Reportage Beaune 2003 (26-28 septembre)
2 participants
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Reportage Beaune 2003 (26-28 septembre)
…Bonjour à toutes et à tous !
Le voilà, le reportage sur la réunion de quelques uns d'entre nous à Beaune !
Avertissements :
Certaines personnes — et nous les comprenons parfaitement — ont demandé une discrétion sur leurs noms comme sur leurs visages. Nous respecterons leur anonymat.
L'énumération des participants se fera généralement de la gauche vers la droite.
Afin de ne pas alourdir le présent message, certains événements ont été exportés en annexes/réponses (cliquer sur les séquences en caractères gras+italiques).
Il y a une semaine, huit d'entre nous, plus ou moins accompagnés, se retrouvent à Beaune (sous préfecture de la Côte d'Or, d'environ 23 000 âmes) : Zorotte et son ami X., Sigrid, Pierrot et sa compagne Liliane, Nathalie, Mireille et son ami François, Mexalibur et son épouse Y., Marie-Paule et son mari P… ainsi qu'Anne-Laure leur petite troisième, Jacques.
C'est le samedi 27, en début de soirée, que Marie-Paule, Pierrot et les leurs se joindront au groupe formé la veille.
Sigrid qui nous vient du plus loin est la première arrivée à l'hôtel, notre lieu de rendez-vous. Vers 17H30, nous sommes déjà 5 membres réunis autour d'une excellente tarte au citron confectionnée par Nathalie, puis autour d'une table, en plein air :
Sigrid, Jacques, François et Mireille, Zorotte et X.
Déjà une bonne ambiance !
Le couple Mexalibur arrive ensuite et s'intégre tout de suite.
Au soir, repas très sympathique dans une cafeteria proche :
François, Y., Mireille, Sigrid, Jacques, Mexalibur et X.
Après une bonne nuit, le petit déjeuner du 27…
Sigrid, Jacques, Mexalibur, Mireille, Y., X., Zorotte et François
Le plein fait, en route pour (clique ici) la moutarderie Fallot !
À l'issue de cette première visite, de reprendre les voitures pour mieux les stationner, et zou ! descente dans le centre ville, place Carnot — zone piétonne —, en plein marché et en pleine brocante, le temps d'aller s'asseoir à la table d'un restaurant rue Monge, célèbre mathématicien.
François, Mireille, Sigrid, Y., Zorotte, Mexalibur, Jacques et X.
Par l'autre bout de la lorgnette Y., Mexalibur, Jacques, X., Zorotte, Sigrid, Nathalie, Mireille et François
Un vol de chauve souris plus tard, — dans la salle du restaurant, véridique ! —, et zou ! nous retournons aux voitures… via la rue Carnot, puis la rue de Lorraine…
À gauche, la chapelle de l'oratoire.
au sommet, son "Arc de triomphe"…
En route pour le nord-est de Beaune, direction (clique ici) l'abbaye Notre-Dame de Cîteaux, à une trentaine de kilomètres, au milieu de la forêt dont elle tire son nom.
Retour et, furtivement, sur les remparts ceinturant la vieille ville, une «échauguette» :
Puis visite au sud-ouest de Beaune à une viticultrice de Monthelie, bientôt centenaire, (clique ici) Melle Douhairet. Son fils adoptif nous fait déguster quelques petites merveilles.
Quelques achats plus tard, et zou ! en route pour Meursault — une poignée de vignobles plus bas - où nous attendent (clique ici) le Relais de la Diligence, mais surtout Marie-Paule et les siens, puis où nous rejoignent un Pierrot bien fatigué et sa Liliane.
Un dîner certes long, mais une bonne soirée !
Ouf !… trop fatigués pour nous offrir un Beaune by night… Au lit !
Et voilà le dimanche 28. La recette est bonne, on prend les mêmes et on recommence. Petit déjeuner…
Liliane, Zorotte, X., P…, Marie-Paule, Anne-Laure et Pierrot
Pierrot, François, Mireille, Sigrid et Jacques
Départ pour notre dernière demi-journée… Au passage, à la limite de la vieille ville, la Bouzaise, rivière qui trouve sa source à Beaune (tout comme l'Aigue)…
Et maintenant, le morceau du roi : (clique ici) les hospices de Beaune ou encore Hôtel-Dieu 1ère partie, (clique ici) (2ème partie) - (clique ici) (3ème partie).
