Je fais bien d'en avoir la trouille de la manie, comme la bipo peut évoluer !
Merci de ta prompte réponse détaillée, big planet.
"Une chance" que mon corps disjoncte avant : après quelques semaines d'hypomanie, je me retrouve en hypersomnie et à peine capable de survivre, de m'assumer au quotidien ; seules mes chattes me forcent à rester ancrée un minimum dans le quotidien.
Une fois en 2006, j'ai commencé à être imbuvable pour autrui et pour moi*, et j'ai vite avalé du risperdal sur 1 mois pour enrayer le processus. J'ai pris 5 kg mais la vie est redevenue plus sereine pour tout le monde.
*péremptoire pour asséner mes idées, loghorrée, parler aux inconnus dans la rue, surtout les enfants... ; ce qui "me sauve", c'est que j'ai un respect de l'Autre encore plus profond, encore plus ancré que cet état de bulle ("plus rapide" "plus fine" "plus..." ), et je sens le décalage, la coupure... donc je fais de quoi (là prise temporaire de rispesdal) pour stopper la montée.
A date, je parviens à me gérer sans HP parce que je prends un traitement (qu'on adapte selon mes phases) et que je rencontre un psychiatre toutes les semaines depuis fin 2005. De plus, j'apprends de mieux en mieux à gérer mon environnement matériel et financier aux prises d'abord avec la précarité (rmi/rsa et brefs CCDs) et à présent la pauvreté (aah avec décision de me centrer sur mon rétablissement avant de retourner travailler).
Je fais bien d'en avoir la trouille de la manie, comme la bipo peut évoluer !
Merci de ta prompte réponse détaillée, big planet.
"Une chance" que mon corps disjoncte avant : après quelques semaines d'hypomanie, je me retrouve en hypersomnie et à peine capable de survivre, de m'assumer au quotidien ; seules mes chattes me forcent à rester ancrée un minimum dans le quotidien.
Une fois en 2006, j'ai commencé à être imbuvable pour autrui et pour moi*, et j'ai vite avalé du risperdal sur 1 mois pour enrayer le processus. J'ai pris 5 kg mais la vie est redevenue plus sereine pour tout le monde.
*péremptoire pour asséner mes idées, loghorrée, parler aux inconnus dans la rue, surtout les enfants... ; ce qui "me sauve", c'est que j'ai un respect de l'Autre encore plus profond, encore plus ancré que cet état de bulle ("plus rapide" "plus fine" "plus..." ), et je sens le décalage, la coupure... donc je fais de quoi (là prise temporaire de rispesdal) pour stopper la montée.
A date, je parviens à me gérer sans HP parce que je prends un traitement (qu'on adapte selon mes phases) et que je rencontre un psychiatre toutes les semaines depuis fin 2005. De plus, j'apprends de mieux en mieux à gérer mon environnement matériel et financier aux prises d'abord avec la précarité (rmi/rsa et brefs CCDs) et à présent la pauvreté (aah avec décision de me centrer sur mon rétablissement avant de retourner travailler).
Invité- Invité
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
Fractal,
Je trouve que tu te prends très bien en main et que tu fais tout le temps des progrès de santé, sociales, environment,
infrastructure, etc.
Je trouve aussi que tu as une grande force, et une énorme intelligence accompagnée d'une immense volonté.
Tu tiens à présent ta vie en main. Tu ne peux que continuer à progresser.
Bises,
Maria
Je trouve que tu te prends très bien en main et que tu fais tout le temps des progrès de santé, sociales, environment,
infrastructure, etc.
Je trouve aussi que tu as une grande force, et une énorme intelligence accompagnée d'une immense volonté.
Tu tiens à présent ta vie en main. Tu ne peux que continuer à progresser.
Bises,
Maria
Invité- Invité
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
Description
C'est l'apparition brutale et transitoire d' un état délirant (psychotique). On parle de « coup de tonnerre dans un ciel serein ».
La personne atteinte présente de nombreuses hallucinations (perceptions sans objet), des illusions (déformation de la perception d’un objet réel) et des interprétations (déductions fausses de la réalité). Les hallucinations sont nombreuses, auditives mais aussi psychiques (écho de la pensée ou voix dans la tête).
Les thèmes du délire sont nombreux: mystiques (visions miraculeuses, missions divines, possession diabolique), érotique ou encore mégalomaniaques. Les patients se sentent subitement ensorcelés, épiés ou en communication avec des forces surnaturelles ou encore robotisés.
C'est un délire qui part dans tous les sens et auquel on ne comprend rien. Mais, le sujet est convaincu de la réalité de son délire. Il ne fait preuve d’aucune critique et est en général très agité. Il ne prend plus le temps de manger ou de dormir et subit de grands changements d'humeur (passage rapide de l'euphorie au désespoir).
Il faut toujours éliminer une origine organique à cet état psychique brutal. Un examen clinique rigoureux, en particulier neurologique, ainsi qu'un bilan biologique, une recherche urinaire de toxiques et un scanner cérébral seront réalisés de façon systématiques. D'autres examens peuvent être nécessaires en fonction du contexte clinique.
