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maladie d'alzeimer

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Message  Invité Jeu 28 Oct 2010 - 8:23

Alzheimer : Appliquer les alternatives efficaces aux neuroleptiques

De nombreux patients atteints de la maladie d'Alzheimer souffrent de troubles du comportement, pouvant aller jusqu'à de l'agressivité ou des cris. Face à ces problèmes, les soignants ont longtemps eu recours à des neuroleptiques. Mais aujourd'hui, on sait que dans ce cadre, ces médicaments sont inefficaces et dangereux. D'autres prises en charge sont possibles.

En France, les malades Alzheimer sont 6 fois plus exposés aux neuroleptiques que la population du même âge, et jusqu'à 9 fois plus pour les malades en établissements. Il existe pourtant des alternatives efficaces aux neuroleptiques pour prendre en charge les troubles du comportement chez les personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer et des pathologies apparentées. Ces techniques ne sont toutefois pas suffisamment connues et enseignées auprès des personnels des maisons de retraite, maisons médicalisées et des hôpitaux, qui continuent de prescrire massivement et à tort ces médicaments.
Une exposition aux neuroleptiques 6 fois plus élevée

Alzhimer alternatives neuroleptiquesLes troubles du comportement sont fréquents au cours de l'évolution de la maladie d'Alzheimer. Ainsi, parmi les résidents en Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EPHAD) ayant une maladie d'Alzheimer ou une maladie apparentée, 80 % présentent à un moment donné un trouble du comportement (25 % des troubles du comportement modérés et 10 % des troubles importants)1. Dans ce derniers cas, les patients se mettent à pousser des cris, s'agitent, deviennent agressifs, déambulent dans les couloirs des établissements… Face à cela, proches et soignants se sentent souvent démunis. Le recours aux neuroleptiques, malgré l'absence d'indication dans la prise en charge de ces troubles, est fréquent. "L'exposition aux neuroleptiques chez les patients Alzheimer est 6 fois plus élevée que dans la population saine du même âge, atteignant 18 % contre 3 %, explique le Dr Armelle Desplanques, responsable de l'unité Programmes Pilotes à la Haute Autorité de Santé (HAS)2. Or, la seule indication des neuroleptiques est le traitement des psychoses".

Jusqu'en 2005 environ, on croyait en effet que les neuroleptiques pouvaient constituer une réponse efficace à ces troubles. Mais depuis, des études ont montré que ces molécules étaient inefficaces et qu'elles exposaient les patients à des effets secondaires importants, supérieurs aux bénéfices escomptés. "Les neuroleptiques sont une mauvais réponse à une bonne question", résume Benoît Lavallart, gériatre chargé de la Mission de pilotage du Plan Alzheimer3. Ils augmentent la mortalité globale de 5 à 8 %, notamment à cause d'un plus grand risque d'accident vasculaire et surtout la sédation, avec les conséquences qu'elle entraîne : la fréquence des chutes multipliée par 8, les problèmes de communication…
Quelles alternatives aux neuroleptiques ?

Les troubles du comportement perturbent les patients, mais également leurs proches et les soignants. Soumis par ailleurs à un stress et une surcharge de travail, ces derniers n'ont pas toujours la patience nécessaire devant un refus de soins. "Il faut introduire un peu de souplesse et leur montrer que de nouvelles techniques de soins et les approches cognitivo-comportementales ont été validées d'un point de vue scientifique", préconise le Dr Desplanques.

"Les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer perdent souvent leurs capacités d'adaptation et ont tendance à ressentir comme une agression des choses banales", poursuit-elle. Et de prendre pour exemple la toilette, un moment très souvent mal vécu par les patients et les soignants. "Certains patients ne supportent pas l'eau. Or, on peut tout à fait faire les toilettes sans eau, avec des serviettes chaudes. On peut également modifier l'environnement et le rendre plus apaisant, en atténuant la luminosité et en assourdissant le bruit. Et pour les patients qui ne présentent pas de risque de fuguer ou de se perdre, on peut tout à fait les laisser déambuler dans les couloirs", assure la spécialiste. Même chose devant un refus de soins : finis l'autoritarisme et les techniques de contention, "il faut essayer de décaler les soins et prendre le temps de comprendre les réticences du patient", poursuit-elle.

