benzodiazépines (xanax, atarax, lysanxia et autres..)
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benzodiazépines (xanax, atarax, lysanxia et autres..)
Extrait issu d'un manuel d'informations officiel pour les pharmaciens
Etude détaillée sur les benzodiazépines et recommendation d'usage.
[/quote]Anxiété, stress et troubles du sommeil : choisissez votre solution. Campagne fédérale pour l'usage rationnel des benzodiazépines 2005 (Belgique)
[quote]Préambule -
Campagne benzodiazépines 2005
La Belgique partage avec la France le privilège
d’être le pays européen le plus grand consommateur
de BZD (anxiolytiques et hypnotiques).
Les conséquences d’une mauvaise utilisation
sont connues : somnolence pendant la journée,
accidents de roulage, chute chez les personnes
âgées, etc... Les phénomènes d’accoutumance
et / ou de dépendance qui peuvent se manifester,
déjà après une semaine de traitement, sont
beaucoup plus inquiétants. 10 % de la population
belge utilise des benzodiazépines pendant
une période prolongée. Les femmes en utilisent
nettement plus que les hommes. Dans les maisons
de repos et de soins, ce chiffre peut même
atteindre 20 à 30%.
On observe un lien (sans établir de causalité)
entre le mauvais état psychique, la consommation
de psychotropes et la mauvaise santé subjective,
la consommation de tabac et d’alcool.
Il y a lieu de tenir compte du contexte sanitaire
et psychosocial pour interpréter correctement
les chiffres de consommation.
Dans notre société de consommation et de performance
immédiate, le médicament psychotrope
est devenu un facteur d’apaisement des
tensions. De plus, contrairement aux drogues
illicites, les psychotropes sont des « drogues »
de socialisation et de performance qui permettent
à l’individu de s’auto - assister et d’accepter
les contraintes sociales pour travailler et mieux
gérer ses relations à autrui.
Le problème de la souffrance psychique est mal
accepté entraînant discrédit moral, dévalorisation
et stigmatisation ; elle est souvent attribuée
à une faiblesse de la personnalité. C’est ainsi
qu’une prise en charge médicamenteuse est
souvent considérée comme une incapacité à
surmonter soi-même sa souffrance.
La reconnaissance d’une souffrance psychique
nécessite de la part de l’individu des capacités
d’introspection suffisantes et l’habitude d’approcher
les difficultés selon un mode de résolution
des problèmes. Ceci explique, par exemple, que
plus la scolarité est faible et plus les conditions
sociales sont précaires, plus le recours aux médicaments,
plutôt qu’aux autres formes de prise
en charge, est important.
L’efficacité des benzodiazépines est bien établie
dans certaines situations aux doses minimales et
pendant la période la plus courte possible.
Par contre, dans les situations de mal-être chronique,
le risque de dépendance et d’habituation
est majeur, constituant un frein à la mise en
place de mécanismes d’adaptation et de gestion
de l’anxiété et du stress.
L’effet sédatif des benzodiazépines peut être
gênant voire dangereux.
Les benzodiazépines utilisées comme hypnotiques
peuvent avoir un effet résiduel («hangover
») qui peut durer plusieurs heures. Une
sédation prolongée et exagérée peut survenir à
des doses élevées, chez les personnes âgées,
avec risque de chutes et d’amnésie rétrograde,en cas d‘affection hépatique ou lors de l’utilisation
d’autres médicaments à effet dépresseur ou
d’alcool.
Des réactions paradoxales ont été décrites avec
aggravation de l’insomnie, de l’anxiété accompagnée
parfois d’agressivité.
Après quelques semaines, une dépendance psychique
et physique se manifeste. Un arrêt brutal
du traitement peut entraîner des manifestations
de sevrage.
Quelle place pour le pharmacien dans
cette campagne?
Le pharmacien occupe une place privilégiée
dans les soins de santé grâce à l’accès aisé de la
pharmacie, la confiance dont bénéficie le pharmacien
auprès de ses patients et la collaboration
possible avec d’autres prestataires de soins. Le
pharmacien a dès lors un rôle indéniable à jouer
dans cette campagne de sensibilisation.