Qui est touché ?
Il s'agit de sujets jeunes (15-35 ans). Il existe volontiers des antécédents psychiatriques familiaux mais ce n'est pas obligatoire. Le délire est souvent précédé d'un évènement stressant (deuil, séparation, mariage, séjour à l’étranger, surmenage, préparation d’examens) ou d'une prise de toxiques (cannabis, LSD, ecstasy). Ces facteurs extérieurs pourraient favoriser une importante décharge cérébrale de certains neurotransmetteurs comme la dopamine chez des individus prédisposés.
Quel est le traitement ?
Une bouffée délirante aiguë est une urgence. Elle impose souvent l'hospitalisation du malade contre son gré car celui-ci ne se considère pas comme délirant et refuse les soins proposés (loi du 27/06/1990).
Les traitements antipsychotiques (neuroleptiques) permettent de faire céder le délire et peuvent être administrés par voie intramusculaire si la personne refuse de les ingérer de lui-même par la bouche.
Pendant cette période d'urgence, il est convenable d'éloigner les proches pour éviter qu'ils assistent à des scènes parfois dures mais malheureusement nécessaires au traitement du patient. Une fois que la personne est plus calme, il est important de s'occuper des familles pour leur expliquer ce qui est arrivé à leur proche.
Après la phase aiguë, un suivi psychiatrique régulier est obligatoire même si la personne ne présente plus aucun symptôme. Le traitement sera poursuivi entre six mois à un an.
Si la personne présente des signes au delà de six mois, il peut s'agir du premier épisode d'une maladie psychiatrique et un traitement à plus long terme sera proposé.
Et après ?
L’épisode dure de quelques semaines à quelques mois (par définition, moins de 6 mois). Puis, soit il ne récidive jamais, soit il récidive lors d'un nouveau stress ou spontanément. Dans ce cas, il peut s'agir d'un mode d'entrée dans une pathologie psychiatrique chronique comme une psychose (la schizophrénie notamment) ou un trouble bipolaire.
A retenir
La bouffée délirante aiguë survient brutalement chez un individu souvent jeune, sans problème jusque-là. Elle est caractérisée par un délire dont les thèmes et les mécanismes sont nombreux. Cet état nécessite un traitement psychiatrique urgent après avoir éliminé toute cause physique. L'épisode peut rester unique ou marquer le début d'une maladie psychiatrique (schizophrénie ou trouble bipolaire en particulier).
http://sante-az.aufeminin.com/w/sante/s317/maladies/bouffee-delirante/3.html
Le terme de BDA est souvent employé à tort pour définir une phase aiguë délirante chez un patient schizophrène ou bipolaire, lors de prises de toxiques ou de pathologies associées[réf. nécessaire]. En réalité, le pronostic d'une BDA se répartit entre une rémission totale, sans séquelle, et durable, ou une évolution vers un trouble bipolaire ou une schizophrénie. La part relative entre les différentes formes évolutives reste difficile à évaluer précisément. Classiquement, il est considéré qu'un tiers sont des états psychotiques brefs, un tiers évoluent vers une schizophrénie, un tiers vers une maladie bipolaire. Dans ces deux derniers cas, a posteriori, il est considéré que le diagnostic de BDA correspondait à un premier état psychotique aigu dans le cadre d'un trouble chronique. C'est pour cela que la terminologie d'épisode psychotique bref a été introduite. En effet, celle-ci sépare clairement les épisodes psychotiques aigus ponctuels et ceux inclus dans un trouble chronique, contrairement au concept de BDA, plus ancien.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_psychotique_bref
C'est l'apparition brutale et transitoire d' un état délirant (psychotique). On parle de « coup de tonnerre dans un ciel serein ».
La personne atteinte présente de nombreuses hallucinations (perceptions sans objet), des illusions (déformation de la perception d’un objet réel) et des interprétations (déductions fausses de la réalité). Les hallucinations sont nombreuses, auditives mais aussi psychiques (écho de la pensée ou voix dans la tête).
Les thèmes du délire sont nombreux: mystiques (visions miraculeuses, missions divines, possession diabolique), érotique ou encore mégalomaniaques. Les patients se sentent subitement ensorcelés, épiés ou en communication avec des forces surnaturelles ou encore robotisés.
C'est un délire qui part dans tous les sens et auquel on ne comprend rien. Mais, le sujet est convaincu de la réalité de son délire. Il ne fait preuve d’aucune critique et est en général très agité. Il ne prend plus le temps de manger ou de dormir et subit de grands changements d'humeur (passage rapide de l'euphorie au désespoir).
Il faut toujours éliminer une origine organique à cet état psychique brutal. Un examen clinique rigoureux, en particulier neurologique, ainsi qu'un bilan biologique, une recherche urinaire de toxiques et un scanner cérébral seront réalisés de façon systématiques. D'autres examens peuvent être nécessaires en fonction du contexte clinique.
Qui est touché ?