Suivis sur le poteau par le (clique ici) musée du Vin…
Tout cela donne faim. Avant de se séparer — ce n'est qu'un au revoir — repas à la terrasse d'un café :
De nouveau à table ! Au premier plan, notre guide aux Hospices.
Tables avec vue sur l'Hôtel-Dieu !
Mais qu'est-ce qu'il a celui-là ?
Cinq minutes en ballon, pour la mucoviscidose…
Le visio-train permet de faire le tour de la vieille ville.
Sûr à refaire ! ailleurs et avec qui voudra/pourra !
Le voilà, le reportage sur la réunion de quelques uns d'entre nous à Beaune !
Avertissements :
Certaines personnes — et nous les comprenons parfaitement — ont demandé une discrétion sur leurs noms comme sur leurs visages. Nous respecterons leur anonymat.
L'énumération des participants se fera généralement de la gauche vers la droite.
Afin de ne pas alourdir le présent message, certains événements ont été exportés en annexes/réponses (cliquer sur les séquences en caractères gras+italiques).
Il y a une semaine, huit d'entre nous, plus ou moins accompagnés, se retrouvent à Beaune (sous préfecture de la Côte d'Or, d'environ 23 000 âmes) : Zorotte et son ami X., Sigrid, Pierrot et sa compagne Liliane, Nathalie, Mireille et son ami François, Mexalibur et son épouse Y., Marie-Paule et son mari P… ainsi qu'Anne-Laure leur petite troisième, Jacques.
C'est le samedi 27, en début de soirée, que Marie-Paule, Pierrot et les leurs se joindront au groupe formé la veille.
Sigrid qui nous vient du plus loin est la première arrivée à l'hôtel, notre lieu de rendez-vous. Vers 17H30, nous sommes déjà 5 membres réunis autour d'une excellente tarte au citron confectionnée par Nathalie, puis autour d'une table, en plein air :
Sigrid, Jacques, François et Mireille, Zorotte et X.
Déjà une bonne ambiance !
Le couple Mexalibur arrive ensuite et s'intégre tout de suite.
Au soir, repas très sympathique dans une cafeteria proche :
François, Y., Mireille, Sigrid, Jacques, Mexalibur et X.
Après une bonne nuit, le petit déjeuner du 27…
Sigrid, Jacques, Mexalibur, Mireille, Y., X., Zorotte et François
Le plein fait, en route pour (clique ici) la moutarderie Fallot !
À l'issue de cette première visite, de reprendre les voitures pour mieux les stationner, et zou ! descente dans le centre ville, place Carnot — zone piétonne —, en plein marché et en pleine brocante, le temps d'aller s'asseoir à la table d'un restaurant rue Monge, célèbre mathématicien.
François, Mireille, Sigrid, Y., Zorotte, Mexalibur, Jacques et X.
Par l'autre bout de la lorgnette Y., Mexalibur, Jacques, X., Zorotte, Sigrid, Nathalie, Mireille et François
Un vol de chauve souris plus tard, — dans la salle du restaurant, véridique ! —, et zou ! nous retournons aux voitures… via la rue Carnot, puis la rue de Lorraine…
À gauche, la chapelle de l'oratoire.
au sommet, son "Arc de triomphe"…
En route pour le nord-est de Beaune, direction (clique ici) l'abbaye Notre-Dame de Cîteaux, à une trentaine de kilomètres, au milieu de la forêt dont elle tire son nom.
Retour et, furtivement, sur les remparts ceinturant la vieille ville, une «échauguette» :
Puis visite au sud-ouest de Beaune à une viticultrice de Monthelie, bientôt centenaire, (clique ici) Melle Douhairet. Son fils adoptif nous fait déguster quelques petites merveilles.
Quelques achats plus tard, et zou ! en route pour Meursault — une poignée de vignobles plus bas - où nous attendent (clique ici) le Relais de la Diligence, mais surtout Marie-Paule et les siens, puis où nous rejoignent un Pierrot bien fatigué et sa Liliane.