Ces nouvelles techniques de soins visant à prévenir et gérer les troubles du comportement ont été développées en collaboration avec des médecins et des associations de patients, et mises en place grâce au Plan Alzheimer. Des études pilotes ont montré qu'une rapide formation des soignants (6 h) permettait de réduire de 60 % le nombre de chutes. Des techniques de réhabilitation ont également été développées pour préserver l'autonomie des patients en travaillant sur les capacités restantes et en fixant avec les proches les objectifs à atteindre. Résultat : les patients sont beaucoup plus autonomes et les familles beaucoup moins frustrées.
Réduire à 5 % la prescription de neuroleptiques

La Haute Autorité de Santé (HAS) a développé un programme destiné aux professionnels pour réduire les troubles associés aux neuroleptiques chez les patients Alzheimer4. Après avoir analysé les conditions de prescription de ces médicaments, l'organisme a mis au point différents outils d'amélioration : des recommandations de bonnes pratiques professionnelles, mais aussi des indicateurs à même de juger de l'impact des actions engagées pour résoudre ce problème de santé publique. Parmi ces outils d'évaluation, le programme Alerte et Maîtrise de l'Iatrogénie - AMI5 repose en particulier sur le repérage des patients sous neuroleptiques, ce qui constitue un indicateur d'alerte, et sur le nombre de prescriptions confirmées, qui témoigne de la maîtrise de la prescription."L'idée est d'inciter les professionnels de santé à réviser leurs prescriptions et de s'assurer qu'elles sont appropriées".

Au niveau national, le taux de prescription chronique des neuroleptiques chez les patients Alzheimer reste très élevé, à 16,1 % en 2008. Un taux en baisse par rapport à 2007 (16,9 %), qui pour le Dr Desplanques, constitue une "tendance encourageante" qu'il convient de confirmer et d'accentuer dans les années à venir ; Un impératif si l'on veut atteindre l'objectif ambitieux de 5 % que s'est fixé la HAS (contre 2,9 % pour la population générale âgée).

Amélie Pelletier- 20 octobre 2010

1 - Plan Alzheimer (site du ministère de la Santé).
2 - Interview du Dr Armelle Desplanques.
3 - Quelle est la problématique des neuroleptiques dans la maladie d'Alzheimer ?, Dr Benoît Lavallart, Chargé de mission Alzheimer (accessible en ligne).
4 - Dossier de presse de la HAS - Limiter la prescription de neuroleptiques dans la maladie d'Alzheimer (accessible en ligne)

F

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Message  Invité Mer 21 Sep 2011 - 14:58

Un train pour informer sur la maladie d'Alzheimer

Mots clés : PLAN ALZHEIMER, ALZHEIMER, TRAIN ALZHEIMER 2011, FRANCE, INFORMATION
Par Martine Perez Publié le 20/09/2011
Figaro
INFOGRAPHIE - Pour la deuxième année, le train Alzheimer 2011 s'arrêtera dans quinze villes de France. À chaque étape, des informations pratiques et adresses utiles seront proposées aux malades ou à leurs familles.


Quand Aloïs Alzheimer a découvert la maladie portant désormais son nom, il n'imaginait sans doute pas qu'elle deviendrait un des problèmes de santé publique les plus aigus du XXIe siècle: 800.000 malades en France, plus de 35 millions dans le monde et des chiffres qui ne font qu'augmenter avec l'espérance de vie. Pourtant, encore aujourd'hui bien peu de personnes connaissent les enjeux liés à cette affection, les symptômes réels, la durée d'évolution, les lésions du cerveau qu'elle entraîne, les aides mises à la disposition des malades et de leurs familles… C'est tout l'objectif du train Alzheimer 2011, lancé pour la deuxième année à l'initiative de Train Expo SNCF, qui sillonnera la France dès mercredi, à l'occasion de la Journée mondiale contre la maladie, avec des étapes dans quinze villes, pour informer la population.
Lésions cérébrales précises

