Clefs de ma stabilisation
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Re: Clefs de ma stabilisation
Je peux par mon exemple, quand on a la chance de ne pas être obliger de prendre un travail salarié pour avoir des revenus, guère élevés au demeurant mais largement suffisants, dire sans hesiter que depuis que je ne travaille plus, je n'ai plus la pression du travail, des collègues, de la rentabilité, des responsabilités et je rechute beaucoup moins. En plus mon travail de bénévole est 100 fois plus valorisant. Je m'occupe d'accompagner des personnes malvoyantes ou non voyantes dans des sorties essentiellement culturelles. Outre le fait que j'ai appris beaucoup de choses , l'ambiance entre les membres de l'association est excellente. En plus on travaille selon ses disponibilités. Comme la famille a toujours été plus importante pour moi, je peux m'occuper de mon fils tous les mercredis, l'accompagner à ses matchs, lui consacrer beaucoup de mon temps. Cette vie a contribuer largement à ma stabilisation présente même si au début avec le "conditionnement dès l'enfance" par rapport au travail, j'avais un peu mauvaise conscience de ne pas travailler de façon salariée. Il y a tellement de voies différentes pour attendre la stabilisation mais l'essentiel étant d'y parvenir.
Sandrine- Nombre de messages : 226
Age : 56
Type troubles : Trouble bipolaire de l'humeur mais rigole souvent. C'est grave docteur?
Emploi / Statut : associatif =accompagne des mal ou non voyants dans des loisirs afin qu'ils puissent avoir une vie normale.ça passe par les sorties se cultiver se retrouver. Je ne considère pas cela comme un travail car ils m'enrichissent énormément.
Date d'inscription : 13/10/2008
Re: Clefs de ma stabilisation
Bonjour à tous,
Au cours d'une discussion récente avec un membre du centre collaborateur de l'organisation mondiale de la santé, celui-ci m'a fait part de sa vision du terme de "rétablissement" dans les troubles bipolaires.
Ainsi, selon lui mon niveau d'équilibre appartiendrait à ce qu'il considère comme un rétablissement, étape qui suit une stabilisation.
J'avais toujours évité ce terme que j'estimais trop proche de l'idée de "guérison". Or la bipolarité est une maladie incurable.
Ce fil pourrait donc s'intituler "les clefs du rétablissement"...
Enfin, le plus important, c'est de se sentir bien
Bonne journée,
Clémentine
Au cours d'une discussion récente avec un membre du centre collaborateur de l'organisation mondiale de la santé, celui-ci m'a fait part de sa vision du terme de "rétablissement" dans les troubles bipolaires.
Ainsi, selon lui mon niveau d'équilibre appartiendrait à ce qu'il considère comme un rétablissement, étape qui suit une stabilisation.
J'avais toujours évité ce terme que j'estimais trop proche de l'idée de "guérison". Or la bipolarité est une maladie incurable.
Ce fil pourrait donc s'intituler "les clefs du rétablissement"...
Enfin, le plus important, c'est de se sentir bien
Bonne journée,
Clémentine
Invité- Invité
S'économiser et se faire plaisir à peu de frais
Bonjour à tous,
C’est bientôt la rentrée pour moi, du coup , je ne vais plus avoir beaucoup de temps à consacrer au forum.
Ainsi, je souhaitais vous faire partager encore une de mes réflexions sur la stabilisation et le rétablissement.
Le thème en est : s’économiser.
J’ai constaté que ma jeunesse a été marquée par ma capacité à m’économiser, c’est-à-dire à ne pas trop en faire, tout en évitant de tomber dans une paresse trop évidente .
C’est cette mesure qui me protégeait de l’épuisement et qui me donnait de l’endurance. Ce qui était avec le recul, plutôt drôle, c’est que jusqu’au collège, j’avais la fâcheuse tendance à ne viser que la moyenne pour mes résultats scolaires. Ma philosophie de l’époque : ne faire que le strict nécessaire. Mes parents auraient plutôt dit : que le strict minimum.
Pour autant, je ne crois jamais avoir été nonchalante.
Mes résultats ont augmenté avec l’intérêt naissant pour telle ou telle discipline.