Un dîner certes long, mais une bonne soirée !
Ouf !… trop fatigués pour nous offrir un Beaune by night… Au lit !
Et voilà le dimanche 28. La recette est bonne, on prend les mêmes et on recommence. Petit déjeuner…
Liliane, Zorotte, X., P…, Marie-Paule, Anne-Laure et Pierrot
Pierrot, François, Mireille, Sigrid et Jacques
Départ pour notre dernière demi-journée… Au passage, à la limite de la vieille ville, la Bouzaise, rivière qui trouve sa source à Beaune (tout comme l'Aigue)…
Et maintenant, le morceau du roi : (clique ici) les hospices de Beaune ou encore Hôtel-Dieu 1ère partie, (clique ici) (2ème partie) - (clique ici) (3ème partie).
Suivis sur le poteau par le (clique ici) musée du Vin…
Tout cela donne faim. Avant de se séparer — ce n'est qu'un au revoir — repas à la terrasse d'un café :
De nouveau à table ! Au premier plan, notre guide aux Hospices.
Tables avec vue sur l'Hôtel-Dieu !
Mais qu'est-ce qu'il a celui-là ?
Cinq minutes en ballon, pour la mucoviscidose…
Le visio-train permet de faire le tour de la vieille ville.
Sûr à refaire ! ailleurs et avec qui voudra/pourra !
La moutarderie Fallot
La moutarderie Fallot est une maison indépendante, familiale et bourguignonne depuis 1840, la seule encore située dans ses bâtiments d'origine.
La Maison Fallot continue à broyer les graines (Sinapis arvensis) grâce à des meules de pierre, préservant ainsi à la pâte toutes les qualités gustatives.
La visite s'effectue dans le bâtiment napoléonien d'origine. C'est un voyage dans le monde artisanal des moutardiers du XIXè siècle. Les lieux de fabrication sont interdits au public pour raison d'hygiène.
Le stand d'exposition et d'explication.
Des graines, du vinaigre, du sel et de l'eau… Au travail pour une fabrication très très artisanale !
Mireille, Mexalibur, X., Jacques, Sigrid, François, Nathalie.
Jacques, Mireille.
Jacques, François.
Zorotte, François, X.
À l'étage, le musée : laveuse-essoreuse, balance, broyage à la meule de pierre, tamis…
Mireille, Nathalie, Zorotte, Mexalibur, Sigrid
Pour terminer, la dégustation,
et la sortie…
Sigrid, Mireille, Y., Mexalibur, Jacques, X. et Zorotte
La Maison Fallot continue à broyer les graines (Sinapis arvensis) grâce à des meules de pierre, préservant ainsi à la pâte toutes les qualités gustatives.
La visite s'effectue dans le bâtiment napoléonien d'origine. C'est un voyage dans le monde artisanal des moutardiers du XIXè siècle. Les lieux de fabrication sont interdits au public pour raison d'hygiène.
Le stand d'exposition et d'explication.
Des graines, du vinaigre, du sel et de l'eau… Au travail pour une fabrication très très artisanale !
Mireille, Mexalibur, X., Jacques, Sigrid, François, Nathalie.
Jacques, Mireille.
Jacques, François.
Zorotte, François, X.
À l'étage, le musée : laveuse-essoreuse, balance, broyage à la meule de pierre, tamis…
Mireille, Nathalie, Zorotte, Mexalibur, Sigrid
Pour terminer, la dégustation,
et la sortie…
Sigrid, Mireille, Y., Mexalibur, Jacques, X. et Zorotte
Dernière édition par Jacques le Mer 19 Sep 2012 - 17:41, édité 2 fois
L'Abbaye Notre-Dame de Cîteaux
Une brève histoire de l'abbaye Notre-Dame de Cîteaux…
nent la France. L'abbaye vient de subir trois pillages successifs, en 1589 puis en 1595. Ceci, joint aux pressions de la fiscalité, atteint fortement l'économie de l'abbaye. Pour relever les ruines, les moines doivent vendre quelques-unes de leurs propriétés. Pourtant, au début du seizième siècle, Cîteaux compte encore 200 personnes
1698 À cette date, il n' y a plus que 72 moines profès à Cîteaux.