Les informations contenues dans ce syllabus lui
permettront :
> d’avoir une bonne connaissance des notions
cliniques pour orienter le patient vers son
médecin ou appuyer les décisions thérapeutiques
du médecin auprès du patient ;
> d’informer les patients à qui les benzodiazépines
sont délivrées pour la première fois ou qui
se plaignent d’angoisses, de stress et/ou de
problèmes d’insomnie, du risque d’accoutumance
et des effets secondaires, en particulier
chez les personnes âgées ;
> de motiver les personnes abusant des benzodiazépines
ou chez qui l’on soupçonne un
abus à consulter un médecin afin de réduire
progressivement cette consommation ; de les
rassurer en les informant sur les alternatives ;
> d’aider les patients en les suivant pendant le
sevrage instauré par le médecin et de créer la
possibilité de parler ouvertement de cette
expérience.
Tout ceci doit évidemment se réaliser dans une
approche qui mette le patient en confiance et
donc garantir une certaine intimité. Le rôle du
pharmacien étant de mettre le patient en phase
par rapport à son traitement (conditionnement
du patient, effet « placebo »).
Cette action importante du point de vue de la
santé publique nécessite une collaboration renforcée
des prestataires de soin ; la coordination
avec le médecin en est un aspect important et
l’action du pharmacien doit s’inscrire strictement
dans ce cadre
Etude détaillée sur les benzodiazépines et recommendation d'usage.
[/quote]Anxiété, stress et troubles du sommeil : choisissez votre solution. Campagne fédérale pour l'usage rationnel des benzodiazépines 2005 (Belgique)
[quote]Préambule -
Campagne benzodiazépines 2005
La Belgique partage avec la France le privilège
d’être le pays européen le plus grand consommateur
de BZD (anxiolytiques et hypnotiques).
Les conséquences d’une mauvaise utilisation
sont connues : somnolence pendant la journée,
accidents de roulage, chute chez les personnes
âgées, etc... Les phénomènes d’accoutumance
et / ou de dépendance qui peuvent se manifester,
déjà après une semaine de traitement, sont
beaucoup plus inquiétants. 10 % de la population
belge utilise des benzodiazépines pendant
une période prolongée. Les femmes en utilisent
nettement plus que les hommes. Dans les maisons
de repos et de soins, ce chiffre peut même
atteindre 20 à 30%.
On observe un lien (sans établir de causalité)
entre le mauvais état psychique, la consommation
de psychotropes et la mauvaise santé subjective,
la consommation de tabac et d’alcool.
Il y a lieu de tenir compte du contexte sanitaire
et psychosocial pour interpréter correctement
les chiffres de consommation.
Dans notre société de consommation et de performance
immédiate, le médicament psychotrope
est devenu un facteur d’apaisement des
tensions. De plus, contrairement aux drogues
illicites, les psychotropes sont des « drogues »
de socialisation et de performance qui permettent
à l’individu de s’auto - assister et d’accepter
les contraintes sociales pour travailler et mieux
gérer ses relations à autrui.
Le problème de la souffrance psychique est mal
accepté entraînant discrédit moral, dévalorisation
et stigmatisation ; elle est souvent attribuée
à une faiblesse de la personnalité. C’est ainsi
qu’une prise en charge médicamenteuse est
souvent considérée comme une incapacité à
surmonter soi-même sa souffrance.
La reconnaissance d’une souffrance psychique
nécessite de la part de l’individu des capacités
d’introspection suffisantes et l’habitude d’approcher
les difficultés selon un mode de résolution
des problèmes. Ceci explique, par exemple, que
plus la scolarité est faible et plus les conditions
sociales sont précaires, plus le recours aux médicaments,
plutôt qu’aux autres formes de prise
en charge, est important.
L’efficacité des benzodiazépines est bien établie
dans certaines situations aux doses minimales et
pendant la période la plus courte possible.
Par contre, dans les situations de mal-être chronique,
le risque de dépendance et d’habituation
est majeur, constituant un frein à la mise en
place de mécanismes d’adaptation et de gestion
de l’anxiété et du stress.