Je n’ai pas toujours choisi la facilité, c’est-à-dire des matières pour lesquelles on a une aisance presque naturelle. Sincèrement, mis à part se torturer l’esprit pour rien, je pense pas avoir gagné grand chose par ces enseignements.
Ces différentes expériences m’ont appris à choisir des activités proches de mes goûts ou alors synonymes de découverte.
Ainsi, je m’oriente soit vers le défi, soit vers l’approfondissement d’un domaine familier.
Se forcer est rarement une solution viable dans le temps.
Par ailleurs, s’économiser signifie avoir un emploi du temps en accord avec son énergie et ne pas s’oublier derrière un agenda de Ministre en tentant d’optimiser la moindre minute.
S’économiser c’est donc être mesuré.
Cela peut peut-être sembler contraignant… pourtant, c’est le contraire.
Un cadre : donné par le travail ou par des activités, puis du temps pour soi et pour ses proches. Il y a dans cette philosophie de vie, de la souplesse, sous-tendue par de la détermination.
C'est certain qu'une satisfaction obtenue sans efforts, n'en est pas vraiment une, encore faut-il que les efforts ne soient pas fournis vainement. Comme souvent, la connaissance de soi permet de cibler sa peine.
A présent, je m’en retourne à mes dernières heures de temps libre.
Clémentine
C’est bientôt la rentrée pour moi, du coup , je ne vais plus avoir beaucoup de temps à consacrer au forum.
Ainsi, je souhaitais vous faire partager encore une de mes réflexions sur la stabilisation et le rétablissement.
Le thème en est : s’économiser.
J’ai constaté que ma jeunesse a été marquée par ma capacité à m’économiser, c’est-à-dire à ne pas trop en faire, tout en évitant de tomber dans une paresse trop évidente .
C’est cette mesure qui me protégeait de l’épuisement et qui me donnait de l’endurance. Ce qui était avec le recul, plutôt drôle, c’est que jusqu’au collège, j’avais la fâcheuse tendance à ne viser que la moyenne pour mes résultats scolaires. Ma philosophie de l’époque : ne faire que le strict nécessaire. Mes parents auraient plutôt dit : que le strict minimum.
Pour autant, je ne crois jamais avoir été nonchalante.
Mes résultats ont augmenté avec l’intérêt naissant pour telle ou telle discipline.
Je n’ai pas toujours choisi la facilité, c’est-à-dire des matières pour lesquelles on a une aisance presque naturelle. Sincèrement, mis à part se torturer l’esprit pour rien, je pense pas avoir gagné grand chose par ces enseignements.
Ces différentes expériences m’ont appris à choisir des activités proches de mes goûts ou alors synonymes de découverte.
Ainsi, je m’oriente soit vers le défi, soit vers l’approfondissement d’un domaine familier.
Se forcer est rarement une solution viable dans le temps.
Par ailleurs, s’économiser signifie avoir un emploi du temps en accord avec son énergie et ne pas s’oublier derrière un agenda de Ministre en tentant d’optimiser la moindre minute.
S’économiser c’est donc être mesuré.
Cela peut peut-être sembler contraignant… pourtant, c’est le contraire.
Un cadre : donné par le travail ou par des activités, puis du temps pour soi et pour ses proches. Il y a dans cette philosophie de vie, de la souplesse, sous-tendue par de la détermination.
C'est certain qu'une satisfaction obtenue sans efforts, n'en est pas vraiment une, encore faut-il que les efforts ne soient pas fournis vainement. Comme souvent, la connaissance de soi permet de cibler sa peine.
A présent, je m’en retourne à mes dernières heures de temps libre.
Clémentine
Invité- Invité
Stabilisation et emploi
Bonsoir à tous,
Pas mal de bipolaires ou même de non bipolaires sont sceptiques sur la possibilité de vivre un jour «normalement» avec cette pathologie. Bref, ils ne croient pas vraiment possible de se rétablir durablement.
Un des principaux indicateurs de handicap dans notre société est la capacité à travailler.
Mon dernier entretien professionnel fait état d’un bilan positif. Mon supérieur hiérarchique y a indiqué que j’ai su prendre le poste rapidement et que les missions ont été réalisées. Il m’a félicité pour les prises d’initiatives et ma force de propositions.