Le "Siècle des Lumières" développe dans certaines couches de la société, une hostilité ouverte au monachisme : on reproche aux moines leur inutilité.
La Révolution précipite ce mouvement de discrédit. Confisquée, l'abbaye est vendue en 1791 à des spéculateurs qui la pilleront, la démantèleront pour en vendre les pierres. Ce qui en reste devient successivement un château, une sucrerie, un phalanstère et une colonie pénitentiaire pour enfants, oeuvre du Père Rey, qui continuera à exploiter jusqu'aux pierres de fondation des anciens bâtiments pour construire l'église.
Durant les tristes événements de la Révolution, 24 moines issus de la Trappe, réfugiés à la Valsainte, en Suisse, sont contraints d'entreprendre une aventure prodigieuse qui les conduit jusqu'en Russie. Cette odyssée assure la continuité de la vie cistercienne réformée, car dès la chute de Napoléon, le retour s'organise et de nouvelles abbayes sont fondées.
Des anciens bâtiments, seuls ont échappé à la destruction complète: une partie de la bibliothèque du XVème, le Définitoire du XVIIème et le grand bâtiment du XVIIIème, édifié par l'architecte Lenoir, où logent actuellement les moines.»
L'entrée de la «salle de lecture», reproduction du mode vie des moines.
Vus de loin, les deux bâtiments restants, datant d'avant la Révolution.
Proche, l'emplacement de la première église.
Façade du premier bâtiment.
À l'intérieur, une maquette
Une salle d'écriture. Les moines étaient spécialisés en écritures et reproductions.
Au 1er étage, une salle d'exposition de reproductions d'écritures et enluminures.
Le deuxième bâtiment, à rénover, abrite une exposition des différents travaux des moines.
Un moine. Le plus âgé a 86 ans et le plus jeune 25. Les trapistes assassinés en Algérie il y a peu d'années étaient de leur famille.
«Actuellement, l'Abbaye de Cîteaux, redevenue la Maison-Mère de la Famille Cistercienne, est une communauté de l'Ordre des Cisterciens de la Stricte Observance, qui compte environ 35 membres.»
nent la France. L'abbaye vient de subir trois pillages successifs, en 1589 puis en 1595. Ceci, joint aux pressions de la fiscalité, atteint fortement l'économie de l'abbaye. Pour relever les ruines, les moines doivent vendre quelques-unes de leurs propriétés. Pourtant, au début du seizième siècle, Cîteaux compte encore 200 personnes
1698 À cette date, il n' y a plus que 72 moines profès à Cîteaux.
Le "Siècle des Lumières" développe dans certaines couches de la société, une hostilité ouverte au monachisme : on reproche aux moines leur inutilité.
La Révolution précipite ce mouvement de discrédit. Confisquée, l'abbaye est vendue en 1791 à des spéculateurs qui la pilleront, la démantèleront pour en vendre les pierres. Ce qui en reste devient successivement un château, une sucrerie, un phalanstère et une colonie pénitentiaire pour enfants, oeuvre du Père Rey, qui continuera à exploiter jusqu'aux pierres de fondation des anciens bâtiments pour construire l'église.
Durant les tristes événements de la Révolution, 24 moines issus de la Trappe, réfugiés à la Valsainte, en Suisse, sont contraints d'entreprendre une aventure prodigieuse qui les conduit jusqu'en Russie. Cette odyssée assure la continuité de la vie cistercienne réformée, car dès la chute de Napoléon, le retour s'organise et de nouvelles abbayes sont fondées.
Des anciens bâtiments, seuls ont échappé à la destruction complète: une partie de la bibliothèque du XVème, le Définitoire du XVIIème et le grand bâtiment du XVIIIème, édifié par l'architecte Lenoir, où logent actuellement les moines.»
L'entrée de la «salle de lecture», reproduction du mode vie des moines.
Vus de loin, les deux bâtiments restants, datant d'avant la Révolution.
Proche, l'emplacement de la première église.
