TOC, Bipolaire...Leur combat pour guérir -troubles comportement humeur -vidéo

[Invité]

Bonjour,

Suite au post de paumée dans la section Evenements

Présenté par Karine Ferri - Direct8 - A CHACUN SON HISTOIRE...

VIDÉO : TOC, BIPOLAIRE...LEUR COMBAT POUR GUÉRIR durée : 01:25:0

Difficile d’évaluer le nombre exact de malades mentaux en France. Alors que des termes psychiatriques tels que « parano «, « maniaque « ou « borderline « sont aujourd’hui employés dans le langage courant, de véritables maladies mentales se cachent derrière ces mots anodins. La France est le pays qui détient le record mondial de consommation de médicaments. Parmi eux, les psychotropes, somnifères, anxiolytiques, antidépresseurs… Un Français sur cinq prend des tranquillisants. Mais ces médicaments, s’ils aident la plupart du temps à vivre mieux, ont une action sur le cerveau, qui peut parfois se révéler négative sur le comportement. Ce film est l’occasion de faire l’état des lieux de certaines maladies psychiatriques en France et des solutions thérapeutiques pour en sortir. Nous y racontons l’histoire de deux femmes, Séverine et Aurélie, et de deux hommes, Jean-Marie et Nordine, qui souffrent de troubles du comportement. À travers le parcours de nos témoins, voici un voyage vers la guérison au coeur des grandes pathologies psychiatriques, mais le chemin est souvent parsemé d’embûches…
visionner l'émission http://www.direct8.fr/video/WFRGeEg4/a-chacun-son-histoire-toc-bipolaire-leur-combat-pour-guerir/

Qui a vu l'émission et qu'en avez-vous retiré ?
Merci de vos réponses.

[primomania]

Bonjour Fractal,

Je me suis endormie trop tot pour pouvoir la regarder hier soir. Par contre, si je peux la voir sur le net, je la regarderais cet après-midi.

Bises

Primo

[primomania]

re

apres avoir vu le reportage.

Niveau strcture c'est bien cadeé entre la phase "présentation de la découverte/prise de conscience/désir de soin"
puis les soins
puis le resulat

Effectivement facile à suivre.

Ensuite quelques remarques en vrac (vu mes difficultés à me concentrer)

- le reportage montre bien que souvent les malades se replis sur eux et qu'ils préferent souvent la stratégie du "moins pire", en disant par exemple "je n'ai pas envie", au lieu de parler de l'angoisse qui existe derrière.

- il y a une présentation simplifiée de chaque type de trouble. Simplification qui ne montre de fait qu'une des facettes pour chaque type de maladie (mais peut etre les types les plus fréquent ?

- La fin se veux "happy end" : tout le monde est soigné, équilibrer et tiens bon ses résolution. La je reste sur ma faim. D'une par car le reportage n'indique pas au bout de combien de temps. Or.. si c'est une semaine apres, c'est encore dans la phase "d'élan" et cela n'est pas significatif

- j'ai bloque sur le vocabulaire "guerir".c'est sans doute anecdotique, mais pour moi, on ne guerit pas : on apprend à vivre avec et à faire en sorte de ne pas laisser sortir le dragon, le tenir bien en chaine.

- Lorsque l'on sait le temps habituellement nécéssaire pour décoder la maladie et trouver un traitement stabilisateur, je me dis qu'il faut vite que je change de psy, pour etre "guérie" en un seul mois avec de suite le bon traitement.

- les hopitaux et cliniques présentent dans le reportage ont du être triées sur le volet...ou alors la modernité doit continuellement éviter non structure hospitalières locales qui se reconnaitient plutot à leur vétusté !

- j'ai regretté de ne pas avoir en témoignage des personnes qui luttent depuis longtemps, ou unmoins un certain temps contre la maladie. Mais en 1 h 30, on ne peut pas tout avoir, il faut faire des choix !

Que dire de la psychogénéalogie ? Il y a effectivement souvent récurrence de dates e de fait, mais savoir si c'est un préconditionnement inconscient ou si c'est juste une correspondance de la loi des probabilités (certaines de ces probabilité sont surprenantes), c'est un autre sujet.

Bon, c'est tout dans le désordre et ce reportage mériterait que je le regarde une seconde fois plus concentrée.

J'ai l'aiir de faire beaucoup de remarques négatives, mais je pense que meme si il est un peu trop "fleur bleu", c'est un bon canal de médiatisation et de démythifications de ces maladies. Une mise en évidence aussi de la souffrance que cela génére, pas seulement pour l'entourage, mais pour le patient lui -même.

Bises

Primo

[paumée]

Carolay02 nous avait déjà signalé cette émission où apparaît son psy actuel mais, manifestement, la date qu'elle nous avait donnée n'était pas la bonne.

Pour situer un peu, on suit Aurélie, victime de TOC, qui a choisi d'effectuer un séjour en clinique spécialisée. Le top semble-t-il effectivement cette clinique.
Jean-Marie vit reclus dans l'appartement de sa grand-mère dont il n'ouvre jamais les volets. Il a du mal à accorder sa confiance, se croit persécuté par le monde entier et n'a qu'un seul ami.
Séverine souffre d'un trouble "borderline".
Nordine, enfin, est bipolaire. Il met un mot sur sa pathologie en allant en clinique psy pour soigner ses troubles (hyperactif, faisant vivre l'enfer à sa famille...).

Bon, ça fait très "bande annonce" tout ça !!!

Des approximations quand même avec des pathologies toutes qualifiées de "troubles du comportement". Si j'ai bien suivi, Jean-Marie est schizophrène et souffre de troubles paranoïdes, moins graves que la paranoïa.
Moi aussi, primo, le terme "guérir" m'a fait sauter au plafond, d'autant que tout est bien qui finit bien. Effectivement, il faudrait revoir toutes ces personnes dans 6 mois ou un an pour faire le point et évaluer le chemin parcouru.
C'est fou ce que Nordine, le bipolaire, est vite soulagé. Epatante cette clinique. On peut même y pratiquer de la méditation et de l'art-thérapie.

Par contre, on se rend assez bien compte du quotidien de ces personnes. Jean-Marie et Séverine qui vivent volets fermés. Séverine qui ne se lève qu'à 15 heures et pour qui aller se promener est le bout du monde. Ca, je ne connais que trop bien.

[melody]

j'ai ecouter mais c'est trop long ,j'ai trop de fatigue

dommage j'aurai du avoir le programme télé

[Invité]

Bonjour,

@ melody, c'est l'avantage de regarder en vidéo. Tu peux t'arrêter quand tu veux.
Tu notes les minutes écoulées et tu reprends là où tu t'es arrêtée quand le vidéo est suffisamment téléchargé (avancement visible dans le bas).

Le format de ce reportage 'en vignette' se prête d'ailleurs très bien à ceci ; tu pourrais t'arrêter à chaque question lançant la suite, après le bout d'histoire de chaque personne. Tu pourrais ainsi regarder en 4 ou 5 fois si voir ce reportage qui t'intéresse.

Je suis désolée de te lire si fatiguée, donc toujours en convalescence de ton séjour à l'hôpital ?

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