Sur ma valeur professionnelle, il a mentionné l’ouverture d’esprit et l’aisance dans la communication, notamment pour rendre compte de l’avancement de mes différentes tâches. Il a signalé que j’accompagne de façon fiable nos interlocuteurs et que je sais m’adapter aux diverses situations.
Il m’a décrite comme précise dans mon travail et a écrit que pour obtenir un résultat, je n’hésite pas à solliciter les autres services. Il a ajouté que je sais aller chercher l’information et rentre facilement en contact avec les collaborateurs extérieurs. Il reconnaît mon ouverture comme un atout dans mon activité professionnelle.
Toujours dans les louanges, il écrit que je suis indispensable au bon fonctionnement du service (gère la majeure partie des tâches liées à l’activité du service).
Il fait état de mes bonnes relations avec nos interlocuteurs : je suis décrite comme disponible et sachant être à l’écoute des besoins/problèmes tout le temps nécessaire.
Il conclue en identifiant mon intérêt pour les contacts et la communication.
Ainsi, quand je lis encore les doutes de mes pairs ou de notre société, je ne peux qu’espérer qu’un jour les mentalités évoluent. Bien entendu, c’est changements interviendront certainement avec des progrès notables dans la prise en charge de cette maladie.
C’est aussi pourquoi, dans mes projets, il y a l’utilisation de mon expérience de la maladie au niveau professionnel. Projet pour 2011 éventuellement… qui vivra verra !
Bonne soirée,
Clémentine
Pas mal de bipolaires ou même de non bipolaires sont sceptiques sur la possibilité de vivre un jour «normalement» avec cette pathologie. Bref, ils ne croient pas vraiment possible de se rétablir durablement.
Un des principaux indicateurs de handicap dans notre société est la capacité à travailler.
Mon dernier entretien professionnel fait état d’un bilan positif. Mon supérieur hiérarchique y a indiqué que j’ai su prendre le poste rapidement et que les missions ont été réalisées. Il m’a félicité pour les prises d’initiatives et ma force de propositions.
Sur ma valeur professionnelle, il a mentionné l’ouverture d’esprit et l’aisance dans la communication, notamment pour rendre compte de l’avancement de mes différentes tâches. Il a signalé que j’accompagne de façon fiable nos interlocuteurs et que je sais m’adapter aux diverses situations.
Il m’a décrite comme précise dans mon travail et a écrit que pour obtenir un résultat, je n’hésite pas à solliciter les autres services. Il a ajouté que je sais aller chercher l’information et rentre facilement en contact avec les collaborateurs extérieurs. Il reconnaît mon ouverture comme un atout dans mon activité professionnelle.
Toujours dans les louanges, il écrit que je suis indispensable au bon fonctionnement du service (gère la majeure partie des tâches liées à l’activité du service).
Il fait état de mes bonnes relations avec nos interlocuteurs : je suis décrite comme disponible et sachant être à l’écoute des besoins/problèmes tout le temps nécessaire.
Il conclue en identifiant mon intérêt pour les contacts et la communication.
Ainsi, quand je lis encore les doutes de mes pairs ou de notre société, je ne peux qu’espérer qu’un jour les mentalités évoluent. Bien entendu, c’est changements interviendront certainement avec des progrès notables dans la prise en charge de cette maladie.
C’est aussi pourquoi, dans mes projets, il y a l’utilisation de mon expérience de la maladie au niveau professionnel. Projet pour 2011 éventuellement… qui vivra verra !
Bonne soirée,
Clémentine
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
C'est pas facile de mettre en oeuvre tout ça.
mais je m'efforce de m'économiser , je suis quand même assez souvent dans mon lit .
Je fais vraiment que le strict nécéssaire mais quand même il y a des moments ou l'on dirait que je stabilise oui ,mais avec après une émotion je prend un médicament qui me calme mais au lit après pas de suite .
je voudrai pourvoir faire plus cela dépend des journée si je dors bien ou pas ,tu a de la chance de pourvoir être stabilitée mais derrière ce mot il y a un travail que tu a fait bravo
mais je m'efforce de m'économiser , je suis quand même assez souvent dans mon lit .