Façade du premier bâtiment.
À l'intérieur, une maquette
Une salle d'écriture. Les moines étaient spécialisés en écritures et reproductions.
Au 1er étage, une salle d'exposition de reproductions d'écritures et enluminures.
Le deuxième bâtiment, à rénover, abrite une exposition des différents travaux des moines.
Un moine. Le plus âgé a 86 ans et le plus jeune 25. Les trapistes assassinés en Algérie il y a peu d'années étaient de leur famille.
«Actuellement, l'Abbaye de Cîteaux, redevenue la Maison-Mère de la Famille Cistercienne, est une communauté de l'Ordre des Cisterciens de la Stricte Observance, qui compte environ 35 membres.»
Dernière édition par Jacques le Sam 19 Mar 2011 - 5:06, édité 1 fois
Chez Melle Douhairet, viticultrice
À Monthelie, parmi d'autres petits viticulteurs, Melle Douhairet, bientôt centenaire, et son fils adoptif… Une ambiance familiale… Le silence, quelques mots, puis les escaliers vers un domaine feutré… sans se cogner la tête… Alors, une lente montée vers de pures merveilles.
La scène…
… les coulisses.
François, notre connaisseur !
Un magnifique crachoir.
Zorotte rince deux verres pour les premiers crus.
La scène…
… les coulisses.
François, notre connaisseur !
Un magnifique crachoir.
Zorotte rince deux verres pour les premiers crus.
Dernière édition par Jacques le Dim 26 Aoû 2012 - 19:47, édité 2 fois
Le Relais de la Diligence
Le Relais de la Diligence, un restaurant établi dans un ancien relais de poste.
Des retrouvailles, Jacques, Marie-Paule et Anne-Laure.
Photo de famille, sauf Nathalie qui prend la photo : Mireille, François, X., Zorotte, Sigrid, Mexalibur, Y., P…, Marie-Paule, Jacques et Anne-Laure.
Quelques marches avant les salles.
Chouette, une grande table ! Quelle tablée !
Ils sont arrivés ! Pierrot et Liliane !
Un aparté comme nous ne les comptions plus.
Humm ! un filet de sandre !
Sigrid cherche un peu de repos.
Des retrouvailles, Jacques, Marie-Paule et Anne-Laure.
Photo de famille, sauf Nathalie qui prend la photo : Mireille, François, X., Zorotte, Sigrid, Mexalibur, Y., P…, Marie-Paule, Jacques et Anne-Laure.
Quelques marches avant les salles.
Chouette, une grande table ! Quelle tablée !
Ils sont arrivés ! Pierrot et Liliane !
Un aparté comme nous ne les comptions plus.
Humm ! un filet de sandre !
Sigrid cherche un peu de repos.
Dernière édition par Jacques le Sam 19 Mar 2011 - 5:18, édité 1 fois
Les Hospices de Beaune (1)
«Au 15è siècle, la Foi était profonde. Bouleversé par la misère de la ville le Chancelier Nicolas Rolin décida, en 1443, d'ériger une Maison-Dieu dans laquelle les malheureux trouveraient asile et soins à perpétuité.»
Nicolas Rolin et son épouse Guigone de Salins.
L'Hôtel-Dieu ou aussi Hospices de Beaune est le monument le plus célèbre de Beaune, et figure parmi les 15 les plus visités de France.
C'est nous qu'on arrive !…
Sur la façade, un auvent nous accueille.
Mieux vaut avoir une petite idée des lieux…
Dès les premiers pas, la Cour d'Honneur.
C'est par là que nous rejoindrons la première salle.
Un rapide coup d'œil en arrière…
Et c'est l'entrée dans l'immense Salle des Pôvres, longue de 72 mètres, large de 14 et haute de 16.
Une charpente extraordinaire.
La partie consacrée aux malades mesure quelques 50 mètres. En période critique, il pouvait y avoir deux malades par lit (plus pratique pour avoir chaud l'hiver…)
De très beaux meubles.
Vaisselle et ustensiles en étain ou en cuivre, pour éviter la casse.
La vie autrefois.