Parrainé par la chanteuse Patricia Kaas et le réalisateur Claude Lelouch, le train, qui partira mercredi de la gare du Nord, à Paris, en présence de Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités, rejoindra Metz vendredi, puis Strasbourg, Dijon, Chambéry, Lyon, Nice, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Limoges, Angers, Rennes, Caen, pour terminer son périple à Lille, le 6 octobre. À Paris, il sera accessible au public mercredi à partir de 14 heures.

Le train sera composé de sept voi­tures consacrées à la maladie et à la recherche. Il permettra à ses visiteurs d'apprendre que cette affection, qui se traduit par la perte progressive de la mémoire et une détérioration lente des fonctions intellectuelles, est caractérisée par des lésions cérébrales précises. En particulier par l'apparition de plaques d'amyloïde entre les neurones et une accumulation de neurofibrilles à l'intérieur de ces cellules nerveuses conduisant à leur destruction. Les experts restent cependant partagés sur l'origine de ces lésions. Sont-elles la cause ou seulement la conséquence de la maladie?

Une des voitures est consacrée au Plan Alzheimer (doté de 1,6 milliard d'euros), élaboré sur les bases des travaux du professeur Joël Ménard, qui vise à améliorer la qualité de vie des malades et de ceux qui les aident, leur famille, conjoint ou enfant en général, dans 70% des cas. Si pour l'instant la médecine reste impuissante à enrayer la maladie, il est clair qu'une prise en charge adaptée permet d'optimiser le confort des malades, en palliant notamment leur perte d'autonomie. En particulier, une consultation d'annonce de la maladie, notamment à la famille, a été mise en place: il s'agit de mieux l'éclairer sur l'accompagnement médical, psychologique et social dont le malade pourra bénéficier. Une porte d'entrée unique dans le système de prise en charge est d'ores et déjà proposée dans certains départements à travers les MAIA (Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades d'Alzheimer).

Des experts dans le train pourront répondre à toutes les questions. Selon ses organisateurs, le train Alzheimer «fera un focus sur les solutions concrètes de prise en charge sociale, destinées à faciliter le parcours du malade». Sur le plan scientifique, il passera en revue les apports de l'imagerie cérébrale pour diagnostiquer la maladie et permettre un suivi des malades. À chaque étape, des informations pratiques et adresses utiles seront proposées aux malades ou à leurs familles.


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maladie d'alzeimer Empty La pertinence du diagnostic précoce de l'Alzheimer mise en doute

Message  Invité Mer 27 Juin 2012 - 9:34

La pertinence du diagnostic précoce de l'Alzheimer mise en doute
Soumis par Gestion le 25 juin 2012

Le Collège national français des généralistes enseignants (CNGE) met en doute, dans un communiqué en date du 19 juin, la pertinence de la recommandation de la Haute autorité de santé (HAS) que les médecins généralistes dépistent les maladies d’Alzheimer et apparentées en cas de troubles de la mémoire qui peuvent être des symptômes de la phase de troubles cognitifs légers (TCL) (ou déficit cognitif léger) ou de démence.

La maladie d’Alzheimer se développe en trois phases :

- La phase préclinique qui est pré-symptomatique, bien que les mécanismes pathologiques de la maladie soient enclenchés, dont la prévalence est inconnue.

- La phase des troubles cognitifs légers (TCL) caractérisée par des problèmes de mémoire et d'autres problèmes cognitifs plus importants que le déclin cognitif normal dû à l'âge, qui sont assez importants pour être remarqués et mesurés mais pas assez pour compromettre l'indépendance d'une personne. La prévalence des TCL est estimée entre 5 et 29 % de la population selon les critères utilisés, indique le CNGE. Ces troubles sont un facteur de risque d’évolution vers une démence, dans une proportion mal connue.