Je fais vraiment que le strict nécéssaire mais quand même il y a des moments ou l'on dirait que je stabilise oui ,mais avec après une émotion je prend un médicament qui me calme mais au lit après pas de suite .
je voudrai pourvoir faire plus cela dépend des journée si je dors bien ou pas ,tu a de la chance de pourvoir être stabilitée mais derrière ce mot il y a un travail que tu a fait bravo
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
Bonjour,
Je crois que mes plus grandes satisfactions à venir seront de voir mes anciens compagnons de souffrance sortir à leur tour peu à peu des griffes de la maladie.
Surtout, que je lis régulièrement les efforts de chacun, comme toi Havillande, qui as déjà fait preuve de tant de volonté.
Demain, c'est le retour au boulot... c'était bien les vacances
Bises,
Clémentine
Je crois que mes plus grandes satisfactions à venir seront de voir mes anciens compagnons de souffrance sortir à leur tour peu à peu des griffes de la maladie.
Surtout, que je lis régulièrement les efforts de chacun, comme toi Havillande, qui as déjà fait preuve de tant de volonté.
Demain, c'est le retour au boulot... c'était bien les vacances
Bises,
Clémentine
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
Bonsoir à tous,
L'ouverture au monde
La part de l’ouverture d’esprit dans le rétablissement n’est selon moi pas négligeable. Il me semble que mieux on interagit avec son environnement, plus le rétablissement peut être complet.
Ainsi, je crois que les tempéraments très fermés sur eux-mêmes auront plus de mal à faire appel aux ressources extérieures. Quelqu’un qui fait de sa personne son principal centre d’intérêt aura bien des difficultés à sortir de ses problèmes. Tout ramener à soi enferme dans des pensées stériles.
La maladie amène, par la force des choses, à ne plus se focaliser que sur des souffrances incessantes et cycliques. Les liens avec les autres peuvent prendre la forme de projets, d’espoirs, qui nous sortent de nous-mêmes.
Il m’est arrivé de penser en pleine crise, en plein délire que l’échappatoire devait résider dans l’intégration au monde.
Bref, oublions un peu nos nombrils… Cela ne veut pas dire se négliger, mais regarder autour de soi et savoir éviter l’isolement.
Clémentine
L'ouverture au monde
La part de l’ouverture d’esprit dans le rétablissement n’est selon moi pas négligeable. Il me semble que mieux on interagit avec son environnement, plus le rétablissement peut être complet.
Ainsi, je crois que les tempéraments très fermés sur eux-mêmes auront plus de mal à faire appel aux ressources extérieures. Quelqu’un qui fait de sa personne son principal centre d’intérêt aura bien des difficultés à sortir de ses problèmes. Tout ramener à soi enferme dans des pensées stériles.
La maladie amène, par la force des choses, à ne plus se focaliser que sur des souffrances incessantes et cycliques. Les liens avec les autres peuvent prendre la forme de projets, d’espoirs, qui nous sortent de nous-mêmes.
Il m’est arrivé de penser en pleine crise, en plein délire que l’échappatoire devait résider dans l’intégration au monde.
Bref, oublions un peu nos nombrils… Cela ne veut pas dire se négliger, mais regarder autour de soi et savoir éviter l’isolement.
Clémentine
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
BONNES RESOLUTIONS
Bonjour à tous,
Certains moments de notre vie sont propices aux résolutions et ce n’est pas forcément le début d’année !
Vous pouvez avoir constaté que telle ou telle de vos attitudes vous porte préjudice, mais se changer n’est pas mince affaire.
Pour ma part, lorsque l’idée de changer me semble pouvoir prendre forme, je la «ferre» et je ne la lâche plus.
Par exemple, si j’estime que j’ai suffisamment dépensé ces dernières semaines, je mets mon nez dans mon relevé bancaire, histoire de voir du concret, puis je commence à projeter une nouvelle approche de consommation. Mon budget n’est certes pas en péril, mais je souhaite adopter une attitude d’achat plus raisonnée et limiter les achats de compensation.
J’évite les tentations, ainsi je ne travaille pas cet après-midi et je vais rester chez moi.
Dans un esprit pas si éloigné, j’ai décidé d’éviter la consommation de bonbons…
Dès que l’on sent que l’on est prêt pour effectuer des modifications de comportements, d’habitudes, il ne faut pas hésiter. Ce n’est pas une fois au pieds du mur que l’on a le plus de moyens d’action.