La deuxième partie de la Salle des Pôvres, la Chapelle, permettait aux pensionnaires d'assister aux offices sans avoir à se déplacer. C'est ici qu'était exposé autrefois le polyptyque du «Jugement dernier».
…
Nicolas Rolin et son épouse Guigone de Salins.
L'Hôtel-Dieu ou aussi Hospices de Beaune est le monument le plus célèbre de Beaune, et figure parmi les 15 les plus visités de France.
C'est nous qu'on arrive !…
Sur la façade, un auvent nous accueille.
Mieux vaut avoir une petite idée des lieux…
Dès les premiers pas, la Cour d'Honneur.
C'est par là que nous rejoindrons la première salle.
Un rapide coup d'œil en arrière…
Et c'est l'entrée dans l'immense Salle des Pôvres, longue de 72 mètres, large de 14 et haute de 16.
Une charpente extraordinaire.
La partie consacrée aux malades mesure quelques 50 mètres. En période critique, il pouvait y avoir deux malades par lit (plus pratique pour avoir chaud l'hiver…)
De très beaux meubles.
Vaisselle et ustensiles en étain ou en cuivre, pour éviter la casse.
La vie autrefois.
La deuxième partie de la Salle des Pôvres, la Chapelle, permettait aux pensionnaires d'assister aux offices sans avoir à se déplacer. C'est ici qu'était exposé autrefois le polyptyque du «Jugement dernier».
…
Dernière édition par Jacques le Sam 19 Mar 2011 - 5:36, édité 1 fois
Les Hospices de Beaune (2)
…
Bref passage par la Cour d'Honneur et son puits (unique point d'eau pendant des siècles)…
… avant d'entrer dans la Salle Saint-Hugues créée en 1645.
Une tablette pour les effets personnels. Une cordelette pour se lever sans effort.
(Un moine : cet appareil était destiné à chauffer les lits, baptisé ainsi car, selon une légende, les moines, vivant dans un château, au service d'un seigneur, se couchaient dans le lit de ce dernier une heure avant lui, afin qu'il trouve sa place chaude.)
Passage dans la Salle Saint-Nicolas destinée à accueillir les «Pôvres malades en danger de mort». Aujourd'hui, exposition permanente.
La chirurgie…
(Trousse servant aux trachéotomies.)
Une maquette en paille réalisée au XVIIIè siècle par un malade.
Collection de taste-vin.
De nouveau la Cour et le puits…
… détails de la galerie…
…
Bref passage par la Cour d'Honneur et son puits (unique point d'eau pendant des siècles)…
… avant d'entrer dans la Salle Saint-Hugues créée en 1645.
Une tablette pour les effets personnels. Une cordelette pour se lever sans effort.
(Un moine : cet appareil était destiné à chauffer les lits, baptisé ainsi car, selon une légende, les moines, vivant dans un château, au service d'un seigneur, se couchaient dans le lit de ce dernier une heure avant lui, afin qu'il trouve sa place chaude.)
Passage dans la Salle Saint-Nicolas destinée à accueillir les «Pôvres malades en danger de mort». Aujourd'hui, exposition permanente.
La chirurgie…
(Trousse servant aux trachéotomies.)
Une maquette en paille réalisée au XVIIIè siècle par un malade.
Collection de taste-vin.
De nouveau la Cour et le puits…
… détails de la galerie…
…
Dernière édition par Jacques le Sam 19 Mar 2011 - 5:49, édité 1 fois
Les Hospices de Beaune (3)
…
… et entrée dans la cuisine.
Vaste cheminée gothique à deux foyers. La fumée de la cuisinière était évacuée par aspiration par le sol.
Voilà maintenant la pharmacie, ou autrefois l'apothéquairerie.
(L'arc accroché au pilon permettait d'alléger son poids.)
(Collection de 130 vases de Nevers de 1782.)
Dernier coup d'œil sur la Cour d'Honneur.
Et dernière salle du parcours, la Salle Saint-Louis.
Zorotte…
Sigrid.
Anne-Laure.
Le polyptyque du Jugement Dernier, du XVè siècle.
La fontaine.
Superbe collection de tapisseries du XVIè siècle. Une Aubusson du XVIIè.