L’effet sédatif des benzodiazépines peut être
gênant voire dangereux.
Les benzodiazépines utilisées comme hypnotiques
peuvent avoir un effet résiduel («hangover
») qui peut durer plusieurs heures. Une
sédation prolongée et exagérée peut survenir à
des doses élevées, chez les personnes âgées,
avec risque de chutes et d’amnésie rétrograde,en cas d‘affection hépatique ou lors de l’utilisation
d’autres médicaments à effet dépresseur ou
d’alcool.
Des réactions paradoxales ont été décrites avec
aggravation de l’insomnie, de l’anxiété accompagnée
parfois d’agressivité.
Après quelques semaines, une dépendance psychique
et physique se manifeste. Un arrêt brutal
du traitement peut entraîner des manifestations
de sevrage.
Quelle place pour le pharmacien dans
cette campagne?
Le pharmacien occupe une place privilégiée
dans les soins de santé grâce à l’accès aisé de la
pharmacie, la confiance dont bénéficie le pharmacien
auprès de ses patients et la collaboration
possible avec d’autres prestataires de soins. Le
pharmacien a dès lors un rôle indéniable à jouer
dans cette campagne de sensibilisation.
Les informations contenues dans ce syllabus lui
permettront :
> d’avoir une bonne connaissance des notions
cliniques pour orienter le patient vers son
médecin ou appuyer les décisions thérapeutiques
du médecin auprès du patient ;
> d’informer les patients à qui les benzodiazépines
sont délivrées pour la première fois ou qui
se plaignent d’angoisses, de stress et/ou de
problèmes d’insomnie, du risque d’accoutumance
et des effets secondaires, en particulier
chez les personnes âgées ;
> de motiver les personnes abusant des benzodiazépines
ou chez qui l’on soupçonne un
abus à consulter un médecin afin de réduire
progressivement cette consommation ; de les
rassurer en les informant sur les alternatives ;
> d’aider les patients en les suivant pendant le
sevrage instauré par le médecin et de créer la
possibilité de parler ouvertement de cette
expérience.
Tout ceci doit évidemment se réaliser dans une
approche qui mette le patient en confiance et
donc garantir une certaine intimité. Le rôle du
pharmacien étant de mettre le patient en phase
par rapport à son traitement (conditionnement
du patient, effet « placebo »).
Cette action importante du point de vue de la
santé publique nécessite une collaboration renforcée
des prestataires de soin ; la coordination
avec le médecin en est un aspect important et
l’action du pharmacien doit s’inscrire strictement
dans ce cadre
Re: benzodiazépines (xanax, atarax, lysanxia et autres..)
hello
oui, cela peut faire des ravages ces molécules.
Mais, moi, j'en utilise.
J'en ai une boîte dans mon sac à main et une boîte dans ma table de nuit.
Dans mon sac à main, c'est pour quand je suis prise à l'improviste dans une situation qui remue mes phobies ou qui me stresse sans que je ne puisse m'en échapper. J'ai très vite compris qu'un petit quart (parfois 1/2 si déjà au départ j'étais pas trop bien) pouvait m'éviter de plonger dans une dépression.
Dans ma table de nuit, parce qu'après 3 mois d'états mixtes, j'ai compris qu'une mauvaise nuit, çà va mais trois, ce n'est pas possible sous peine de gros dégâts sur mon état. Alors, lorsqu'après une mauvaise nuit et en état mixte, je vois que j'ai loupé mon premier train de sommeil, je me prends soit un quart soit 1/8eme pour ne pas louper le second. Le second loupé, c'est déjà 3h de sommeil en moins, c'est impossible de gérer cela en journée lorsque l'on est en mixte. Il ne faut pas essayer : il faut dormir la nuit !
Comme vous voyez, ma consommation vole bas. Cela n'a rien à voir avec une prise quotidienne ou même juste de fortes doses : prendre juste ce qu'il faut, juste quand il faut.