Il s'agit de sujets jeunes (15-35 ans). Il existe volontiers des antécédents psychiatriques familiaux mais ce n'est pas obligatoire. Le délire est souvent précédé d'un évènement stressant (deuil, séparation, mariage, séjour à l’étranger, surmenage, préparation d’examens) ou d'une prise de toxiques (cannabis, LSD, ecstasy). Ces facteurs extérieurs pourraient favoriser une importante décharge cérébrale de certains neurotransmetteurs comme la dopamine chez des individus prédisposés.
Quel est le traitement ?
Une bouffée délirante aiguë est une urgence. Elle impose souvent l'hospitalisation du malade contre son gré car celui-ci ne se considère pas comme délirant et refuse les soins proposés (loi du 27/06/1990).
Les traitements antipsychotiques (neuroleptiques) permettent de faire céder le délire et peuvent être administrés par voie intramusculaire si la personne refuse de les ingérer de lui-même par la bouche.
Pendant cette période d'urgence, il est convenable d'éloigner les proches pour éviter qu'ils assistent à des scènes parfois dures mais malheureusement nécessaires au traitement du patient. Une fois que la personne est plus calme, il est important de s'occuper des familles pour leur expliquer ce qui est arrivé à leur proche.
Après la phase aiguë, un suivi psychiatrique régulier est obligatoire même si la personne ne présente plus aucun symptôme. Le traitement sera poursuivi entre six mois à un an.
Si la personne présente des signes au delà de six mois, il peut s'agir du premier épisode d'une maladie psychiatrique et un traitement à plus long terme sera proposé.
Et après ?
L’épisode dure de quelques semaines à quelques mois (par définition, moins de 6 mois). Puis, soit il ne récidive jamais, soit il récidive lors d'un nouveau stress ou spontanément. Dans ce cas, il peut s'agir d'un mode d'entrée dans une pathologie psychiatrique chronique comme une psychose (la schizophrénie notamment) ou un trouble bipolaire.
A retenir
La bouffée délirante aiguë survient brutalement chez un individu souvent jeune, sans problème jusque-là. Elle est caractérisée par un délire dont les thèmes et les mécanismes sont nombreux. Cet état nécessite un traitement psychiatrique urgent après avoir éliminé toute cause physique. L'épisode peut rester unique ou marquer le début d'une maladie psychiatrique (schizophrénie ou trouble bipolaire en particulier).
http://sante-az.aufeminin.com/w/sante/s317/maladies/bouffee-delirante/3.html
Le terme de BDA est souvent employé à tort pour définir une phase aiguë délirante chez un patient schizophrène ou bipolaire, lors de prises de toxiques ou de pathologies associées[réf. nécessaire]. En réalité, le pronostic d'une BDA se répartit entre une rémission totale, sans séquelle, et durable, ou une évolution vers un trouble bipolaire ou une schizophrénie. La part relative entre les différentes formes évolutives reste difficile à évaluer précisément. Classiquement, il est considéré qu'un tiers sont des états psychotiques brefs, un tiers évoluent vers une schizophrénie, un tiers vers une maladie bipolaire. Dans ces deux derniers cas, a posteriori, il est considéré que le diagnostic de BDA correspondait à un premier état psychotique aigu dans le cadre d'un trouble chronique. C'est pour cela que la terminologie d'épisode psychotique bref a été introduite. En effet, celle-ci sépare clairement les épisodes psychotiques aigus ponctuels et ceux inclus dans un trouble chronique, contrairement au concept de BDA, plus ancien.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_psychotique_bref
Invité- Invité
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
Alièna,
J'ai lu tout ce post très intéressant.
Ce que j'apprends c'est que le BDA peut indiquer le début d'une maladie bipolaire.
Merci de cette information.
J'essaie de me remémorer si mon premier épisode etait une BDA ou une crise maniaque franche.
Difficile pour moi d'en faire une différence pour mon premier épisode.
Je crois qu'il était plutot maniaque.
Bisous,
Maria
J'ai lu tout ce post très intéressant.
Ce que j'apprends c'est que le BDA peut indiquer le début d'une maladie bipolaire.
Merci de cette information.
J'essaie de me remémorer si mon premier épisode etait une BDA ou une crise maniaque franche.
Difficile pour moi d'en faire une différence pour mon premier épisode.
Je crois qu'il était plutot maniaque.
Bisous,
Maria
Invité- Invité
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
re,
Merci aliena pour ce fil.
Une nouvelle comme cela de bon matin (2ème réveil syuite à mon 1er bout de nuit), qu'est-ce que je suis heureuse de ma cinquantaine !Qui est touché ? Il s'agit de sujets jeunes (15-35 ans).
Merci aliena pour ce fil.
Invité- Invité
les BDA
A noter que les BDA sont une spécialité... bien française !...
paumée- Nombre de messages : 969
Type troubles : BP II - Troubles circulaires (sans euthymie)
Date d'inscription : 04/05/2008
Re: Vidéo : Les bouffées délirantes aïgues (magazine de la santé)
paumée a écrit:A noter que les BDA sont une spécialité... bien française !...
Comme la spasmophilie entité clinique reconnue uniquement en France.
Invité- Invité
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