- La démence qui correspond à ""des troubles cognitifs multiples avec retentissement social"". Environ la moitié des personnes atteintes seulement seraient diagnostiquées.

Alors que la démarche diagnostique est complexe, la HAS ne précise pas les critères diagnostiques des TCL, indique le CNGE, ""ce qui peut conduire à des prises en charges variables en soins primaires et mener à des bilans neuropsychologiques, parfois invasifs, alors qu’il n’existe actuellement aucun traitement validé de ces troubles"".

Selon la HAS, ""le diagnostic des TCL permettrait aux médecins généralistes de préserver la qualité de vie du patient et de ses aidants et de circonscrire les situations de crise à venir"". Une hypothèse qui n’est pas validée, souligne le CNGE.

Le conseil scientifique du CNGE demande que:

""les recommandations de la HAS sur le diagnostic de la maladie d’Alzheimer et apparentées soient fondées sur des preuves plus robustes sur le bénéfice de la prise en charge des patients à chaque stade de leur maladie, en particulier au stade précoce"".
""des projets de recherche soient financés pour préciser l’intérêt éventuel du diagnostic précoce pour les patients"".

Des spécialistes internationaux soulignent régulièrement que le diagnostic précoce de la maladie est plus utile aux compagnies pharmaceutiques qui souhaitent tester les médicaments expérimentaux à des stades précoces de la maladie qu'aux patients.

En ce qui concerne la HAS, rappelons qu'elle a dû, en mai 2011, retirer sa recommandation du recours aux médicaments pour la prise en charge de l'Alzheimer en raison des conflits d'intérêts qui entachaient cette recommandation et du peu d'efficacité de ces médicaments qu'elle reconnaissait.
Dans un communiqué publié en septembre 2011, le CNGE ne recommandait pas le dépistage de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées, mais une approche diagnostique en fonction du bénéfice attendu pour le patient. Il soulignait que les batteries d’examens utilisées en milieu spécialisé pour une évaluation neuropsychologique approfondie sont encore insuffisamment validées, et peuvent conduire à des diagnostics erronés.

http://www.psychomedia.qc.ca/maladie-d-alzheimer/2012-06-25/diagnostic-precoce-controverse

Voir liens : https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/search?mode=searchbox&search_keywords=alzheimer&show_results=topics

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maladie d'alzeimer Empty Mieux comprendre l'Alzheimer et mieux aider: 36 projets de recherche subventionnés

Message  Invité Lun 9 Juil 2012 - 10:15

Mieux comprendre l'Alzheimer et mieux aider: 36 projets de recherche subventionnés
Soumis par Gestion le 8 juillet 2012
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36 chercheurs ont reçu une subvention de la Société Alzheimer du Canada dans le cadre de son Programme de recherche 2012. Ces subventions représentent $ 3,4 millions d'investissement.

Parmi ces chercheurs, Patricia Leighton de l'Université de l'Alberta a obtenu une bourse doctorale pour étudier, chez le poisson zèbre, les mécanismes de toxicité de la protéine bêta-amyloïde dont l'accumulation dans les cellules du cerveau est une caractéristique de la maladie. Ces travaux pourraient fournir des indices pertinents pour le développement de nouveaux traitements.

D'autres bénéficiaires étudient notamment les liens pouvant exister entre l'obésité, le diabète et les troubles cognitifs; les bienfaits de l'exercice cardiovasculaire sur la réserve cognitive; les technologies fonctionnelles pour aider les personnes atteintes de troubles cognitifs à préserver leur autonomie; et les effets des technologies combinées aux ultrasons et à l'IRM pour promouvoir la croissance neuronale.

D'autres études portent sur des approches d'intervention et de soutien auprès des malades et de leurs aidants; des approches de communication entre le personnel des foyers de soins de longue durée et les résidents atteints de démence ou encore les mesures de soutien à apporter au personnel; la thérapie cognitive fondée sur la pleine conscience pour améliorer les symptômes de dépression et la qualité de vie des personnes atteintes de la maladie et de leurs aidants naturels…

Après l'âge de 65 ans, souligne la Société Alzheimer, le risque d'être atteint de la maladie double tous les cinq ans.