Et si quand il faut c'est tous les jours ? RDV chez le psy : il s'agit d'un épisode à gérer. Le mien m'a laissé une consigne si çà dure, je sais quel médicament je dois augmenter et de combien. Donc à priori mis à par les deux/trois premiers jours où j'identifie la vraie crise, il n'y a plus de raison que j'utilise plus avant mes benzo.
Moi, je n'aime pas trop que l'on mette les bipos dans le même sac que les autres. Il faut se mettre à notre place aussi. Si quelqu'un a des benzo en permanence et qu'il est bipo, c'est un choix thérapeutiques de son psy pas une exagération du patients. Quand aux bipos consommateurs occasionnels, je ne pense pas que nous aimons nous shooter à ce point à la benzo... Perso, j'ai fait une fois parce que j'en pouvais plus de souffrir, ben j'ai pas aimé ce flottement et ensuite, je l'ai payé encore plus cher !
oui, cela peut faire des ravages ces molécules.
Mais, moi, j'en utilise.
J'en ai une boîte dans mon sac à main et une boîte dans ma table de nuit.
Dans mon sac à main, c'est pour quand je suis prise à l'improviste dans une situation qui remue mes phobies ou qui me stresse sans que je ne puisse m'en échapper. J'ai très vite compris qu'un petit quart (parfois 1/2 si déjà au départ j'étais pas trop bien) pouvait m'éviter de plonger dans une dépression.
Dans ma table de nuit, parce qu'après 3 mois d'états mixtes, j'ai compris qu'une mauvaise nuit, çà va mais trois, ce n'est pas possible sous peine de gros dégâts sur mon état. Alors, lorsqu'après une mauvaise nuit et en état mixte, je vois que j'ai loupé mon premier train de sommeil, je me prends soit un quart soit 1/8eme pour ne pas louper le second. Le second loupé, c'est déjà 3h de sommeil en moins, c'est impossible de gérer cela en journée lorsque l'on est en mixte. Il ne faut pas essayer : il faut dormir la nuit !
Comme vous voyez, ma consommation vole bas. Cela n'a rien à voir avec une prise quotidienne ou même juste de fortes doses : prendre juste ce qu'il faut, juste quand il faut.
Et si quand il faut c'est tous les jours ? RDV chez le psy : il s'agit d'un épisode à gérer. Le mien m'a laissé une consigne si çà dure, je sais quel médicament je dois augmenter et de combien. Donc à priori mis à par les deux/trois premiers jours où j'identifie la vraie crise, il n'y a plus de raison que j'utilise plus avant mes benzo.
Moi, je n'aime pas trop que l'on mette les bipos dans le même sac que les autres. Il faut se mettre à notre place aussi. Si quelqu'un a des benzo en permanence et qu'il est bipo, c'est un choix thérapeutiques de son psy pas une exagération du patients. Quand aux bipos consommateurs occasionnels, je ne pense pas que nous aimons nous shooter à ce point à la benzo... Perso, j'ai fait une fois parce que j'en pouvais plus de souffrir, ben j'ai pas aimé ce flottement et ensuite, je l'ai payé encore plus cher !
sweetdy- Nombre de messages : 83
Date d'inscription : 16/12/2009
Rivotril à 50, puis 60 gouttes...coup d'effroi
Oui, au secours ! Après plusieurs années (sic !) de grande satisfaction de me voir m'endormir très vite, et de faire mes 7 h de nuit grâce à...50 gouttes de Rivotril, j'ai décidé cette année d'essayer de "passer" le cap de la dépression saisonnière en montant à 60 gouttes, plutôt que de basculer progressivement au Laroxyl comme les années précédantes.
...je me suis fais peur en me voyant, certes dormir, mais comme insensible et incapable de faire autre chose que "siester" pendant mes 2 après-midi de libre (je suis soit-disant à temps partiel...mais à 31h par semaine en C.A.E !!!)...alors, j'ai cherché "Rivotril" sur Internet...et là, je me suis VRAIMENT fait peur (c'est tout récent, ça date de la semaine dernière)
J'ai repris RV avec mon psy : on avait mis des mois à trouver cet "équilibre" en accord avec mon médecin "biologie", car je dois gérer une pathologie chronique et suis astreint à un très lourd traitement (contre le VIH) depuis 1996. Et j'en étais heureux...
