arreter de fumer?

[Invité]

L'étude a été menée avec 236 hommes et femmes qui étaient également des grands buveurs sociaux. Ils ont reçu des timbres de nicotine et des conseils sur l'abandon du tabac, puis accepté une date d'abandon; certains ont aussi reçu des conseils spécifiques pour réduire la consommation d'alcool. Ils passaient un test évaluant les symptômes de dépression une semaine avant la date d'arrêt, puis 2, 8, 16 et 28 semaines après cette date.

99 participants n'ont pas réussi à arrêter, 44 n'étaient abstinents qu'à l'évaluation 2 semaines après la date d'arrêt, 33 étaient toujours abstinents à l'évaluation 2 et 8 semaines après la date et 33 ont réussi à rester non fumeurs pour la durée entière de l'étude.

Chez ceux qui n'ont réussi à arrêter que temporairement, l'humeur était meilleure durant cette période. Après avoir recommencé leur humeur s'est détériorée. Dans certains cas les niveaux de tristesse étaient plus élevés qu'avant d'arrêter de fumer. Ceux qui n'ont jamais cessé de fumer sont demeurés les plus malheureux tout au long de l'étude alors que ceux qui ont réussi à maintenir leur abstinence étaient les plus heureux au départ et sont restés au même niveau.

Les changements du niveau de bonheur n'étaient pas corrélés à la réduction de la consommation d'alcool mais seulement avec à celle du tabac.

Les chercheurs recommandent aux fumeurs de considérer arrêter de fumer comme une étape vers une meilleure santé mentale autant que physique.

Voyez également:
Beaucoup plus de dépression chez les fumeurs
Le tabagisme associé à un risque plus élevé de dépression
DOSSIER Psychomédia : Arrêter de fumer
DOSSIER Psychomédia : Dépression

Psychomédia avec source:
Brown University
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Pr

[dominique]

Moi, je suis bien contente d'avoir eu l'envie de tout stopper tout ça, en plus avec cette nouvelle augmentation, là je me suis dit, ça commence à bien faire les augmentations, je me disais que j'avais déjà donné assez de sous à l'état, et je me disais que j'allais être plus maline que l'état. "il ne m'aura plus", "il me prendra plus mes sous". Et voilà, ça s'est mis en route facilement, mais disons que inconsciemment j'avais déjà fait une tentative de patchs au printemps, donc dans un petit coin de ma tête, je savais que c'est que de la connerie de fumer bètement, surtout en plus quand le portefeuille en prend un sale coup, quelques parts, mon père à pas tord quand il dit: "celui qui fume a pas besoin de se plaindre de manque d'argent".

Et si c'est bon pour le portefeuille, de toutes façons ça sert aussi à une meilleure santé. Quand on commence à avoir des aigreurs, ou remontées acide plus importantes, comme m'avait dit un toubib, "le tabac produit de l'acidité". Donc, voilà, j'en ai jusque mi-février avec des patchs. Bientot la fin d'une première boite de patchs de 21mg. Ca se passe plutot bien. Et le mieux c'est que aucun manque n'est là avec les patchs de 21mg, par contre des envies de grignoter chocolat ou pastille sucré par ci par là, mais bon ça fait partit des conséquences.

Maintenant, on verra la suite, mais normalement, je pense que on devrait tous en arriver là quand on voit ce que ça coute. Par contre bien sur, celui qui peut se le permettre selon ce qu'il gagne, bon, évidement ça te vient moins à l'esprit d'arrêter et pour peu que ça cause pas de problème de santé, alors, on continue.

Bises, domi.