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Douleur aiguë ou chronique

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Douleur aiguë ou chronique Empty Douleur aiguë ou chronique

Message  Invité Mar 15 Mai 2012 - 15:00

DOULEUR AIGUË, DOULEUR CHRONIQUE

QUIBERON
Hypnose, thérapie brève et communication thérapeutique

Du 17 Mai 2012 au 19 Mai 2012 :
4e congrès international « Hypnose et douleur » à l’initiative d’Émergences, institut de Formation et de Recherches en communication thérapeutique de Rennes.

Objectif : Acquérir les compétences pour développer une stratégie thérapeutique pour les patients souffrant de douleurs chroniques physiques.


Renseignements et inscriptions : tél. : 09 62 16 34 17
information@emergences-rennes.com - www.emergences-rennes.com

Comment traiter la douleur autrement qu'avec des médicaments ? Le centre hospitalier sensibilise son personnel
Samedi 24.03.2012 - La Voix du Nord http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Bethune/actualite/Secteur_Bethune/2012/03/24/article_comment-traiter-la-douleur-autrement-qu.shtml

Des alternatives existent pour pallier autrement la douleur comme la somato-pshychopédagogie. Démonstration jeudi à l'hôpital. | ON EN PARLE |

Les médicaments ne sont plus l'unique solution pour soigner ou apaiser la douleur. D'autres alternatives existent :

relaxation, aromathérapie, hypnose, somato-psychopédagogie... Des techniques déjà pratiquées au centre hospitalier, ou nouvelles, qui ont été présentées jeudi après-midi au personnel. Avant de les proposer au grand public.


« C'est une aide à la prise en charge globale de la douleur », estime le docteur Hassane Challi, chef du service d'anesthésie, qui préside le comité de lutte contre la douleur (CLUD). « L'idée de cette journée, c'est que chaque soignant reparte avec quelques outils concrets qu'il peut mettre en pratique au quotidien dans son service ou pour lesquels il se formera », souligne Clémentine Lefevre, psychologue et organisatrice de cette journée. « Car les médicaments ne traitent pas toute la douleur », précise le Dr Challi. Avantages reconnus de ces alternatives : améliorer le confort des patients et éviter les effets secondaires des médicaments.

Par exemple, l'aromathérapie est pratiquée au centre hospitalier de Béthune depuis deux ans. Au centre Germon, pour les personnes âgées. « On utilise les huiles essentielles pour la relaxation et pour les douleurs articulaires et musculaires. On a de bons résultats, informent Céline Ruzziconi et Catherine Ente. On attend d'avoir plus de recul pour l'étendre. »

« Pas de risque à essayer »

Déjà pratiquée aussi l'hypnose, notamment en complémentarité d'une petite sédation au bloc pour accompagner une opération, ou bien l'installation/positionnement aux urgences et en neurologie. « Une installation confortable au lit, à l'aide de différents coussins, permet de soulager ou de prévenir des douleurs, note Marie Deheegher, de l'équipe mobile de gériatrie. Les positions antalgiques ne sont pas forcément les positions naturelles du corps. Il faut les trouver avec ou pour le patient. » Des techniques toutes nouvelles étaient aussi présentées comme la somato-psychopédagogie. « Un nouveau métier en cours de reconnaissance . précise Nathalie Andry, infirmière en hémodialyse à l'hôpital. On travaille sur l'équilibre entre le corps et l'esprit à travers un traitement manuel suivi d'un échange entre le praticien et le patient. » Le Dr Challi a testé. « Je suis agréablement surpris. Ça peut aider un douloureux chronique plus ou moins stressé ou dépressif. » Et pour les sceptiques ? « A partir du moment où le personnel est formé et où ce sont des techniques qui ne sont pas du tout invasives, il n'y a pas de risque à essayer. »

Béthune centre de la douleur pour l'Artois ?

Une demande officielle a été faite pour que les consultations douleurs du centre hospitalier se transforment en centre de la douleur de référence pour le bassin Artois-Douaisis. Ça changerait beaucoup de choses : des moyens et des lits supplémentaires et du personnel dédié à cette structure.

Le Dr Challi a bon espoir. « Normalement, on remplit les conditions : le nombre de consultations (1 700 par an en moyenne), du personnel dédié et multidisciplinaire, des lits dédiés, un accès facile au plateau technique. » Béthune, qui a organisé sa première consultation douleur en 1983 et a été labellisé en 2004, est en concurrence avec Douai. Le verdict de l'Agence régionale de santé ne devrait pas trop tarder. ELSA LAMBERT-LIGIER

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