Pour plus d'informations sur les 36 subventions accordées, voyez, sur le site de la Société Alzheimer du Canada: Subventions de recherche et bourses de formation 2012.



http://www.psychomedia.qc.ca/maladie-d-alzheimer/2012-07-08/projets-subventionnes-societe-alzheimer-du-canada

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Message  etienne Lun 9 Juil 2012 - 18:05

Mon père et mort de la maladie d'Alzeimer.

Merci pour cet article qui éclaire son cheminement.
Il a assisté, à 89 ans, aux obsèques de sa femme.

Le lendemain, comme il ne la voyait plus dans leur maison de retraite, , il a demandé comment elle se comportait.
Mon frère a eu la réponse fulgurante : très bien, elle va bien".

Deux mois après, il est décédé Alzheimer. Il ne me reconnaissait plus, il était dans un lit cage, portait une simple protection et parlait tout seul.

Cette maladie guette chacun de nous. Au stade ultime, il ne reste qu'a tenir la main du mourant. Mais je n'ai pas su le faire. j'ai fuit

Bises

Etienne
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Age : 70
Type troubles : troubles disthymiques, troubles mixtes
Emploi / Statut : retraité education nationale depuis 2016
Date d'inscription : 28/05/2008

https://bipolairemd2008.forum-actif.eu/t861-temoignage-etienne

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Message  bababipo Sam 11 Aoû 2012 - 21:28

On peut aussi trouver quelques infos sur Alzheimer ici :

http://alzheimersurordo.sosblog.fr

http://mythe-alzheimer.over-blog.com

bababipo

Masculin Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 18/05/2011

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maladie d'alzeimer Empty De nouvelles recherches montrent qu’Alzheimer ne serait en fait qu’un diabète de type 3

Message  Invité Mer 22 Aoû 2012 - 16:15

De nouvelles recherches montrent qu’Alzheimer ne serait en fait qu’un diabète de type 3


maladie d'alzeimer Xurvoq10

Des recherches récentes sur la fréquente maladie cérébrale dégénérative connue sous le nom de maladie d’Alzheimer suggèrent que cette forme répandue de démence serait en réalité une variété de diabète. Publiée dans le Journal de la Maladie d’Alzheimer, une étude récente faite à l’Hôpital de Rhode Island (RIH) confirme que la maladie d’Alzheimer est marquée par une résistance cérébrale à l’insuline et une inflammation correspondante, maladie que certains chercheurs nomment aujourd’hui diabète de type 3.

C’est le Dr Suzanne de la Monte de l’Hôpital de Rhode Island (RIH) qui a effectué cet intéressant lien, elle a trouvé dans ses recherches que le diabète est associé de près à plusieurs facteurs neuronaux-clés impliqués dans la démence. Il apparaît que la progression de l’Alzheimer résulterait d’une résistance du cerveau à l’insuline, ce qui à son tour perturbe le métabolisme normal des lipides. Avec le temps, ces lipides s’accumulent dans le cerveau au lieu d’être correctement absorbés, ce qui conduit à une augmentation de contrainte et à de l’inflammation, symptômes semblables à ceux communément associés à la démence.

Cette étude indique qu’une fois établi le diagnostic de maladie d’Alzheimer, les efforts thérapeutiques devraient cibler plusieurs voies et non une seule, dit le Dr de la Monte. »La raison est qu’une boucle feedback positive s’installe, faisant progresser la maladie. Il faut briser ce cercle vicieux. Restaurer une réponse à l’insuline et réduire ce taux d’insuline serait une aide, mais il faut d’abord réduire la contrainte cérébrale et réparer les problèmes métaboliques qui conduisent le cerveau à produire des toxines. » ...

Arrow http://lesmoutonsenrages.fr/2012/08/18/de-nouvelles-recherches-montrent-qualzheimer-ne-serait-en-fait-quun-diabete-de-type-3/


Arrow http://www.scoop.it/t/medecine-psychiatrie

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