Là, je suis dans une grosse période de frayeur, en me randant compte de ma dépendance, des doses auxquels je me suis habitué...et des effets ! Mais je suis encore plus effrayé à l'idée de devoir passer par un évntuel arrêt, c'est à dire sevrage du Rivotril...et de retrouver des nuits courtes ! JE NE TIENDRAIS PAS mon boulot sans cette "anesthésie" qui me protégeait jusqu'à ce que je prenne conscience de ses dangers...
j'envoie un SOS car j'ai peur...
...je me suis fais peur en me voyant, certes dormir, mais comme insensible et incapable de faire autre chose que "siester" pendant mes 2 après-midi de libre (je suis soit-disant à temps partiel...mais à 31h par semaine en C.A.E !!!)...alors, j'ai cherché "Rivotril" sur Internet...et là, je me suis VRAIMENT fait peur (c'est tout récent, ça date de la semaine dernière)
J'ai repris RV avec mon psy : on avait mis des mois à trouver cet "équilibre" en accord avec mon médecin "biologie", car je dois gérer une pathologie chronique et suis astreint à un très lourd traitement (contre le VIH) depuis 1996. Et j'en étais heureux...
Là, je suis dans une grosse période de frayeur, en me randant compte de ma dépendance, des doses auxquels je me suis habitué...et des effets ! Mais je suis encore plus effrayé à l'idée de devoir passer par un évntuel arrêt, c'est à dire sevrage du Rivotril...et de retrouver des nuits courtes ! JE NE TIENDRAIS PAS mon boulot sans cette "anesthésie" qui me protégeait jusqu'à ce que je prenne conscience de ses dangers...
j'envoie un SOS car j'ai peur...
Re: benzodiazépines (xanax, atarax, lysanxia et autres..)
bonjour a toi
tu a peur du rivotril? ou autre, dis nous les effets du
je pense en prendre pour dormir je ne dors pas bien a cause de besoin urgent la nuit 2 fois par nuit ca çasse le sommeil alors ,,et mon lamictal qui me fait pas effet je veux changer mais pas pour un qui fait grossir...dis te mois si cela fait prendre du poids.....
je souffre de boulimie et je voudrai un antidépresseur bien , le rêve quoi pour me stabiliser
j'en demande trop???? je voudrai la stabilisation enfin une fois
le solian me rend tés agressive et je" pique des crises de nerf avec (bizzarre)
tu a peur du rivotril? ou autre, dis nous les effets du
je pense en prendre pour dormir je ne dors pas bien a cause de besoin urgent la nuit 2 fois par nuit ca çasse le sommeil alors ,,et mon lamictal qui me fait pas effet je veux changer mais pas pour un qui fait grossir...dis te mois si cela fait prendre du poids.....
je souffre de boulimie et je voudrai un antidépresseur bien , le rêve quoi pour me stabiliser
j'en demande trop???? je voudrai la stabilisation enfin une fois
le solian me rend tés agressive et je" pique des crises de nerf avec (bizzarre)
Invité- Invité
Rivotril = pas de prise de poid !
...mais cela n'a jamais été mon problème (j'en perdrai plutôt facilement) aynt su garder une alimentation équlibrée il a peu, et aucun troubles de ce côté là. Non, j'en étais très satifait : sommeil garanti !!! Mais il n'empêche pas la dépression saisonnière de revenir (ce n'est pas un anti dépresseur) et il faut jongler avec un antidép. lorsque clle-çi se pointe. Cette année, les signe de dépression m'apparaissant faibles, j'ai augmenté le Rivotril jusqu'à 60 et parfois 70 gouttes....là, plus aucune énergie, et siestes au lieu de tout autre activité. Bien sûr fallait-il que je reprenne du Laroxyl...je viens de (re)commencer...c'est cette alternance, de savoir qu'elle revient quoi que je fasse, et de n'avoir pas voulu l'entendre cette année qui est cause de problèmes...
Rassurée ?!?
Rassurée ?!?
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