Bon courage à tous ceux qui se lancent des défis !
Clémentine
Bonjour à tous,
Certains moments de notre vie sont propices aux résolutions et ce n’est pas forcément le début d’année !
Vous pouvez avoir constaté que telle ou telle de vos attitudes vous porte préjudice, mais se changer n’est pas mince affaire.
Pour ma part, lorsque l’idée de changer me semble pouvoir prendre forme, je la «ferre» et je ne la lâche plus.
Par exemple, si j’estime que j’ai suffisamment dépensé ces dernières semaines, je mets mon nez dans mon relevé bancaire, histoire de voir du concret, puis je commence à projeter une nouvelle approche de consommation. Mon budget n’est certes pas en péril, mais je souhaite adopter une attitude d’achat plus raisonnée et limiter les achats de compensation.
J’évite les tentations, ainsi je ne travaille pas cet après-midi et je vais rester chez moi.
Dans un esprit pas si éloigné, j’ai décidé d’éviter la consommation de bonbons…
Dès que l’on sent que l’on est prêt pour effectuer des modifications de comportements, d’habitudes, il ne faut pas hésiter. Ce n’est pas une fois au pieds du mur que l’on a le plus de moyens d’action.
Bon courage à tous ceux qui se lancent des défis !
Clémentine
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
Alors là moi je dis:"Chapeau bas Clémentine!"...surtout pour les bonbons
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
Pommec,
C'est surtout difficile depuis que mon fils en ramène de l'école.
[img][/img]
Aï Aï Aï !!!
Clémentine
C'est surtout difficile depuis que mon fils en ramène de l'école.
[img][/img]
Aï Aï Aï !!!
Clémentine
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
Bonjour à tous,
J'ai eu mes résultats d'analyses (lithiémie/coeur/reins/thyroïde). Je suis heureuse, car tout va toujours bien
Le lithium que je prends depuis 1998 m'apporte la stabilité sans pour le moment nuire à mon organisme.
Pour autant, il faut se méfier des associations médicamenteuses. J'ai déjà la chance de l'utiliser en monothérapie.
Aujourd'hui, j'ai pris une journée (il me restait encore des congés).
Bises,
Clémentine
J'ai eu mes résultats d'analyses (lithiémie/coeur/reins/thyroïde). Je suis heureuse, car tout va toujours bien
Le lithium que je prends depuis 1998 m'apporte la stabilité sans pour le moment nuire à mon organisme.
Pour autant, il faut se méfier des associations médicamenteuses. J'ai déjà la chance de l'utiliser en monothérapie.
Aujourd'hui, j'ai pris une journée (il me restait encore des congés).
Bises,
Clémentine
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
Bonjour clémentine,
pour le résultat des tests ! Et pour les congés qu'il te reste à poser avant la fin de ton CDD.
Tu vas faire des crêpes si le temps par chez toi est aussi gris que chez nous ?
pour le résultat des tests ! Et pour les congés qu'il te reste à poser avant la fin de ton CDD.
Tu vas faire des crêpes si le temps par chez toi est aussi gris que chez nous ?
Invité- Invité
Re: Clefs de ma stabilisation
Clémentine a écrit:Bonjour à tous,
J'ai eu mes résultats d'analyses (lithiémie/coeur/reins/thyroïde). Je suis heureuse, car tout va toujours bien
Le lithium que je prends depuis 1998 m'apporte la stabilité sans pour le moment nuire à mon organisme.
Pour autant, il faut se méfier des associations médicamenteuses. J'ai déjà la chance de l'utiliser en monothérapie.
Aujourd'hui, j'ai pris une journée (il me restait encore des congés).
Bises,
Clémentine
YES Clémentine, ça c'est une super bonne nouvelle ! Et j'en suis vraiment heureuse pour toi !
Alors une très bonne journée de bonheur et de liberté à toi !
Gros bisous,
Lor.
Funambule- Nombre de messages : 879
Type troubles : TB 2 à cycles rapides, borderline, troubles anxieux, abandonnique...et puis quoi encore ?!
Emploi / Statut : Ecrivain en devenir...
Date d'inscription : 16/10/2008
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