Mesdames et Messieurs, la visite est terminée !…
… et entrée dans la cuisine.
Vaste cheminée gothique à deux foyers. La fumée de la cuisinière était évacuée par aspiration par le sol.
Voilà maintenant la pharmacie, ou autrefois l'apothéquairerie.
(L'arc accroché au pilon permettait d'alléger son poids.)
(Collection de 130 vases de Nevers de 1782.)
Dernier coup d'œil sur la Cour d'Honneur.
Et dernière salle du parcours, la Salle Saint-Louis.
Zorotte…
Sigrid.
Anne-Laure.
Le polyptyque du Jugement Dernier, du XVè siècle.
La fontaine.
Superbe collection de tapisseries du XVIè siècle. Une Aubusson du XVIIè.
Mesdames et Messieurs, la visite est terminée !…
Dernière édition par Jacques le Sam 19 Mar 2011 - 6:05, édité 1 fois
Le musée du Vin
Le musée du Vin se situe dans la très vaste et ancienne maison des Ducs de Bourgogne. Il comprend une partie descriptive ainsi que l'exposition de très vieux pressoirs.
La maison des Ducs de Bourgogne
Outils d'autrefois.
Tonnelets de vin et gamelles pour la journée de travail dans la vigne.
Différentes manières de porter le raisin.
Les métiers annexes : ici, le tonnelier.
Quelques gabarits de tonneaux. Une séquence télévisuelle explique «sur images d'autrefois» la fabrication des tonneaux cerclés de métal. Un sport !
Le chargement à la main d'un char.
Évolution de la forme des bouteilles.
Le
Ne pas pousser le bouchon trop loin…
Collection de très belles miniatures de bois avec les longues pinces nécessaires
La maison des Ducs de Bourgogne
Outils d'autrefois.
Tonnelets de vin et gamelles pour la journée de travail dans la vigne.
Différentes manières de porter le raisin.
Les métiers annexes : ici, le tonnelier.
Quelques gabarits de tonneaux. Une séquence télévisuelle explique «sur images d'autrefois» la fabrication des tonneaux cerclés de métal. Un sport !
Le chargement à la main d'un char.
Évolution de la forme des bouteilles.
Le
Ne pas pousser le bouchon trop loin…
Collection de très belles miniatures de bois avec les longues pinces nécessaires
Dernière édition par Jacques le Sam 19 Mar 2011 - 6:19, édité 1 fois
Pour bien finir l'histoire
Bonjour !
Sachez que Zorotte et X, venus de Suisse et présents à cette réunion, se sont mariés depuis et ont eu un enfant ! C'est Zorotte la bipolaire.
Bonne journée. Bises . Jacques
Sachez que Zorotte et X, venus de Suisse et présents à cette réunion, se sont mariés depuis et ont eu un enfant ! C'est Zorotte la bipolaire.
Bonne journée. Bises . Jacques
Dernière édition par Jacques le Ven 18 Mar 2011 - 8:09, édité 1 fois
Re: Reportage Beaune 2003 (26-28 septembre)
Merci Jacques!
Ton reportage est trés interessant moi qui ne connais pas la région...et on vous voit trés( )souvent attablés,ce qui est bon signe!
Le tout se soldant par un mariage,que demande le peuple?
Ton reportage est trés interessant moi qui ne connais pas la région...et on vous voit trés( )souvent attablés,ce qui est bon signe!
Le tout se soldant par un mariage,que demande le peuple?
Invité- Invité
Re: Reportage Beaune 2003 (26-28 septembre)
Bonsoir jacques,
c'est avec plaisir que je redécouvre cette magnifique organisation et j'aurais souhaité faire partis du voyage à ce moment la, mais je pense que je n'étais pas encore membre du forum Angie
A quand la prochaine ? j'ai hâte de faire connaissance avec tout les membres
Bonne soirée
c'est avec plaisir que je redécouvre cette magnifique organisation et j'aurais souhaité faire partis du voyage à ce moment la, mais je pense que je n'étais pas encore membre du forum Angie
A quand la prochaine ? j'ai hâte de faire connaissance avec tout les membres
Bonne soirée
Invité- Invité
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